Dossier - Hommage à la Xbox sur Xbox 360

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Dossier > Hommage à la Xbox
Même si la Xbox a connu ses derniers jours avec l'arrivée de la Xbox 360, ce n'est que depuis cette année que l'on peut la considérer comme "morte" avec l'arrêt définitif de son Xbox Live. Du coup, la rédaction de Xbox Gamer s'est mobilisée pour vous fournir un petit dossier pour réveiller en vous la fibre nostalgique. Coups de coeur, déceptions, présentation de la console et des accessoires, voilà un peu ce qui vous attend ci-dessous. Tout ceci est bien entendu personnel et lié au profil (certains rédacteurs n'ont eu la Xbox que plus tard) et aux goûts de chaque rédacteur ayant participé au dossier. Notez que le menu ci-dessous qui liste les rédac’ et leur pseudo sur le site vous permet d’ accéder directement à chacun de leur top et flop pour peu que vous cliquiez sur un nom.


Menu interactif
La Xbox et ses accessoires officiels
Les accessoires tiers
Etienne Froment (Rédempteur)
Vincent Padron (onizukadante)
Nicolas Tarier (Bibi)
Pascal Repond (Don Pascualino)
La Xbox et ses accessoires officiels // Presentation
1
Pour son premier essai dans le secteur des consoles, Microsoft a proposé la Xbox, qui venait principalement concurrencer la PlayStation 2 de Sony. Afin d'attirer les joueurs, le constructeur avait étudié son gros bloc noir pour en faire un support multimédia plus qu'une simple console de jeu. Ainsi, outre les quatre ports pour les manettes et un lecteur DVD, la console embarquait un disque dur fort pratique pour enregistrer notamment les sauvegardes de jeu, de la musique ou encore les éléments récupérés sur le Xbox Live. En effet, c'est certainement la console des précédentes générations qui a réussi à démocratiser au mieux le jeu en ligne, surtout après l'échec de la Dreamcast et le système extrêmement laborieux de la PS2 (adapteur ethernet, peu de monde en ligne, etc.). Aujourd'hui, la console repose en paix et c'est la Xbox 360 qui a repris le flambeau en 2005. Malgré environ deux ans de cohabitation, Microsoft a tout fait pour favoriser sa console HD, au détriment de la première Xbox qui n'était plus supportée. (sortie le 15 novembre 2001 aux Etats-Unis et le 14 mars 2002 en Europe)
2
Le pad original de la Xbox est bien sûr sorti en même temps que la console, soit le 15 novembre 2001 aux Etats-Unis et le 14 mars 2002 en Europe (le Japon ayant eu droit dès le départ au Pad S). Il va être l’objet de nombreuses critiques dès sa sortie. En effet il est gros, les flèches directionnelles sont très peu précises et fatigantes à utiliser et les gâchettes, bien placées, sont un peu dures. Sous la pression des joueurs européens et américains, il sera finalement rapidement remplacé par le Pad S, aussi bien à l’unité que dans les bundles Xbox. (sortie simultanée à la Xbox en occident).
3
Originellement destiné au marché japonais seulement, le Pad S va finalement devenir la véritable manette de la Xbox sur tous les continents. Les défauts flagrants et gênants de la manette initiale en Occident ont obligé Microsoft à revoir sa stratégie. Le Pad S est plus petit, tient mieux en main et propose des flèches directionnelles plus confortables bien qu’encore critiquables. Il va logiquement s’imposer chez les joueurs. (sortie simultanée à la Xbox au Japon, quelques mois plus tard en occident)
4
De nombreux joueurs utilisent leur Xbox comme lecteur DVD et Microsoft a bien sûr pensé à eux en sortant une télécommande tout ce qu’il y a de plus classique et efficace fonctionnant avec un récepteur infrarouge à brancher sur la console. Elle reprend d’ailleurs les couleurs de la Xbox, du noir et du vert saupoudrés de blanc. (sortie simultanée à la Xbox)
5
La Xbox contient un disque dur pour stocker sa musique, ses sauvegardes, etc. Elle est à ce titre une sorte de précurseur de la génération de consoles actuelles. La présence d’un disque dur réduit l’utilité de la carte mémoire qui ne sert presque plus qu’à amener des sauvegardes chez des amis pour charger sa partie sur une autre Xbox. Certains jeux empêchent malgré tout ces fonctionnalités de transferts en signant numériquement les données de façon à ce qu’elles soient inutilisables sur les autres consoles. La carte mémoire (l’officielle offrant une capacité de 8 mo) est ainsi un accessoire secondaire pour la plupart des joueurs. (sortie simultanée à la Xbox)
6
