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Statut
Disponible
Date de sortie
  20.03.2018
Nombre de joueurs
1
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Test - A.O.T. 2 - Xbox Gamer - Toute l'actualité Xbox Series X|S et Xbox OneAvec pas loin de dix ans d’existence, l’Attaque des Titans (Shingeki no Kyojin de son nom original) fut un véritable succès au Japon avant de s’étendre à l’Amérique et l’Europe. Ce succès lui a valu d’avoir le droit à une adaptation en jeu vidéo. En 2016, Koei Tecmo a chargé Omega Forces d’adapter l’animé sur PC, PlayStation 3 et 4, ainsi que sur Xbox One, ce qui a donné A.O.T. Wings of Freedom. Fort d’un passif commun costaud et d’un véritable pedigree listant de nombreux hits (que ce soit ensemble ou chacun de son côté, dont les séries de Musous Dynasty Warriors, Samurai Warriors, Warriors Orochi, Hyrule Warrior, Dragon Quest Heroes, One Piece Pirate Warrior, sans parler dans un tout autre registre de Toukiden, NiOh, Dead or Alive ou encore Ninja Gaiden), le duo a proposé un premier opus plutôt bien reçu par la presse et les joueurs. Du coup, un an après la sortie du premier, l’éditeur a annoncé une suite pour une sortie en mars 2018.

Online, c’est parti ! (ajout du 23/03/2018)
Les serveurs étant à présent ouverts, nous avons pu nous pencher sur le contenu multi déjà disponible. Cela se passe via le mode bonus, offrant la possibilité de choisir de passer online ou offline. Comme pour la partie solo, vous avez la possibilité de jouer un personnage débloqué via le mode histoire ou votre propre avatar. Une fois cela fait, vous voici dans un camp où vous avez accès à plusieurs PNJ marchands, donneurs de quêtes, etc. Nous allons nous intéresser à ce PNJ permettant de rejoindre une partie existante ou d’en héberger une nouvelle (qui du coup sera visible dans les parties existantes pour les autres joueurs). Si vous voulez rejoindre une nouvelle partie, vous verrez la mission en cours et le nombre de joueurs pour chacune d’entre elles. Si vous en créez une nouvelle, cela sera à vous de choisir la mission que vous désirez faire parmi celles que vous avez disponibles. En pleine mission, vous pourrez déclencher des fusées de détresse pour appeler à l’aide, un peu à la manière de MH : World, lors de missions corsées (l’alerte sera visible depuis un personnage, juste à côté de celui qui propose de créer/rejoindre une expédition). Le multi est donc simple mais efficace… et surtout stable ! Un autre personnage vous proposera de rejoindre le mode « Annihilation », qui n’est autre qu’un mode compétitif de type PVP en 4v4. En plus de devoir scorer en abattant du titan et construisant des bâtiments, vous aurez la possibilité d’aller gêner l’équipe adverse de différentes façons. Plus la fin de la partie approchera, plus vos actions donneront des points. Cela propose de l’action frénétique dans un mode de jeu assez original. Vous aurez, comme précédemment, le choix de créer ou rejoindre une partie existante. Dans un cas comme dans l’autre, le matchmaking a été super rapide et le code réseau nous a semblé stable. Nous n’avons connu aucune gêne en partie et n’avons ressenti aucun lag (ce qui n’a pas été le cas de tous les jeux sortis le 20/03, hum, hum…).

L’attaque des Titans !



AOT2 prend place dans la saison 2 de l’anime, faisant office de suite directe au premier opus qui retraçait quant à lui la saison 1 du manga. Dès le mode Histoire lancé, une introduction retrace le contexte et quelques faits importants de la saison 1, notamment par l’intermédiaire d’une série de cinématiques et de scènes pré-calculées en vue à la première personne. Le monde est au bord de l’extinction suite à l’invasion de la Terre par une horde de géants affamés dévorant tout être humain sur leur passage. L’humanité se retranche derrière trois murs, comme derniers remparts pour la survie de l’espèce humaine, nommés Maria, Rose et Sheena. Vous assistez à l’attaque du District de Shiganshina et l’incursion du mur Maria… Ainsi, celui qui a zappé le premier opus ou qui découvre la licence par le biais d’AOT2 n’est pas perdu. Le joueur dispose des billes nécessaires pour profiter pleinement de l’univers.

