Test - Forza Horizon 4 - Xbox Gamer - Toute l'actualité Xbox Series X|S et Xbox One

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Développeur
Playground Games
Genre
Course
Statut
Disponible
Date de sortie
  02.10.2018
Nombre de joueurs
1
Prix de lancement
69,99 €
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Test - Forza Horizon 4 - Xbox Gamer - Toute l'actualité Xbox Series X|S et Xbox OneRotation habituelle oblige (l’année prochaine marquera une rupture du cycle en revanche), après Forza Motorsport 7, qui était précédé de Forza Horizon 3, voici cette année Forza Horizon 4. Playground Games reprend la recette pour nous fournir un nouvel opus qui se déroule cette fois au Royaume-Uni et qui introduit une grosse nouveauté : les saisons. Est-ce pour autant suffisant pour justifier un achat plein pot ? Les développeurs nous réservent-ils d’autres surprises ? C’est ce que nous allons voir…

La campagne, ses prairies, ses champs…



Pour dépayser les joueurs, Playground Games a simplement à changer la map de ses Forza Horizon. En 2016, le studio avait su régaler les joueurs avec l’Australie, un terrain de jeu dépaysant offrant de magnifiques panoramas et une belle diversité niveau topographie. Cette année, malgré les rumeurs qui voulaient que le Japon soit au rendez-vous, les développeurs ont opté pour le Royaume-Uni, plus précisément pour une version fortement réinterprétée du Nord de l’Angleterre et du Sud de l’Ecosse. C’était la seule option possible pour donner du relief et de la diversité à la carte. On peut ainsi visiter plusieurs sites pittoresques, du Parc National de Lake District au Viaduc de Glenfinnan, en passant pas Derwent Water, les plages de la Mer du Nord ou encore Edimbourg, seule grande ville réellement modélisée. S’il y a pas mal de prairies et de champs, il faut bien avouer qu’on a plaisir à errer du côté des plages, à passer par les pics enneigés avant de traverser des sous-bois ou des champs pour finir au frein en main dans la partie citadine. C’est moins exotique que par le passé, moins exotique que le pays du Soleil Levant mais ça reste très appréciable pour profiter des magnifiques panoramas que la carte a à nous offrir. La carte est grande, monde ouvert oblige, on peut couper à travers champs et on apprécie les animaux qui s’échappent lorsqu’ils entendent notre moteur.

En revanche, on regrette que les animations des avatars soient si sommaires, tout comme les modèles desdits avatars qui sont clairement en deçà. Rien de méchant en soi, mais comme il y a plein d’éléments à débloquer pour les habiller, voire même des emotes pour leur attribuer une petite touche supplémentaire, on regrette que ça ait été intégré sans le soin approprié. De même, certaines textures ne sont pas toujours très belles de près, la végétation scintille par moments, des éléments apparaissent subitement, la machine les intégrant un peu tard et quelques très légères chutes de framerate se font parfois sentir, surtout lorsque l’écran est chargé (typiquement en automne). Mais tous ces petits défauts ne sont que rien comparés au travail fourni sur le reste. Sur une Xbox One standard, le jeu est joli et tourne bien. Sur Xbox One X, c’est juste magnifique. Ce n’est pas forcément une claque, le Forza Horizon 3 avec le patch Xbox One X étant déjà passé par là, mais il faut reconnaître que le résultat est saisissant. Les textures au sol sont superbes, les véhicules sont bien modélisés, les paysages sont magnifiques, la profondeur de champ est bonne et le tout fourmille de détails, avec des couleurs qui sont juste parfaitement dosées.