Le Xbox Live Communicator est en fait un micro-casque assez classique se branchant directement sur la manette de la Xbox. Il permettait de dialoguer avec les autres joueurs pendant une partie ou même d’enregistrer des messages vocaux pour les envoyer à ses amis. Il est possible de régler le volume ou d’activer/couper sa voix directement depuis le connecteur. (sortie le 17 octobre 2003)
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La Xbox est vendue avec un câble audio&vidéo tout ce qu’il y a de plus classique avec un câble jaune pour la vidéo et un blanc et un rouge pour l’audio en stéréo. En Europe, un convertisseur RCA vers prise péritel est fourni avec le câble, ce qui n’est pas le cas dans le reste du monde. (sortie simultanée à la Xbox)
Les accessoires de constructeurs tiers // Présentation
1
Signé du fabricant tiers Thrustmaster, ce câble est une évolution du câble audio&vidéo fourni avec la console offrant une sortie S-Video en supplément. Le S -Video permet d’obtenir une meilleure qualité d’image.(sortie le 17 juin 2002 – Thrustmaster)
2
Quelques téléviseurs plats (haute-définition ou non) et moniteurs d’ordinateurs intègrent déjà à l’époque des entrées composantes. Gamester propose alors un High Definition Pack permettant d’obtenir la meilleure qualité d’image possible sur ce genre d’écrans en offrant justement une sortie composante. Le pack inclus également les autres connectiques plus standards et non HD.(sortie le 14 mars 2003 – Gamester)
3
Qui dit jeu de tir, dit pistolet en plastique vendu avec. Attention il s’agit d’un "vrai" pistolet, pas d’un bout de plastique vendu 20 euros dans lequel vous devez glisser votre manette gyroscopique comme à l’heure actuelle. Le pistolet de The House of the Dead 3 est à l’image de la Xbox : noir et vert. (sortie le 20 mars 2003 en Europe - Sega)
4
Avec sa manette pas spécialement étudiée pour les jeux de combat, la Xbox avait bien besoin d’un stick arcade. Plusieurs fabricants en ont proposés dont Logic3 qui a sorti le sien le 1er mai 2003. Il est composé de 13 boutons dont huit boutons d’action et son design rappelle par de nombreux points celui de la console. (sortie le 1er mai 2003 – Logic3)
5
Le stick arcade de Gamester dispose de vibrations et de deux boutons programmables, en plus d’un design assez classe. Il est sorti en même temps que la Xbox en Europe et a donc été une arme de choix pour les fans de Dead or Alive 3 souhaitant retrouver le feeling de l’arcade dans leur salon. (sortie le 15 mars 2002 – Gamester)
6
Conscient que la manette classique de la Xbox a des défauts et que Microsoft était encore réticent à sortir le Pad S en Europe, les fabricants tiers tentent de prendre des parts de marché en proposant des manettes moins chères et plus petites tentant de répondre aux attentes des joueurs. C’est le cas de Gamester qui a lancé en novembre 2002 ses manettes Compact et Compact Pro dans différents coloris. (sortie en novembre 2002 – Gamester)
7
Certains se rappellent peut-être du design de cette manette assez éloigné des autres manettes de la Xbox avec notamment le cheval cabré de Ferrari en son centre. La manette 360 Modena proposait notamment de programmer ses boutons et une bonne finition. (sortie le 1er janvier 2003 – Thrustmaster)
8
Malgré sa taille imposante, de nombreux joueurs souhaitaient déplacer leur Xbox et, sans surprise, différents fabricants ont planché sur des sacs de transports. Big Ben a opté pour un sac à dos plutôt sobre et classe. (sortie le 1er janvier 2004 - Big Ben)
9
Avec son partenariat avec Ferrari, Thrustmaster ne rate pas l’occasion de proposer un volant disposant d’une bonne finition et affichant fièrement le cheval cabré de la marque italienne. Il contient notamment un levier de vitesse et des boutons programmables. (sortie le 1er janvier 2003 – Thrustmaster)
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Loin d’être le premier à sortir son volant, Logitech a fait comme d’habitude du bon boulot avec son « Precision Vibration Feedback » qui propose notamment un moteur de vibration double pour mieux gérer les retours de force ainsi que deux leviers de vitesse montés sur le volant. (sortie le 31 janvier 2005 – Logitech)
11
Prenant le contre-pied des volants classiques, le volant Gamester ressemble davantage à une manette classique en forme de volant. Il affiche le logo de la célèbre marque Lotus en son centre et le nom sur sa poignée gauche. (sortie le 19 décembre 2002 – Gamester)
