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Test - Diablo IV : Un retour très solide !

- Publiée le 28.06.2023, à 13:15
- Par Damien B.
Test - Diablo IV : Un retour très solide !

Diablo. Le nom du jeu est à lui-seul une référence, faisant partie de ces titres qui ont, comme certains, fait office d’étalon de mesure pour les joueurs. Certains parlent encore parfois de « Diablo-like » pour définir le hack n’ slash, tout comme à une époque on parlait des FPS comme étant des « Doom-like » Bref, la sortie d’un Diablo est un évènement à part entière, même si depuis quelques temps, ont fleuri des titres mémorables comme Titan Quest, Torchlight, Grim Dawn ou Path of Exile.

Malgré les travers de Diablo Immortal, dont la sortie attendue s’est transformée en descente aux enfers -notamment à cause de son système économique- la sortie de Diablo IV a été l’objet de toutes les attentions, et de toutes les craintes également à l’annonce d’un battle pass et de la boutique en amonte de la sortie du titre… L’attente en valait-elle la peine ?

Qu’est-ce que cette diablerie ?

Bienvenue à Sanctuaire, contrée vaste aux reliefs variés, parée de forêts, déserts, marécages et parsemée de grottes, villages ou cités en apparence bien protégées. Ce joli petit monde est la création de Lilith, antagoniste du jeu, fille du démon Méphisto, fraîchement libérée et déterminée à faire vivre l’enfer -littéralement- aux pauvres humains qui foulent le sol de Sanctuaire.

Et c’est là que vous, le personnage principal, intervenez. Car le sang de Lilith a été mélangé au vôtre, et votre destinée est désormais lié au sien. Lors de votre périple, vous ferez des rencontres amicales avec un panel de personnages plus ou moins charismatiques, mais ferez aussi face à des suppôts des enfers qui pour la plupart imposent le respect. Respect que vous aurez d’ailleurs l’amabilité de leur faire ravaler à coups de savate dans le pif, pour leur faire comprendre qu’à Sanctuaire, on met les pieds ou on veut, et c’est souvent dans la... Figure. Mention spéciale aux voix françaises, qui se révèlent très justes et participent à l’immersion avec brio.

La mise en scène est un des gros points positifs dans Diablo IV : les cinématiques en CGI sont superbes, avec de belles mises en scène qui non seulement sont jolies, mais savent appliquer des codes du cinéma et racontent quelque chose, sans être de simples passages bien modélisés pour faire plaisir aux yeux. L’histoire en elle-même reste dans le sillon des épisodes de la saga, avec un combat manichéen, mais avec quand même quelques petites surprises çà et là. Niveau écriture, l’histoire se déroule de façon agréable, sans non plus être un chef d’œuvre scénaristique. Mais c’est déjà bien au-dessus de ce qu’ont proposé certains épisodes précédents, ou certains concurrents, dont le scénario tenait sur un ticket de métro.

Les thématiques abordées sont assez variées, au-delà de la simple opposition anges et démons, on note quelques nuances. Et si les anges n’étaient pas si catholiques ? Et si les démons avaient des raisons qui pourraient faire réfléchir ? Et si les humains n’étaient pas pires que les deux autres camps ? Sans être non plus un pamphlet philosophique, la construction de certains personnages et passages de l’histoire tendent à semer le doute sur les ambitions et volontés de chacun. Et c’est ça qui fait qu’on s’accroche à cet univers, car les desseins de chacun peuvent se défendre, et que le destin de Sanctuaire n’est peut-être pas finalement l’enjeu le plus important…

La classe avant tout

Avant de commencer la campagne, vous allez passer par le classique mais ô combien crucial choix de votre classe. Cinq sont au menu de Diablo IV : barbare, voleur, druide, sorcier et nécromancien. Chacune est prévue pour proposer un éventail assez large de compétences, qui permettent aux joueurs de jouer selon leur envie : corps à corps ou distance, magie ou physique, se soigner, faire des dégâts dans la durée ou booster les compétences des camarades : la variété est de mise. Mais tout en gardant les traits principaux des classes évidemment : le barbare va bourriner avec une variété d’armes qu’il peut spécialiser à force de les utiliser, le voleur peut tirer avec un arc ou suriner avec des dagues, le sorcier utiliser des magies de différents éléments à distance, corps à corps, sur une cible ou plusieurs, le nécromancien peut ressusciter les morts ou utiliser la magie de sang, et le druide peut prendre des formes comme l’ours ou le lycanthrope et utiliser la magie tellurique.