Ajoutez à cela un ciel tout bonnement magnifique qui change dynamiquement selon la météo et vous obtenez un véritable régal pour les yeux, notamment en mode 4K. La contrepartie, c’est qu’il faut jouer en 30 FPS. Comme il est stable, cela ne dérange pas pour autant et ça permet de profiter du mode photo, même si les défis avec les drivatars ont disparu. Sinon, on peut opter pour le mode performance et profiter d’un 60 FPS offrant un rendu plus nerveux, même si la baisse visuelle se remarque, et ce bien que le titre reste beau. Pas de 4K sans concession comme le criait haut et fort Microsoft à l’annonce de la One X, mais on s’en doutait vue les caractéristiques de la bête. Toujours est-il que vue ce qu’elle comporte, le résultat reste assez bluffant, bien qu’imparfait. La contrepartie de cette qualité visuelle, c’est la présence de chargements longuets, à chaque fois que l’on entre ou sort d’une activité ou d’un événement. Et nous ne parlons pas du tout premier chargement, au lancement du jeu, qui laisse le temps de se faire un café tranquillement. Niveau sonore, le constat est un peu plus mitigé. Si certains bruits de moteurs sont très réussis, d’autres le sont beaucoup moins, avec un effet étouffé plutôt étrange. Les autres bruitages sont plutôt bons en revanche. Du côté des radios, encore une fois il y a du choix, que l’on soit plus rock, électro, classique, etc.

Le classique, c’est la base

Personnellement, nous avons encore une fois un vrai coup de cœur pour Timeless qui diffuse de la musique classique, sans compter le présentateur qui a un humour so british à tomber. Comme à son habitude, le contenu est plutôt riche. Trésor de granges à dénicher (merci le drone pour gagner du temps), entreprise à acheter et missions de pilotage à effectuer pour faire grimper les revenus (un régal au passage), drifts, zones de vitesse, radars, panneaux à éclater, le contenu annexe ne manque pas pour les fans de 100%. Petite nouveauté au passage, les développeurs ont cette fois-ci pris en compte les retours des joueurs pour faire passer les véhicules de la circulation en ghosts lors des épreuves de zones de vitesse et de drifts, ce qui enlève les aléas d’une mauvaise collision… et simplifie donc un peu la donne. A cela il faut ajouter les panneaux dangers qui donnent droit à de beaux sauts, les zones à découvrir, toutes les routes à parcourir ou encore les sites pittoresques histoire de ne pas rater les lieux à visiter. Bien entendu, tout ceci, ce sont les à-côtés des courses de rue, sur terre ou sur route, le tout en sprint d’un point A à un point B ou en circuit à base majoritairement de trois tours, des épreuves mixtes et du Cross-Country qui offre plus de libertés côté off-road et pousse à foncer dans les murets et dans certains arbres fins (là où les gros vous stopperont net). Pour parfaire la recette, aussi éprouvée qu’efficace, il y a les fameux rassemblements, au nombre de cinq. L’occasion d’affronter un aéroglisseur, un avion, un train et des motos, à deux reprises pour ces dernières (dommage d’ailleurs de les voir dans le jeu et de ne pouvoir les piloter…).

Les plus, ce sont les épreuves Laracer dédiées à des scènes en bagnole issues de jeux vidéo et le rassemblement spécial Halo. Encore une fois, on regrette que les courses se finissent majoritairement en quelques minutes, la seule qui tire (à dire vite en toussant) vers l’endurance étant l’épreuve Gantelet qui demande douze minutes de concentration. Comme dans le précédent, on peut profiter des épreuves en solo, contre un rival, en coopération ou en multijoueur. On peut même les personnaliser, pour déterminer le moment de la journée, la saison, le type de véhicule, etc. Rien de neuf sous le soleil mais, encore une fois, c’est complet et efficace. Pour pousser le joueur à continuer, le titre le récompense quasiment constamment. Dans un premier temps, on a une barre d’expérience liée à notre personnage, octroyant des bonus à chaque niveau atteint. Dans un deuxième temps, on a une barre d’expérience pour chaque type d’épreuve, allant jusqu’à octroyer de l’expérience pour les streamers utilisant Mixer. Là encore, on grimpe les niveaux et on obtient des bonus, quand ce ne sont pas des Wheelspin, cette roue qui tourne, s’arrête et montre le lot qu’on gagne. Ca c’est pour le tirage normal puisqu’il y a même un super tirage permettant d’avoir trois lots d’un coup.