Mode Histoire : Votre avatar en route !

Petite nouveauté et non des moindres, une fois l’introduction passée, il est l’heure de s’attaquer à la création de l’avatar à incarner dans le mode Histoire. Au début, vous ne disposez que de peu d’outils pour créer votre personnage, avec peu de modifications possibles, basées essentiellement sur des presets prédéfinis. Dès que vous terminez le tutorial, le système change, offrant bien plus d’outils de personnalisation et de possibilités afin de vous assurer d’avoir un personnage unique.

Une fois cela fait, votre avatar côtoiera des personnages connus de la série comme Eren Jäger, Livai et Mikasa Ackerman ou encore Armin Arlert pour ne citer qu’eux. Vous serez une personne à part entière de l’équipe et des différents escadrons qui devront faire face aux attaques de ces géants mangeurs d’hommes. Koei Tecmo et Omega Force, comme pour le premier opus, cherchent à créer une véritable vision vidéoludique de l’histoire de l’anime, et non à proposer un spin-off. Le mode histoire se compose donc d’une alternance entre les phases de jeu lors des missions et les passages dans des camps/villes pour vous préparer. Le tout est agrémenté des fameuses cinématiques et autres scènes pré-calculées déjà évoquées. De nombreuses quêtes annexes sont également disponibles et visibles sur la carte lors de vos missions, avec notamment des sauvetages et des récupérations. Remplir ces quêtes apporte des bonus sympathiques, en sachant que des compagnons vous accompagneront de temps en temps.

A noter que la plupart de ces quêtes annexes ne restent disponibles qu’un temps donné. A vous de prioriser vos missions et actions à bon escient ! Est-ce qu’on prend le risque d’abandonner l’objectif principal ? En a-t-on le temps ? Temporise-t-on la mission annexe quitte à prendre le risque de voir l’appel de détresse finir par la mort du personnage qui avait besoin d’aide ? A vous de répondre à ces questions. Ceci dit, après le tutorial, ni trop court, ni trop long, vous partez pour votre première mission demandant de repousser des titans. Action garantie ! C’est fluide, le rythme est plutôt bon et on ne s’ennuie pas dès lors qu’on accroche au gameplay original du titre. Selon le type de map, vos déplacements se font via votre équipement tridimensionnel, uniquement dans les villes fortifiées par exemple, ou via un cheval sur les maps plus étendues et ouvertes, comme les grandes plaines qui rappellent certains environnements des licences Musou phares de Tecmo Koei et Omega Force.

A la fin de chaque mission, un récapitulatif vous attribue un score selon le nombre d’objectifs remplis, le temps passé dans la mission, le nombre de titans mis à mort, etc. Vous verrez alors votre niveau augmenter, les liens d’amitié avec les autres personnages ou encore les butins récupérés. L’avancée du mode histoire, au début de notre aventure, permettait de penser (à tort !) que le solo était assez court. En effet, nous avions atteint les ving premiers pourcents en seulement deux heures… Mais c’était sans compter sur le fait que plus vous avancez dans le titre et plus vous débloquez de possibilités, de contenus et d’activités en jeu. Le titre nous entraîne facilement dans tous ses méandres avec une histoire qui tient en haleine et qu’on a hâte de découvrir. Attention toutefois, si vous connaissez bien le manga, il n’y a pas vraiment de surprise. En ligne droite, sans se préoccuper du reste, le jeu demande une bonne quinzaine d’heures mais cela revient à passer à côté d’énormément de choses. Nous parlerons de ce contenu annexe après avoir évoqué le gameplay, certains éléments dudit contenu étant évoqués avec la manette dans les mains !