L’aspect personnalisable de vos pouvoirs se matérialise dans l’arbre des compétences, faisant penser à celui de Diablo II en version revue et corrigée. Il est en effet divisé en 7 étages distincts, chacun proposant un type de pouvoir différent. Chacun de ces paliers représente un type de compétence : celles de base, les attaques principales, défensives, ultimes, et certaines qui varient selon la classe utilisée. Libre à chacun de se spécialiser dans une voie, ou de tout utiliser dans un type d’attaque par exemple. Mais il faudra utiliser vos points avec parcimonie, car vous allez obtenir au maximum 60 points de compétence dans le jeu, et les slots de compétence actives sont limités à 6 touches utilisables, avec en plus deux enchantements. Ces derniers sont des compétences qui s’activeront selon certains critères, regardez bien au moment de choisir une compétence si son utilisation en tant qu’enchantement est intéressante également !

Notez également que certaines compétences peuvent être déverrouillées/améliorées grâce à votre équipement, dont les bonus peuvent faire passer les niveaux de cos capacités au-delà de leur niveau maximal ! Mais l’équipement méritera son petit paragraphe un peu plus bas.

Au-delà du niveau 50, vous ne débloquerez plus un point pour vos compétences à chaque niveau passé, mais 4 points par niveau pour le Parangon. Sous ce nom barbare se cache l’un des cœurs de votre build : cet arbre de talents vous permet de booster vos points de statistiques (force, intelligence, dexterité…) mais aussi de débloquer des glyphes, qui sont cruciaux pour optimiser vos pouvoirs. Au fur et à mesure que vous dépenserez vos points, vous arriverez à certains nœuds qui vous permettront de poser le glyphe de votre choix et ainsi augmenter les compétences choisies selon certains critères.

Le but du Parangon n’est pas de débloquer toutes les cases d’un seul tableau non plus : arrivé au bout du tableau, sur une certaine case, vous pourrez choisir et poser un nouveau tableau ! Vous aurez le choix entre plusieurs « formes » de tableau avec des glyphes aux caractéristiques variés, et vous pourrez l’orienter selon vos préférences et vos compétences.

Par exemple, je joue un sorcier orienté feu et coups critiques. Dans le premier tableau de parangon, j’ai pris les compétences orientées intelligence et volonté. Arrivé au bout du premier tableau, j’en ai choisi un autre dans lequel se trouvait un glyphe légendaire qui octroie un bonus aux dégâts de brulure à hauteur de 40% des dégâts critiques. Une fois le second tableau posé, et orienté de façon à déverrouiller ce glyphe rapidement, il me restera à monter de niveau jusqu’à pouvoir débloquer le chemin vers ce glyphe et enfin le déverrouiller… Avant d’en trouve un autre, sur un autre tableau de Parangon.

Et ce qui est génial, c’est de pouvoir orienter votre personnage de façon unique : même si vous faites 10 fois la même classe, vous aurez toujours la possibilité de voir des résultats différents selon vos choix de compétences et de Parangon. Mais évidemment, votre build ne se repose pas que sur vos compétences et les glyphes…

La quête éternelle du loot

Car oui, le fer de lance des jeux du genre, c’est le loot ! Le butin que vous récupérez sur les corps de vos ennemis vous permettront évidemment de mieux vous défendre, mais aussi de pouvoir optimiser votre build grâce aux bonus qu’ils peuvent apporter. Comme d’habitude, la rareté du loot est codée par des couleurs diverses, du plus commun à l’objet unique :

  • Normal – Blanc
  • Peu commun – Bleu
  • Rare – Jaune
  • Légendaire – Orange
  • Unique – Or

Plus l’objet est rare, plus il propose de bonus, toujours aléatoires. Augmentation des stats, d’une compétence, de résistances aux éléments, de bonus de points de vie… Tout varie selon votre chance !