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Avant la manette Boomrang de Sony (finalement annulée), il y avait la manette banane d'Atomic Play. Sortie assez tardivement, elle affiche une forme arrondie qui fait plutôt penser à un croissant qu’à une banane par ailleurs. (1er février 2005 – Atomic Play)
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Un peu plus rare et insolite, voici la Freestyler Board de Thrustmaster, accessoire destiné aux jeux de snowboard et de skateboard mais vendu assez cher (environ 100 euros). Le bundle contenait aussi un joystick avec six boutons. (sortie le 17 juin 2002 – Thrustmaster)
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Si la Xbox a marqué les véritables débuts du jeu en ligne sur consoles, nombreux sont les joueurs qui se rappellent encore de leur LAN sur Halo. Plusieurs marques proposaient bien sûr des câbles réseaux aussi bien pour jouer en ligne qu’en local. Voici par exemple un câble de la marque Delux GmbH. (sortie inconnue – Deluxe GmbH)
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Le GunStation 2 est un pistolet très classe et beaucoup plus ressemblant à une arme réelle que le Light Gun de The House of the Dead 3. Forcément cela a attiré les fans de jeux de tir. Pour le reste il s’agit d’un pistolet aux fonctionnalités tout ce qu’il y a de plus classique. (sortie le 1er janvier 2004 – Big Ben)
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Comment parler des accessoires de la Xbox sans évoquer la manette de Steel Batallion ? Ce véritable tableau de bord de mechas est composé d’une quarantaine de boutons et de multiples switchs. Un pédalier est également fourni dans le pack qui était vendu 199 euros à sa sortie et qui est désormais une pièce de collection très rare et cotée. Même sept ans après sa sortie en France, cet accessoire est un véritable OVNI que jamais aucun éditeur n’a pris le risque de concurrencer. Un pari fou de la part de Capcom et une expérience unique pour le joueur à l’arrivée. (sortie le 20 juin 2003 – Capcom)
Etienne Froment // TOP Xbox
1
Racing Evoluzione demeure, à ce jour, mon jeu de course préféré. Beau à damner pour l'époque, à mi-chemin entre l'arcade et le réalisme, offrant des décors nombreux et variés, une durée de vie solide et des possibilités vraiment très originales (créer sa propre marque et la faire progresser), le titre édité par Atari demeure un soft à posséder coûte que coûte selon moi. Dommage que l'échec commercial de cet opus ait empêché la sortie d'une suite, qui aurait assurément été grandiose avec un mode multijoueur en ligne et peut-être une sortie sur consoles HD...
2
Version revue et corrigée de l'original, Ninja Gaiden Black est largement supérieur à son aîné, principalement en raison du fait qu'il offre beaucoup plus de contenu et de possibilités. Cela dit, aussi bien lui que l'original sont d'excellents jeux d'action, offrant un gameplay solide et bien hardcore gamer comme on les aime. En revanche, je ne peux que vous conseiller d'éviter le Sigma sorti sur PlayStation 3, qui n'est finalement qu'une version noobifiée de cette oeuvre anthologique. Un titre trippant, gore, glauque, palpitant, long et difficile, que je me suis fait un régal de terminer plusieurs fois !
3
Dice a beau être connu pour ses Battlefield, et plus récemment son Mirror's Edge, il est également un studio capable de bosser dans tout plein d'aurtes genres, comme les jeux de rallye. Méconnu de beaucoup, Rallisport Challenge 2 demeure à ce jour le meilleur jeu de rallye, tous supports confondus selon moi. Bien sûr, il est un poil orienté arcade, mais il n'empêche que ses graphismes sont époustoufflants et qu'il fait sans soucis de l'ombre à une bonne partie du line-up des consoles HD, visuellement parlant. Son excellente durée de vie, sa conduite ultra-fun, ses décors variés et son mode online m'ont fait passer d'excellents moments, tout simplement inoubliables dans la vie d'un gamer !
4
Descendu injustement par la presse française, Deathrow était un excellent mélange de jeu de sport et d'action, avec une pointe de beat them all. Le titre proposait des matchs durant lesquelles deux équipes devaient marquer avec un disque à envoyer dans divers paniers. Bien entendu, il était possible de se tabasser et d'effectuer toute une série de coups plus violents les uns que les autres, voire même de tuer ses adversaires... Avec les bonnes options, Deathrow devenait un titre littéralement jouissif, et extrêmement technique ! Un titre sur lequel j'ai du passer des soirées entières avec des amis, eux aussi mordus du soft de Southend (XIII).