De même, à chaque course, on gagne des crédits, en plus de ceux obtenus dans les Wheelspins. Rapidement, on engrange les millions que l’on dépense majoritairement pour s’acheter l’une des douze propriétés de la carte, qui peut également être définie comme notre QG pour assurer les voyages rapides, moyennant finances… sauf si on parvient à détruire les panneaux Fast Travel pour avoir des réductions ou rien à payer quand on les a tous. Bref, on débloque tellement de choses (klaxons, habits pour avatars, bolides, crédits, emotes, etc.) qu’on se croirait presque à chaque instant à Noël. Comme en plus le jeu ne pousse que très rarement à changer de véhicule pour les épreuves, on peut se lancer dans un rallye avec notre Mustang taillée pour la route sans problème, l’I.A. s’alignant sur notre bolide (pensez alors à vous faire livrer une voiture plus appropriée avant de vous lancer dans l’épreuve), il faut bien avouer que les crédits s’accumulent vite sans être forcément trop dépensés. Pourtant, on peut acheter de nouveaux bolides, des améliorations, des éléments de personnalisation, faire un tour par la vente aux enchères, etc. mais comme on débloque beaucoup d’éléments rapidement, on n’a même pas le temps de profiter de tous les bolides qui s’accumulent dans notre garage.

La même recette aussi efficace qu’éprouvée…

Autant le dire, avant de faire le tour des 450 véhicules, il y a de quoi faire, et ce même s’il manque des marques comme Toyota, Mitsubishi ou, comble, Rolls Royce. La nouveauté cette année, c’est que le festival Horizon se déroule différemment de d’habitude. Ainsi, après une introduction qui permet de goûter aux joies des quatre saisons, on se retrouve à devoir enchaîner les épreuves pour accumuler des points d’influence (la façon de conduire et d’autres éléments permettent également d’en obtenir). Ces derniers permettent d’atteindre des paliers, typiquement, l’intermédiaire étant un rassemblement et le suivant le changement de saison qui s’opère en revenant à l’accueil du championnat. Une fois les quatre saisons parcourues, soit une année virtuelle passée (à peu près le niveau 20 passé en environ six heures en allant à l’essentiel et en optimisant les enchaînements des épreuves, une huitaine en prenant un peu plus son temps), le festival prend une autre forme, bien plus orientée en ligne. En effet, pour accéder au bracelet du festival et montrer qu’on est le meilleur, on participe à des épreuves temporaires liées aux saisons, à raison d’une saison par semaine (temps réel). C’est là qu’on constate quelques soucis, comme l’attente entre le moment où l’on s’inscrit à l’épreuve et celui où on peut participer, surtout que certaines catégories de véhicules sont bien plus exploitées que d’autres, laissant parfois le joueur sur la touche, qui doit alors attendre la session suivante.

Autre souci, les championnats demandant de gagner en équipe, on se retrouve contraint à dépendre d’autres joueurs… et donc de perdre alors qu’on a dominé toutes les courses. Heureusement quand même qu’en PvP, les prouesses (liées au véhicule cette fois et non au joueur, chaque bolide ayant donc son arbre de « compétences ») ne sont plus prises en compte pour gagner, cela évite les petits malins qui finissent dernier mais rattrapent le tout avec les cascades et autres drifts. Bien entendu, on démarre aussi le Forzathon qui demande de pulvériser des records sur des défis quotidiens et hebdomadaires, encore une fois pour obtenir des récompenses. Si le multijoueur est plutôt stable et appréciable, il faut avouer que tout n’est pas parfait comme nous avons pu le voir. Cela vaut également pour la gestion des Clubs qui a été reléguée sur le Dashboard de la console et non plus in-game. Ajoutez des joueurs souvent bourrins (certes, ce n’est pas imputable au jeu – quoique des pénalités pourraient très bien être envisagées), et vous aurez plutôt tendance à vouloir jouer avec vos amis. Cela est d’autant plus vrai que la gestion du replacement après un checkpoint loupé n’est pas toujours bien gérée. Vous pourriez donc rager d’en louper un parce qu’un véhicule vous a poussé juste avant, ce qui peut souvent être synonyme de défaite.