Evidemment, plus vous prendrez de risques, plus vous aurez de chance de tomber sur des objets légendaires, uniques, ancestraux, sacrés ou non… Cela va dépendre évidemment de votre niveau et de votre progression dans le jeu, mais surtout du niveau de difficulté choisi. Le niveau de difficulté 1 est pratique pour faire l’histoire et monter rapidement de niveau, le niveau 2 proposant un challenge un peu plus corsé mais avec des récompenses plus intéressantes. Ces deux niveaux sont jouables d’entrée de jeu.

Le niveau 3 nécessite de terminer la campagne puis un donjon spécifique en difficulté 2. Idéal pour les personnages de niveau 50 à 70, il vous permettra notamment de glaner des objets sacrés et/ou uniques. Enfin, le niveau 4 est réservé aux personnages 70+ qui ont terminé le donjon lvl 70 du Temple des Déchus, et permet notamment de récupérer des objets ancestraux, si la chance est avec vous !

Décortiquons les objets en détail : chacun dispose d’un niveau, indiquant son efficacité globale. Chaque objet rare dispose de divers affixes, modificateurs de compétences, qu’il est possible de modifier auprès d’un enchanteur contre quelques matériaux et de l’or, parfois en masse ! Prenons un exemple pratique, toujours sur ma sorcière feu : J’ai récupéré un objet légendaire sacré, cool ! Mais on de ses affixes augmente les dégâts sur les ennemis gelés… C’est moche ! Direction l’enchanteur, je choisis de remplacer cet affixe en particulier par un autre aléatoire. Il propose alors de choisir entre deux affixes, par exemple +40 en volonté et résistance au poison, mais si cela ne me convient pas, je garde l’ancien affixe mais je perds l’argent et les matériaux utilisés !

Une fonction très utile surtout à haut niveau. Une autre notion cruciale également est celle de l’aspect. L’aspect est un bonus octroyé par votre objet, comme un affixe, mais qu’il est possible d’extraire pour le réutiliser sur une autre pièce d’armure, arme, etc… Il est donc important de ne pas revendre n’importe quel objet légendaire, et plutôt d’extraire son aspect pour le graver sur une autre pièce d’équipement ! Attention cependant car l’objet source duquel vous allez extraire l’aspect sera détruit.

Exemple encore une fois pour illustrer le propos : J’ai looté un casque légendaire qui augmente la force et les attaques électriques… Pas très utile à priori. Mais l’aspect augmente mes dégâts de feu de 10% ! Je vais donc aller chez l’enchanteur, extraire cet aspect qui sera conservé dans mon inventaire. J’attendrai de trouver un objet qui méritera d’avoir cet aspect le moment voulu !

On retrouve le système de chasses également dans Diablo IV : certains objets peuvent accueillir des pierres précieuses, que vous trouverez au gré du jeu, et pourrez raffiner. Celles-ci ont des effets variés, selon leur nature, et selon l’endroit où vous allez les placer. Chaque objet peut contenir jusqu’à 2 pierres pour avoir quelques bonus intéressants. Il est possible auprès du joailler de dessertir les objets pour récupérer les pierres, mais aussi de créer des emplacements sur les objets non pourvus de ces emplacements.

Chaque pièce d’armure est également améliorable chez le forgeron, ou chez le joailler pour vos bijoux. Cela permet d’augmenter les stats de cet objet, et de booster par cette occasion votre personnage. Il faudra dépenser de l’argent, mais aussi des matériaux d’artisanat majoritairement récupérables en recyclant ce qui ne vous est pas utile. Notez qu’en recyclant certaines pièces d’armure, vous pourrez extraire leur aspect et vous en équiper au vestiaire pour avoir l’apparence de votre choix. C’est purement cosmétique, les stats étant toujours celles des objets équipés depuis votre inventaire.

Vous pourrez stocker vos objets en surplus dans le coffre présent près de la majorité des portails de téléportation, et vous pourrez les récupérer avec les divers personnages de votre compte ! Pour terminer sur les possibilités d’interactions marchandes, vous aurez aussi accès à un alchimiste pour préparer des potions et ainsi accentuer certaines résistances temporairement, avec un gain d’expérience également. Vous pourrez aussi fabriquer des encens, utiles pour l’équipe, afin de monter quelques résistances pour les combattants à proximité ! Aux écuries vous pourrez acheter des montures ou des cosmétiques pour votre canasson, nouveauté de cet opus, déblocables après avoir fait une bonne partie de la campagne. Il y sera aussi possible de customiser le cheval selon vos envies.