5
Panzer Dragoon Orta, c'est l'époque où Sega était encore capable de développer des softs d'une qualité époustoufflante. L'époque où le géant japonais faisait rêver les hardcore gamers avec des titres grandioses. Malheureusement, les ventes décevantes de ces titres ont poussé le géant à revoir sa stratégie... Quand on voit l'excellence de ce shoot them up 3D, on ne peut que regretter que le grand public ait boudé ces titres et aient poussé Sega à produire des jeux comme Mario & Sonic aux J.O. ou Sonic Unleashed. Vous en avez assez de bouffer du Call of Duty, du PES et du Sonic ? Hé bien tant mieux pour vous, c'est de votre faute !
6
Conker est, pour moi, l'un des deux plus grands titres de l'histoire de Rare, avec Perfect Dark. Cette véritable référence du jeu de plates-formes et d'aventure avait tout pour elle : des graphismes sublimes, une aventure longue, un humour caustique, un degré de maturité incroyable et un design superbe. En outre, les références au cinéma et au jeux vidéo étaient nombreuses et plutôt hillarantes... Dans ce remake sur Xbox, Conker est magnifié par la puissance de la console, et s'offrait surtout un mode multijoueur en ligne vraiment très fun. Difficile de ne pas tomber sous le charme de l'écureuil donc, même s'il est vrai que le titre était un poil censuré par rapport à la version 64. Quoi qu'il en soit, il demeure à mes yeux le meilleur jeu de plates-formes jamais créé !
7
Sans aucun doute mon expérience de gamer la plus inoubliable en multijoueur, avec Ghost Recon et Return to Castle Wolfenstein. Je ne me rappelle plus du nombre de nuits que j'ai pu passer à jouer des matchs en ligne sur cet excellent FPS tactique, à des années lumières des épisodes plus récents, casualisés à l'extrême. Les possibilités étaient énormes, et le soft fichtrement exigeant en multijoueur. L'un des gros atouts, c'était bien entendu ses superbes graphismes, pour l'époque tout du moins, ses nombreux décors en intérieur comme en extérieur, et ses possibilités uniques en matière de gameplay sur Xbox. Rarement un FPS m'aura autant scotché sur consoles, et il faut bien reconnaître qu'il s'agit bien du genre de jeu à vous rendre totalement nostalgique, tout spécialement en multijoueur...
8
Sans aucun doute le jeu de baston le plus complet à mes yeux. Visuellement, Dead or Alive Ultimate en jettait déjà beaucoup, avec des graphismes bluffants qui n'ont rien à envier à la Xbox 360. Ensuite, le soft proposait un énorme contenu niveau décors (très vastes et variés en outre !), techniques de combat et modes de jeu. Le seul regret venait du maigre nombre de combattants, qui avait été réduit en raison du statut de remake de cet opus. Mais peu importe, puisqu'au final, DOA Ultimate demeure l'un des meilleurs jeux de baston jamais créé, visuellement parfait et techniquement au top.
9
Depuis toujours, j'éprouve une passion pour les jeux de jet-ski. Cela a commencé bien sûr avec l'excellent Wave Race sur Nintendo 64, et dans une moindre mesure avec sa suite sur Gamecube. Mais c'est avec Carve que j'ai sans doute éprouvé le plus de fun. Cet excellent titre, qui offrait des sensations brutes terribles, un gameplay plus compliqué qu'il n'y parait, et de très jolis graphismes, n'a pas eu dorit au succès qu'il méritait. Pourtant, le titre était vendu pour une vingtaine d'euros tout au plus... Petite anecdote en ce qui me concerne, je ne l'ai jamais lâché en Live, et je suis parvenu à être premier dans le classement mondial, avant de redescendre sixième en raison de l'absence de joueurs à affronter, et de tout laisser tomber quelques mois seulement après sa sortie...
10
Dénigré par la presse, Call of Cthulhu est pourtant le FPS qui m'a le plus marqué en solo sur Xbox première du nom. Particulièrement beau, le titre bénéficiait surtout d'une ambiance tétanisante et d'un gameplay aux petits oignons. Imaginez seulement réaliser plusieurs missions sans la moindre arme, dans un FPS ! C'est assez rare pour être souligné. Même s'il n'était pas parfait, Cthulhu proposait une expérience de jeu énorme, qui m'a littéralement comblé comme joueur. Dommage que le jeu ne se soit pas vendu, que le studio ait fermé ses portes et que le second volet soit tombé aux oubliettes...