Il est l’heure d’attaquer du Titan



Comme nous l’avons évoqué plus haut, peu après le tuto, nous sommes lâchés dans le grand bain pour de l’action et… heu… de l’action ! L’approche est similaire à celle du premier opus. Votre personnage est de base équipé de ses lames et de son équipement tridimensionnel. Instantanément, nous retrouvons un jeu dynamique, nerveux, rapide et brutal. Pour ceux qui découvrent la série, précisons que votre personnage se déplace via son équipement tridimensionnel, une de sorte de grappin permettant de s’accrocher un peu partout pour vous envoler et vous déplacer sur la map. Ce grappin permet aussi de s’attacher aux titans afin de leur foncer dessus pour leur asséner vos coups, l’objectif final étant de réussir à leur sectionner la nuque. Chaque ennemi a plusieurs points sélectionnables pour les attaques, en sachant que certains adversaires doivent être affaiblis au préalable en attaquant les zones « points faibles » (entourées d’un halo vert) avant de leur donner le coup de grâce. La base du gameplay est donc identique à celle du premier volet.

Nous pouvons toutefois compter sur quelques ajouts et autres modifications ci et là. Nous profitons toujours d’un véritable ballet aérien, cherchant le meilleur angle pour attaquer les ennemis. La nouveauté, c’est qu’il faut désormais avoir une vitesse suffisante pour mener à bien l’attaque. Se lancer à l’assaut d’une articulation à deux mètres de l’ennemi risque de vous jouer des tours, quand l’attaque n’échoue pas. La gestion de l’angle est également importante. C’est frais et assez novateur dans le genre ! Ce système doit être couplé à l’utilisation des renforts disponibles pour donner l’impression d’un véritable travail d’équipe. Ca rend un côté assez vivant et c’est vraiment fun d’enchaîner les titans sans poser un pied à terre. La jouabilité est particulière mais, si on accroche, on se régale. Chaque utilisation de votre équipement tridimensionnel utilise un peu de gaz, tandis que vos lames s’abiment à force d’être utilisées. Il faut donc utiliser des composants spécifiques pour recharger/remettre en état vos équipements lors des missions. C’est là qu’interviennent les bâtiments.

Vous découvrirez sur la map divers emplacements disponibles pour ériger des structures, comme des bases de ravitaillement justement, des tourelles automatiques ou manuelles ainsi que des stations de récupération de composants qui vous aideront plus ou moins pendant vos missions. Omega Force étant un habitué du genre, nous sentons encore une fois sa maîtrise des zones de jeu ouvertes, tout en restant suffisamment restreintes pour ne pas s’y perdre. On a donc de l’action dans tous les sens même si les ennemis, à défaut d’être aussi nombreux que dans les Musou traditionnels, sont plutôt imposants par leur taille. Si nous avons l’habitude d’une redondance inévitable dans la plupart des Musou, il n’en est rien avec AOT 2. Les développeurs ont été suffisamment malins pour varier les topologies des terrains et les ennemis afin que les stratégies à mettre en place pour en venir à bout soient sans cesse renouvelées. On a une réelle sensation de liberté, un vrai sentiment de puissance, même si les titans savent rappeler qu’ils ne sont pas là pour enfiler des perles, bref, l’impression de faire ce que l’on veut quand on veut. Autant dire que c’est défoulant et suffisamment jouissif pour ne pas lâcher la manette quand on cherche à se détendre.

Contenu annexe

Entre chaque mission, nous avons le temps de vaquer à diverses occupations comme la customisation de notre avatar, les discussions avec les personnages pour faire grandir les liens d’amitié, l’achat/amélioration de nos armes et équipements via les marchands prévus à cet effet (c’est ici que nos composants gagnés seront utilisés), etc. D’ailleurs, les dialogues « amitiés » sont répertoriés sur la map (symbole d’une poignée de mains). Il suffit alors de s’y rendre et de lancer la discussion avec le personnage concerné, avant de choisir parmi les deux ou trois réponses disponibles en fonction de la situation. Si on vise juste, la barre « relation » monte. Cette gestion de l’amitié prend un peu de temps à gérer convenablement (surtout face à la quantité de dialogues et de personnages qui vous entourent) mais elle est essentielle pour atteindre des paliers, débloquer des bonus et surtout améliorer l’entente avec le protagoniste en question lors des missions.