Et enfin, vous pourrez tomber sur le cabinet des curiosités ! Au gré de vos aventures, vous allez récupérer des oboles, une devise qui se trouve dans votre inventaire près de votre or. Elle est utilisable dans ce cabinet, soit pour acheter des clés chuchotantes et ouvrir les coffres silencieux parsemés sur la carte aléatoirement, avec parfois du très bon loot. Mais vous pourrez aussi utiliser les oboles pour tenter de glaner de l’équipement, avec une sorte de loterie. Choisissez le type d’objet voulu, et dépensez vos oboles : vous pourrez peut-être récupérer une très belle pièce ! Ou de la daube… Mais c’est l’jeu ma pauvre Lucette ! Voilà grosso modo pour la théorie… Et en pratique ?

Diablo Evolution

Terminées les zones générées aléatoirement, ici la map de Diablo IV est constante. Blizzard a ici joué sur l’aspect aléatoire des évents en jeu pour pimenter le jeu post-campagne. Cette dernière est en fait une énorme introduction pour donner de la texture à ce monde de Sanctuaire, des dizaines ou vingtaines d’heures pour se compléter, selon le niveau de difficulté, le fait de la faire seule ou en solo, avec des boulets ou pas… Bref, le gros du jeu, c’est tout ce qui est autour de la campagne. A commencer par les quêtes secondaires qui sont légion, avec une certaine variété selon les cas, mais vous n’échapperez pas aux quêtes FedEx ou aux quêtes de nettoyage de zone ! Mais tant que c’est bon pour l’XP et le loot, tout va bien !

Aléatoirement, vous aurez aussi des évènements locaux, avec un objectif à remplir en temps limité, qui seront l’occasion de sociabiliser avec des joueurs qui ont le même objectif. Vous pourrez même créer ou rejoindre un clan, afin de pouvoir vous retrouver plus facilement entre amis ! Le jeu multi est assez fluide, pas besoin de quitter votre session quand vous rejoignez un ami : vous vous téléportez dans sa partie, au même endroit où vous étiez. Si les débuts du jeu ont vu quelques soucis de connexion apparaître par moments, gageons que cela s’atténue au fil du temps… Notamment pour les joueurs hardcore, qui peuvent perdre leur personnage bêtement en cas de souci de réseau, ce qui est déjà arrivé au lancement du jeu…

La difficulté s’ajuste selon les joueurs dans le groupe, qui peut en contenir jusqu’à 4 simultanément. Si vous allez aider votre pote niveau 10 avec votre bourrin de niveau 60, vous n’allez pas nettoyer la zone d’un coup ! Les niveaux des ennemis s’équilibrent selon chacun des personnages, et vous ferez une quantité de dégâts certes parfois plus importante que votre petit camarade bas level, mais pas non plus trop abusée. Pratique pour conserver du challenge pour chacun ! Certains diront que les niveaux adaptatifs sont aussi un mal, par rapport aux challenges apportés par des créatures de plus hauts niveaux, et c’est pas faux. Pour le challenge, vous trouverez des bastions, qui sont capés à un ou deux niveaux au-dessus du vôtre, et souvent bien protégés ! Les terminer est crucial car ils débloquent une nouvelle zone de téléportation, et de nouveaux donjons.

Ces derniers sont intéressants car permettent, la première fois que vous les terminez, de déverrouiller une tonne d’aspects uniques et utilisables à l’infini pour vos armes et armures, dont nous parlions précédemment. A plus haut niveau, et en difficulté 3 et plus, il est possible de transformer ces donjons en donjons du cauchemar, avec plus de loot à la clé, mais aussi bien plus de dangers…

Vous trouverez également des zones PVP dans lesquelles vous pourrez choper une monnaie unique qui permettra d’accéder à des marchandises toutes aussi uniques, si le défi ne vous fait pas peur… Et bien d’autres évènements vous attendent, avec les World Boss et World Events, l’Arbre des Murmures et toutes ses mini-quêtes, les Vagues Infernales et ses ennemis qui arrivent de partout sur une zone dédiée de la carte pendant une heure… C’est d’ailleurs un évent fort intéressant, car les ennemis rapportent une monnaie valable un heure, qui permet d’ouvrir des coffres visibles uniquement pendant cette heure dans la zone indiquée, avec parfois des coffres bien cachés qui font pleuvoir du loot légendaire !