11
RTCW est pour moi l'un des deux ou trois meilleurs FPS multijoueurs jamais sortis. Son ambiance, son design, son gameplay speedé aux hormones, sa maturité, en font un titre provocateur, inquiétant et extrêmement nerveux. En outre, je dois dire que le mode solo m'a également comblé, avec son introduction exclusive à la version Xbox, en Egypte, son mode coopératif en split-screen, ses soldates SS sexy en latex, ses monstres hideux et ses combats contre des soldats nazis et des zombies. Bref, tout ce que j'aime !
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Développé à la fois par Ubisoft et Southend, XIII est également l'un de mes jeux favoris sur Xbox première du nom. Tout d'abord, en raison de son design audacieux, qui ressemble trait pour trait à une BD. Ensuite, parce que le jeu est long, varié, fun et respecte l'univers de la BD. Enfin, parce que son gameplay mêle à la fois phases d'infiltration, poursuites et fusillades. Une très grande réussite, magnifiée par une excellente mise en scène en solo, et un multijoueur fort sympathique bien qu'assez limité.
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Mélange de RTS et de beat them all, Kingdom Under Fire 2 a su me convaincre là où je m'y attendais le moins. Le soft exerce un charme fou avec son design coréen et son histoire excellente qui confronte trois factions : humains, elfes et orques. Le jeu offre également une énorme durée de vie et des duels en multijoueur excellents. A l'époque, j'étais monté dans le top 30 mondial tellement j'étais acharné sur ce jeu. Sa suite, du même accabit, était plutôt réussie également, même si l'effet de surprise n'était plus là...
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Comment faire un top Xbox sans parler de Halo ? Le FPS de Bungie demeure un monument du FPS, même si je lui ai préféré quelques titres sur Xbox. Il faut dire que côté FPS, la bête en avait dans le ventre. Cela dit, Halo avait le mérite d'être le jeu le plus marquant du lancement. Un titre d'une qualité inégalable pour un line-up de sortie, avec une histoire digne d'un Star Wars, des décors magnifiques, un univers superbe et un gameplay qui apportait beaucoup d'originalité au genre. Dommage que les suites n'aient jamais redonné ce sentiment de fraicheur à la franchise...
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Sans doute l'un des titres les mieux scénarisés qu'il m'ait été donné d'essayer. Fahrenheit m'a pris à la gorge, du début à la fin. Le soft édité par Atari avait beau être assez laid, il avait le mérite de proposer un excellent scénario et une mise en scène soignée. On avait tout simplement l'impression de participer à un film interactif. En outre, ses personnages avaient un réel charisme, une aura les entourait littéralement. Et que dire de ces QTE parfaitement maitrisées qui étaient fichtrement meilleures que ce à quoi on a droit de nos jours ? Bref, même si la fin m'a déçu, je dois dire que les meurtres de Fahrenheit ne m'ont clairement pas laissé indifférent.
16
Vivement décrié par certains fans, cet opus en 3D de la série à su me séduire grâce à ses graphismes colorés, son scénario passionant et ses héros attachants. Certes, ce n'était pas un mégahit, mais le soft proposait une histoire prenante et s'avérait très agréable à parcourir malgré un côté grand public un peu trop mis en avant. Dommage que la série se soit arrêtée là sur consoles, car j'aurais aimé goûté à des suites sur Xbox et Xbox 360.
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Lors de sa sortie, Enclave est immédiatement devenu un titre mythique à mes yeux. Pour une fois que nous avions droit à un jeu d'aventure, ou du moins beat them all, nerveux, difficile et incroyablement barbare, pourquoi s'en priver ? De plus, de nombreuses castes étaient disponibles, le jeu avait une durée de vie phénoménale et offrait deux campagnes : une du bien et une du mal, le tout dans un univers Heroic-Fantasy très sombre, avec un gameplay séduisant. Bref, une expérience que j'ai trouvé vraiment unique et que je n'ai plus jamais revécu sur consoles HD.
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Comment faire un top sans parler de l'un des meilleurs jeux de baston sortis sur Xbox première du nom ? Soul Calibur 2 m'a occupé des heures durant. Il s'agit, encore aujourd'hui, du meilleur de la série selon moi. Beau, fun, technique, varié, avec un mode solo d'une longueur incroyable, le soft m'a tenu en haleine durant des nuits avec des amis. Son côté évolution était également très bien pensé et le système de déblocage m'a littéralement tenu scotché au pad. Dommage que la série n'ait pas gardé le niveau !