Nous avons d’ailleurs la possibilité d’acheter des cadeaux pour nos « amis » afin de les leur offrir, donnant droit à un joli bonus d’amitié ! Ces compétences gagnées sont à activer en utilisant nos PC (points de compétence). A chaque montée de niveau, notre budget PC augmente de quelques points. De ce fait, nous pouvons activer plus de compétences simultanément ou des compétences de plus haut niveau. Ces dernières offrent par exemple une augmentation d’une statistique donnée, une usure plus lente des lames ou une augmentation des dégâts sous certaines conditions. Les combinaisons disponibles sont infinies, surtout qu’elles dépendent de votre façon de jouer ! Pour augmenter les stats, il est possible de participer à des entraînements disponibles dès que l’on débloque la section d’exploration.

Escouade Exploration



Après quelques heures de jeu dans le mode histoire, notre personnage débloque tout ce qui touche à l’escouade d’exploration et le fameux score de réputation « les ailes de la liberté ». Ce score augmente en complétant des quêtes, en réussissant certains dialogues et en complétant également les explorations. Ces dernières sont des quêtes qui nécessitent l’enchaînement de plusieurs missions et objectifs qui doivent être menés à bien avant le retour au camp (avec un camp de fortune disponible entre chaque mission de la séquence pour procéder à des ravitaillements). Déconnectée de l’avancée de l’histoire, cette partie nous permet de prolonger de façon assez conséquente la durée de vie du titre, en plus d’être sympathique à jouer. Au début, les missions sont rapides et assez simples mais plus vous allez avancer, plus la difficulté va se corser, plus les missions demanderont du temps pour être bouclées.

Il nous est possible, une fois l’escouade exploration intégrée, de rentrer dans le comité décisionnaire des activités de l’équipe. En jeu, cela donne un bonus à notre personnage, comme un léger bonus exp ou une utilisation moindre du gaz par exemple. Notre score « ailes de la liberté » sert également de monnaie en jeu pour nous payer des améliorations pour nos bâtiments constructibles. Ces points sont également à dépenser pour nos entraînements qui ont pour effet de booster une statistique précise de notre personnage en cas de succès… Oui, vous avez des « chances » que votre entraînement loupe ! Afin d’augmenter le pourcentage de réussite, il faut dépenser plus d’ailes de liberté. Nous tombons du coup très facilement dans l’engrenage « on a besoin d’ailes de liberté, on va donc faire ceci, on a nos points, on les dépense, il nous en faut d’autres, on va donc faire cela » et ainsi de suite.

Mode Bonus et technique

En plus du mode histoire, le titre propose le mode bonus. Il permet de jouer les missions principales déjà faites ainsi que les explorations avec différents personnages, en plus de celui que vous avez créé dans l’histoire. Il vous faudra débloquer ces personnages connus, au nombre de 30, en jouant le mode histoire avec quelques titans jouables au passage ! Cela dit, côté technique, le titre offre un mélange de cel-shading et de rendu type animé avec les traits de crayons bien apparents et une gestion des ombres proche de celle de l’animé. La technique globale est correcte : le jeu n’est pas une vitrine technologique mais cela fait le boulot. Il est fluide, propre et fidèle au manga, c’est déjà un bon point. Nous ne jouons pas à AOT pour s’en prendre plein les yeux de toute façon mais pour les hectolitres d’hémoglobine qui jaillissent de partout et pour les combats hors normes ! Nous notons tout de même que les mondes et décors sont assez vides, il n’y a pas de vie en dehors des titans, des escouades de tueurs de titans, voire de nos chevaux. Seule la destruction en temps réel des bâtiments apporte un peu de vie à la map en dehors des combats. Avec un test réalisé sur Xbox One X, nous n’avons pas rencontré de soucis lors de l’aventure, ni de chute de framerate visible. Le seul vrai souci technique, si on doit en lister un, c’est la caméra qui part en cacahuète de temps en temps, celle-ci ayant parfois bien du mal à suivre l’action frénétique du titre.
Article rédigé par Hervé / Aeons

L’avis perso d’Hervé // J’en veux encore !