Toujours est-il que le monde ouvert est connecté et accueille jusqu’à soixante-douze joueurs par session. Toujours au menu des regrets, pour chipoter, on note des collisions qui sont fortement à améliorer, et ce même avec les dégâts en simulation, des Drivatars assez résistants qui permettent de s’appuyer dessus pour tricher sur les dépassements ou encore une caméra cockpit qui mériterait à être plus dynamique. Disons que ces détails sont légitimés par le fait que les développeurs ont trop misé sur les deux nouveautés majeures (la carte et les saisons donc). En effet, niveau gameplay, on retrouve typiquement Forza Horizon 3, qui était une version affinée du 2. Est-ce une mauvaise chose pour autant ? Non, car le gameplay offre un parfait équilibre entre arcade et réalisme (hormis lors des accidents). Avec toutes les aides, le titre est ultra accessible et délivre juste du fun sans prise de tête. Puis on modifie les paramètres, on retire le rewind, les marqueurs de trajectoire, le contrôle de traction, l’abs, etc. et on obtient une expérience bien plus exigeante. Les drivatars sont eux aussi à paramétrer pour ajuster la difficulté. Le système basé sur les profils d’autres joueurs, dont ses amis, reste toujours valable même si quelques petits couacs mériteraient des ajustements, notamment au niveau de certains dépassements ou des virages, sans parler de la petite triche, selon la difficulté choisie, qui fait que l’I.A. lève le pied en fin de course pour nous permettre de gagner ou conduit avec des aptitudes limite hors normes dans la difficulté la plus élevée.

Rien de méchant en soi, même en solo avec les Drivatars on prend un réel plaisir à conduire et à y revenir. On note quand même que la conduite à grande vitesse a légèrement gagné en finesse là où l’on regrette un peu un certain manque de sensations de vitesse avec des véhicules plus modestes. Bien sûr, avec une Bugatti ou une Ferrari, quand on tape au-dessus des 250 km/h, la vitesse de défilement impressionne. Quant aux fameuses saisons, la grosse nouveauté de cet opus (on ne cesse de le dire, certes), elles apportent avant tout un véritable renouvellement de l’ambiance. Ce sont quatre cartes qui ont été implantées pour bien mettre en avant toutes les spécificités de chaque saison, des fleurs éveillées au printemps aux eaux gelées en hiver, en passant par les feuilles mortes de l’automne et les éblouissements du soleil l’été. Chaque saison apporte son atmosphère. C’est un régal pour les pupilles, on apprécie tous les détails (le ciel, encore une fois, les particules qui volent, les flocons de neige, les différentes intensités de pluie, etc.), bref on se régale. Par contre, niveau conduite, les changements induits par les saisons ont moins d’impact qu’on le souhaiterait. Bien entendu que le verglas fait déraper, bien sûr que les trous gorgés d’eau nous retiendront ou que les bas côtés nous feront glisser mais l’ensemble se montre un peu timide, même avec les aides désactivées. Reste quand même des moments de pur délice, comme les chemins boueux verglacés qui demandent un certain doigté, alors qu’une flaque d’eau aura moins d’impact que prévu sur l’adhérence. Un poil dommage même si ça n’enlève rien au plaisir procuré.

L’avis perso de Vincent // Excellent mais fainéant...

Autant le dire tout de suite, Forza Horizon 4 est assurément l’un des jeux de course les plus funs, avec son monde ouvert travaillé, ses saisons qui apportent un énorme plus (ambiance, aspect visuel, quelques subtilités de pilotage mais pas assez prononcées), son Royaume-Uni que l’on prend plaisir à parcourir même si on finit par se lasser des grandes plaines et autres champs. Je recommande bien évidemment le jeu, j’ai pris un sacré plaisir à le faire. Par contre, je reste avec des regrets, notamment celui que les développeurs ont tout misé sur la carte et les saisons… Car dans le fond, ça reste un Forza Horizon 3 à peine retouché, avec les mêmes types d’épreuves, la même conduite, certes excellente, etc. Il y a du contenu, il y a de bonnes idées (les prouesses liées au véhicule, les différents niveaux de level up) mais certaines ne sont pas assez exploitées (les maisons qu’on ne peut pas visiter en tête) et je regrette que les développeurs n’aient pas affiné d’avantage certains points, comme les collisions, les bruits moteurs ou encore la vue cockpit. Bref, le titre n’est pas parfait, il fait plus Forza Horizon 3.2 mais j’en redemande et j’y retourne avec plaisir parce que j’adore conduire en automne et en hiver, parce que je prends un pied monstre à changer de véhicule, ce qui change parfois drastiquement la façon de conduire, et parce que c’est intelligent d’avoir un système permanent avec une saison par semaine et des défis dédiés qui poussent à y revenir régulièrement. Bref, c’est assurément le meilleur opus et en même temps le plus fainéant, l’impact des saisons sur le gameplay restant léger par rapport à ce qu’il aurait pu être.