19
Sorti uniquement aux USA, Maximum Chase est un titre vraiment très particulier. Il mélange en fait conduite, avec des phases de course-poursuite en ville, et shoot, avec des séquences de tir sur écran façon House of the Dead. Le tout bénéficiait d'une réalisation graphique plutôt bonne pour de la Xbox et offrait un scénario avec des cinématiques mettant en scène de vrais acteurs ! Difficile donc de ne pas craquer, même si le jeu était trop court et le gameplay lors des séquences de conduite assez approximatif.
20
Je conclus mon top 20 avec un très gros coup de coeur, l'excellent Advent Rising. Cette série, développée par ceux qui nous ont sorti Shadow Complex sur le XLA, était tout simplement épique et aurait pu devenir un véritable Halo - Mass Effect killer si seulement les développeurs en avaient eu les moyens. Le scénario du jeu est tout simplement énorme, avec un énorme background, des personnages charmants et des cinématiques très bien mises en scène. Côté gameplay, on se retrouvait avec du Max Payne dans un univers à mi-chemin entre Halo et Mass Effect, avec en outre des pouvoirs façon Phantom Dust et des combats de grande échelle. Dommage que le jeu ait souffert de si nombreux bugs et que la réalisation n'ait pas été au top, car Advent Rising avait vraiment le potentiel d'être LE jeu phare de la Xbox première du nom.
Etienne Froment // TOP Xbox Import
1
Co-édité par Microsoft Games et Majesco, Phantom Dust est un titre assez original qui propose des affrontements en arène. Le titre nous met dans la peau de combattants disposant de divers pouvoirs. En récupérant des orbes, ils sont capables de pulvériser leurs ennemis, de se téléporter, d'envoyer des boules de feu, et d'autres magies destructrices. Bref, un programme assez particulier, sorti uniquement au Japon et aux USA, et qui mérite sincèrement votre considération, pour peu que vous soyez un tant soit peu intéressé par ce concept si particulier.
2
MWC, c'est tout simplement LE jeu de méchas ultime, avec Steel Battalion. Un jeu de méchas tellement bien réalisé, tellement jouissif, tellement destructeur, qu'aujourd'hui encore il se revend dans les 90 à 100$ en import Japon. Pourquoi le soft n'est jamais sorti ailleurs ? Nous n'en avons pas la moindre idée ! En tous les cas, les amateurs de jeux de mechas feraient bien d'y jetter un oeil tant ce titre à des qualités et s'avère peaufiné à l'extrême.
3
Sorti en catimini en Amérique, puis retiré de la vente pour d'obscures raisons, Kakuto Chojin est un jeu de combat très particulier, pratiquement devenu Collector tant il est difficile à trouver, qui propose des affrontements extrêmement rapides dans la lignée de Mortal Kombat. Le titre s'avère en effet assez réaliste pour ce qui est de la violence des chocs, tout en obtant pour un gameplay arcade. Extrêmement sombre, avec une ambiance unique, Kakuto Chojin n'en demeure pas moins bourré de petits défauts qui noircissent l'expérience de jeu. A commencer par le manque total de charisme des personnages, le manque de diversité du soft ou encore sa durée de vie trop courte.
4
Egalement retiré de la vente aux USA, The Guy Game est un jeu de quiz dans lequel le joueur peut apercevoir des seins dans des dizaines de vidéos, qui se "débloquent" petit à petit en fonction de ses résultats. Le plus le joueur répond correctement, le plus de seins il voit... Concept particulier, mais globalement, le soft est plutôt bien pensé, offre une bonne durée de vie, des questions intéressantes, et s'avère assez délirant. Attention néanmoins, le titre est rare et relativement couteux !
5
Suite du sympathique Wreckless, un jeu de courses-poursuites absolument magnifique graphiquement pour l'époque, Wreckless 2 n'est jamais sorti des frontières du Japon. Pourtant, le soft s'avère être une très honnête suite, avec des graphismes encore plus jolis, une aire de jeu plus grandes, des véhicules plus variés et un gameplay un poil plus agréable. Bref, une suite très honnête, qui mérite assurément l'investissement pour peu que vous ayez une Xbox japonaise.
Etienne Froment // FLOP Xbox
1
Driv3r, c'est, comment dire... L'une de mes grosses déceptions tous supports confondus. Comment peut-on passer d'un titre mythique comme Driver premier du nom à cet immonde opus qui n'avait strictement rien d'intéressant pour lui ? C'est bien simple, aujourd'hui encore, je souffre de la mort de la franchise, qui n'a cessé de s'enfoncer avec les années, comme si elle n'avait jamais évolué. Driver 3, Parallel Lines , c'est du pareil au même : deux épisodes buggués, moches, chiants et mal foutus. Une série morte depuis belle lurette et qui aurait clairement mérité un meilleur passage sur 128 bits.