Bref, vous l’aurez compris : Diablo IV semble plutôt généreux en termes de contenu, mais nous aurions aimé en voir davantage avec le lancement de la saison 1 qui n’est pas encore disponible au moment d’écrire ce test. On aurait apprécié un peu plus d’originalité dans le bestiaire, qui est varié en quantité mais pas forcément créatif. A part les boss éventuellement, mais ça reste assez sporadique.

Et techniquement ? Le jeu est superbe, même sur Series S, la performance est fluide, agréable à l’œil, avec de jolies textures, des reflets, des détails qui fourmillent dans les zones habitées, des effets de brouillard et jeux de lumières qui rendent certains coins très lugubres… Ajoutez à cela un cycle jour-nuit qui rend certains endroits parfois méconnaissables, avec une DA léchée, Diablo IV ne pêche pas par sa variété ni sa plastique. On peut lui reprocher cependant d’avoir deux zones désertiques et deux déserts, par forcément foufou, mais la variété des biomes reste quand même assez intéressante malgré cela.

Quant à la maniabilité au pad, elle reste très bonne pour les phases d’action, mais on regrette que l’ergonomie ne soit pas au rendez-vous sur pour les compétences par exemple, avec un arbre plus simplement défini et visible d’un coup d’œil. Cela dit, le reste est tout à fait adapté à la manette, ce qui est crucial pour l’aspect action, lors duquel une erreur peut vite être fatale dans les modes de difficulté supérieures…



Point complet
Avec ce Diablo IV, Blizzard ne révolutionne pas le genre, mais consolide encore sa saga avec des améliorations intéressantes, et des nouveautés qui au final sont les bienvenues. Que ce soit seul ou en groupe, le plaisir de jeu est là, même si le démarrage du jeu a vu quelques déconvenues en termes de réseau. Mais contrairement à bien des productions actuelles, en l’état, le titre est parfaitement jouable, et a bénéficié d’un soi particulier à bien des niveaux pour que le joueur, débutant ou vétéran, puisse s’y retrouver. Le post-endgame est également plutôt bien amené, reste à voir ce qui va être proposé avec les futures saisons du jeu, car c’est là que ce genre de jeu se démarque : saura t’il transformer l’essai, ou sera-t-il oublié d’ici un an ? En tout cas Diablo IV vaut largement le détour pour sa campagne et le fun prodigué par des sessions en coop entre potes, le plaisir de la progression de son personnage et les tonnes de possibilités au niveau des builds, le tout enrobé par une DA de qualité et un gameplay accessible et plaisant !

On a adoré :
Les possibilités en termes de build
Accessible pour les néophytes
La DA et les cinématiques de qualité
Les personnages intéressants
Le doublage français
Le gameplay impeccable
Les possibilités niveau équipement
L’ergonomie des parties en coop
Les classes jouables intéressantes
Les multiples patches qui sortent pour optimiser l’expérience
On n'a pas aimé :
L’arbre de compétences pourrait être mieux présenté
L’originalité du bestiaire
Les soucis de connexion
Le suivi du jeu à définir avec les saisons
L’expérience actuelle qui nécessite de multiples patches !



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VOS REACTIONS
Posté le 30.11.23 @ 11:05

J'ai été sur les 2 bêta avant le lancement du jeu, histoire de tester ce nouvel opus.
Je suis content de voir que dans les critiques, on retrouve cet arbre de compétence mal foutu qui gâche le plaisir de monter son personnage.
En plus, vu le prix des jeux maintenant, je le trouve trop cher par rapport à ce qu'il nous propose.
Il a l'air très bien mais je ne pense pas mettre plus de 40€ dans celui-là.

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