L’avis perso d’Hervé // Proche de FH3, qualité constante…

A l’annonce du nouveau Forza Horizon, la région choisie ne me vendait clairement pas du rêve après l’Italie / France et surtout l’Australie… mais le nouvel ajout des saisons présenté semblait intéressant. Une fois la version finale en main, on retrouve directement les bonnes sensations de la série. Graphiquement le jeu est joli, le mode fluidité est un gros, gros plus. Les précédents opus étaient des bombes, donc la confiance était là en Playground Games mais quelques points me chagrinent personnellement et le premier est l’habillage lourdaud autour du jeu : les menus et animations inutiles et répétitives en fin d’épreuve que nous ne pouvons passer, l’accumulation bien trop rapide des crédits en jeu couplée au fait qu’à un aucun moment nous ne sommes poussés à les dépenser. J’entends par là que nous pouvons faire (quasi) l’intégralité du jeu avec le même véhicule. Ces quelques points noircissent légèrement le tableau sans pour autant entacher le bilan global. J’aurais voulu un peu plus de nouveautés que juste l’ajout des saisons et le changement de décor tout de même. Pour le reste, le schéma se veut très (trop ?) proche du FH3 mais cela n’enlève en rien les qualités indiscutables du jeu surtout qu’il figure depuis sa sortie dans le Game Pass ! Du fun direct, du gameplay arcade ou simu selon les choix des joueurs, une grande map blindée d’épreuves en tous genres, une technique solide 4k ou 60 fps, le jeu devrait répondre à de nombreuses attentes.


Point complet
Si le Royaume-Uni revu et revisité par Playground Games n’a pas le charme de l’Australie, il offre tout de même une aire de jeu très sympathique avec suffisamment de décors différents et de panoramas magnifiques pour donner l’envie d’y retourner. Les tracés sont souvent bien vus, il y a des lignes droites, des virages plus ou moins serrés, certains à 90°, des rues larges, des passages étroits, etc., bref, les développeurs montrent une fois de plus qu’ils savent faire un jeu de course arcade, mais réaliste, qui sait se montrer exigeant dès qu’on enlève les aides. Tout n’est pas parfait, comme vous avez pu le lire, mais les grosses bases ultra solides de FH3 couplées à la nouvelle carte et aux quatre saisons, qui changent totalement l’atmosphère et les effets visuels, suffisent pour enchaîner une trentaine d’heures de jeu sans presque s’en rendre compte. Ajoutez en plus une version Xbox One X en mode 4K (mais 30 FPS) simplement sublime, malgré des impairs techniques, ou plus nerveuse en 60 FPS (mais en 1080p) et vous comprendrez que c’est clairement un jeu à avoir dans sa ludothèque. En sus, et c’est le gros plus, si vous ne voulez pas le payer plein pot, vous pouvez en profiter tranquillement grâce au Xbox Game Pass, le temps de le trouver à un prix plus bas…

On a adoré :
Les saisons (visuels, atmosphère)
Gameplay réussi
Beaucoup de contenu
Les différences entre les bolides
Les rassemblements
L’épreuve Gantelet
Monde ouvert connecté
Une carte appréciable
Des panoramas magnifiques
Les modélisations des bolides
Les défis Forzathon
Plein de récompenses
Le système de niveau par épreuve
Les prouesses liées au véhicule
Conduire sous la neige !
Timeless, un régal
Toujours un truc à faire
L’Horizon Life
Drivatars satisfaisants
La version One X
Bases solides d’Horizon 3…
On n'a pas aimé :
Avec peu d’améliorations notables
Peut-être trop de récompenses ?
Certains bruitages moteurs
Vue cockpit pas assez dynamique
La gestion des Clubs
Les championnats par équipe
Quelques impairs techniques
Chargements longuets
Avatars sommaires…
Leurs équipements futiles
Transitions lassantes
Impact des saisons sur le gameplay un peu léger


Consulter les commentaires Article publié le 21/10/2018 par Vincent P.


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