2
Mon choix va en choquer beaucoup, mais j'ai tout simplement trouvé ce FPS complètement inintéressant. Etant un grand amateur de FPS, je peux dire que je m'y connais largement. Et ce que j'ai découvert dans En première ligne sur Xbox ne m'a absolument pas ravi... Tout d'abord, parlons de ce débarquement si palpitant... Une plage de 15 mètres de large, 7 soldats et une aire de jeu en entonoir. C'est ça le FPS WW2 sur 128 bits ? Je me souviens encore de la gueule que je tirais après 5 heures de jeu sur ce soft chiant à mourir, dans lequel tous les ennemis avaient un balet dans le cul, où il n'y avait pas une goutte de sang et où on avançait toujours en ligne droite. De mémoire, c'est le seul jeu que j'ai revendu en moins de 48 heures.
3
Autre très très grosse déception pour moi. Halo premier du nom avait été comme une révélation à mes yeux. Le second volet, c'était tout simplement un cauchemar. Rarement je me suis autant ennuyé dans un FPS. Comment peut-on passer d'une démo prometteuse lors de l'E3 à un soft aussi mal conçu ? Seul le mode multi sauvait la face du titre. Le solo était juste à dormir debout et le scénario devenait complètement inintéressant.
4
Sans le classer dans les daubes sans nom, je ne lui donnerais pas non plus la palme du meilleur portage. A vrai dire, Instincts n'a rien à voir avec Far Cry, si ce n'est les lieux traversés dans le jeu. Le portage console est linéaire, mal fichu, chiant, archi grand public et bref, tout l'opposé de la version PC. Attendant de pied ferme à l'époque la version Xbox, j'avais été fichtrement déçu par ce qu'Ubisoft avait fait de la franchise.
5
Ce nouveau 007 signé EA, je l'attendais de pied ferme depuis sa sortie sur PS2. Mes amis me criaient que c'était une bombe. Quand j'y ai joué, même constat que pour Moh : un jeu linéaire, moche et chiant. Du coup, j'ai du attendre Nightfire et Quitte ou Double pour remettre la main sur un bon James Bond mais toujours est-il qu'Espion pour Cible m'est resté dans la gorge un bon moment, surtout après l'excellent Goldeneye et le sympathique Everything or nothing.
Vincent Padron // TOP Xbox
1
J'avais beaucoup aimé Ninja Gaiden mais je n'avais pas pu me l'offrir à l'époque. Par contre, je me suis offert la version Black et je n'ai pas du tout regretté mon achat. Le titre est purement et simplement excellent. Non seulement il était très beau pour l'époque mais en plus le contenu avait été enrichi avec un mode mission succulent et divers autres ajouts, dont des modes de difficulté supplémentaires. C'est bien entendu le mode le plus difficile qui m'a le plus séduit puisque j'ai eu le droit au challenge que j'attendais et je m'en suis régalé !
2
Même si j'ai mis Max Payne comme 2eme de ce top, vous pouvez considérer que j'inclus ici les deux opus de la licence. Toutefois, le premier a été une réelle surprise. Non seulement en termes de jeu il était fort appréciable, avec de l'action non-stop et des bullet time délicieux, mais en plus l'univers était très réussi et immersif. Certains passages restent encore gravés dans ma mémoire, comme si j'avais fait le titre hier, c'est bien là la preuve qu'il est pour moi inoubliable.
3
Après avoir passé un bon nombre d'heures sur le Jet Set Radio de la Dreamcast, j'étais plutôt content de voir arriver un opus Future sur Xbox. Même si je ne m'attendais pas à une révolution, j'espérais une suite de qualité. Et sur ce point-là je n'ai pas été déçu. Au contraire même, le titre était toujours aussi fun et l'univers graphique toujours aussi réussi. Les quelques améliorations et autres ajouts étaient réussis et je me suis finalement retrouvé avec un titre qui titillait par la même occasion ma fibre nostalgique m'invitant à me refaire le premier. Que du bonheur !
4
Il est impossible de passer à côté de Shenmue II tant le jeu est génial. En attendant un éventuel troisième opus qui se fait (trop) désirer et qui ne verra peut-être jamais le jour, je ne peux que ronger mon frein en recommençant l'expérience du 2. Que ce soit au niveau de la bande sonore, des possibilités qu'offre le soft ou encore du scénario, c'est un quasi sans faute à mes yeux.