Je me suis lancé il y a quelques jours dans le titre sans avoir réellement joué au premier opus (à peine deux ou trois heures). Cela revenait donc à sauter dans un jeu plus inconnu que connu et ce fut un véritable coup de cœur pour moi ! La maîtrise du studio, couplée à la fidélité du titre vis-à-vis de l’anime, en font un jeu complet au gameplay atypique qui est clairement la force la saga. Se maintenir dans les airs, allant d’un titan à l’autre tel un ange de la mort, est réellement plaisant et les sensations avec la manette dans les mains sont rapidement là grâce à une prise en main aisée. Ce gameplay n’est pas pour autant simpliste car nous découvrons rapidement en jeu que les combinaisons des possibilités offertes auront plus ou moins d’efficacité selon les associations que nous faisons. « Easy to use » dira-t-on, mais maîtriser le soft demande d’effectuer différents essais afin de voir comment on préfère jouer et ce qui envoie le plus pour éclater du titan. Le contenu du jeu se dévoile progressivement durant l’aventure et tout ce qui est annexe demande pas mal de temps pour être traversé. Il en va de même pour la gestion des amitiés, le craft et l’amélioration de notre équipement, le summum arrivant quand nous débloquons l’escouade d’exploration et tout le panel d’activités qui va avec !

C’est à ce moment-là que nous nous rendons vraiment compte que rusher bêtement l’histoire principale nous ferait passer à côté de pas mal de choses intéressantes, plaisantes et fun. Koei Tecmo et Omega Forces ont eu l’intelligence de proposer un prologue et un tutorial qui retracent les grandes lignes de l’histoire d’AOT, permettant aux joueurs découvrant le jeu, tout comme l’anime, de ne pas être perdus et de pouvoir donc se lancer dans AOT2 les yeux fermés ! Le jeu aura sûrement même la force de donner envie aux joueurs de découvrir le manga si ce n’était pas le cas ! Ils ont également su apporter quelques nouveautés donnant un réel attrait à cet opus, sans se contenter de n’être qu’une simple suite par la création/customisation de son avatar ou encore la gestion de la vitesse prise en compte lors des combats. Utiliser une base solide, la peaufiner et assimiler le tout avec une technique propre, je n’en demandais pas plus au studio. Les développeurs l’ont compris et cela se ressent ! Vous aimez les jeux d’action où le sang gicle partout ? A la recherche d’un gameplay original ? Ne vous faites pas prier, allez donc vous procurer votre exemplaire ! Comme noté plus haut, le titre a été un vrai coup de cœur et une très belle surprise. 2018 commence très fort et ce n’est pas avec AOT2 que cela va se calmer !


Point complet
Inutile d’y aller par quatre chemins, Omega Force et Koei Tecmo ont parfaitement rempli le contrat. Certes, le jeu n’est pas un canon de beauté et la caméra perd parfois les pédales, mais il faut bien avouer qu’ils ont réussi à assurer tout le reste. Le jeu est fidèle au manga et à l’animé, le gameplay est bon, c’est suffisamment bien pensé pour qu’on ne sente pas de redondance, le contenu est conséquent et les combats sont simplement jouissifs. En plus, cette suite apporte plusieurs petites nouveautés bienvenues qui justifient le statut de suite. Les développeurs ont su garder les bases solides du premier opus et les magnifier avec ce deuxième volet. Même les petits nouveaux ne seront pas perdus grâce à l’introduction d’un prologue réussi. Bref, c’est une totale réussite et nous avons hâte de mettre la main sur le multijoueur pour voir si cette partie a été ou non aussi travaillée que le mode solo…

On a adoré :
Histoire fidèle à celle de l’animé
Personnaliser son perso
La liberté des déplacements
Combats nerveux et brutaux
Prologue efficace
Bonne durée de vie
Pléthore de contenus annexes
L’escouade d’exploration
Les mécaniques typées RPG
La direction artistique
Multi stable, matchmaking efficace
Le mode Bonus
On n'a pas aimé :
Pas vraiment de surprise pour les connaisseurs
Caméra parfois capricieuse
Décors un peu vides


Consulter les commentaires Article publié le 15/03/2018 par Vincent P.


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