5
Outre son aspect graphique fort appréciable à l'époque, le titre de Milestone et Atari reste l'un des meilleurs jeux de course de la Xbox première du nom. Non seulement le contenu était au rendez-vous, avec en plus une progression intéressante, mais en plus le gameplay tirant à la fois du côté de la simulation et de l'arcade était pour ma part bien équilibré pour offrir une certaine accessibilité tout en maintenant une certaine exigence pour arriver à faire des courses parfaites ou presque.
6
Malheureusement, à l'époque, pour des raisons budgétaires, j'avais dû faire l'impasse sur l'adaptation vidéoludique de Riddick. Du coup, lors de l'annonce de Dark Athena (compilation de l'opus original remis au goût du jour, d'une suite et d'un mode multijoueur), je me suis mis en tête de faire la critique du titre. Pour avoir un avis qui soit le plus constructif, j'ai décidé d'investir dans la version originale. Et j'ai pu vérifier par moi-même ce que j'avais entendu sur le titre : malgré sa durée de vie un peu légère, il était une excellente adaptation, certainement l'une des meilleures. Le gameplay était solide, les graphismes léchés, l'univers bien retranscrit et le tout était simplement jouissif.
7
XIII n'est pas forcément le meilleur FPS mais il reste une très bonne adaptation de l'univers XIII. Avec son look en cel-shading, le titre m'avait totalement séduit puisque je me sentais finalement comme au coeur d'une bande dessinée interactive. Le gameplay, à défaut d'être original, était efficace, les références aux BD étaient appréciables et le multijoueur m'a fait passer d'excellentes sessions de jeu avec des amis. Je ne lui en demandais pas plus, raison pour laquelle il a été un coup de coeur.
8
Ayant apprécié la première trilogie des PoP, j'étais ravi de pouvoir en découvrir une seconde. Et je dois avouer qu'Ubisoft m'a prouvé avec Les Sables du Temps qu'il était capable de produire de grands jeux. Entre le level design extrêmement bien pensé, l'histoire racontée de manière envoûtante et le gameplay d'une rare souplesse à cette époque, je n'ai pas eu de mal à passer outre quelques uns de ses petits défauts comme sa durée de vie un peu faible ou encore des caméras pas toujours optimales.
9
Bien que j'apprécie plusieurs licences en matière de jeux de combat, je dois avouer que SoulCalibur 2 m'a particulièrement marqué puisque j'ai passé une tonne de soirées à maîtriser chaque personnage pour pouvoir participer à des lans par la suite. Et ce ne fut que du bonheur que de battre les divers participants, avec leurs personnages fétiches, alors que je sélectionnais le mien au hasard.
10
Plutôt facile dans l'ensemble, BG&E n'en est pas pour autant inintéressant, loin de là même. En effet, cette aventure signée Ubisoft m'a transporté dans un univers envoûtant avec ses situations mélangeant aussi bien la poésie que le dramatique. Sublime, il restera pour moi l'une des petites perles de la précédente génération qui me fait encore espérer que sa suite (annoncée de longue date) sortira un jour et qu'elle réussira à me transporter une fois de plus durant quelques heures.
11
Si les plus jeunes connaissent la licence Splinter Cell par le biais des derniers opus, plus orientés action qu'autre chose d'ailleurs, il ne faut pas oublier que le premier volet a été une bombe, du moins à mes yeux. Non seulement il était beau, mais en plus il offrait un véritable aspect infiltration qui avait été exploité à fond. On faisait donc son possible pour ne pas se faire repérer, éliminer les ennemis silencieusement, cacher leur corps, etc., le tout en profitant d'une jolie panoplie et d'un panel de mouvements conséquent à l'époque. Que je rêve d'un opus Xbox 360 aussi pointu que celui-là !
12
Je n'ai pas attendu le double pack sur Xbox pour jouer à GTA puisque j'ai tous les opus PS 1 et 2 (sans compter les autres dernièrement acquis). Je dois reconnaître que ce double pack était un véritable cadeau à l'époque puisqu'il rassemblait un GTA III de très bonne qualité et un Vice City qui reste à l'heure actuelle mon GTA préféré grâce à son univers coloré et décontracté.
13
Même si à l'époque je ne jouais que peu en ligne, j'étais plutôt content de voir que les développeurs avaient intégré un mode online. Ceci dit, je me suis fait plaisir en solitaire et en un contre un avec mon cousin. C'est lui qui avait le jeu et à chaque fois que je passais le voir on se faisait une partie, puis une autre, puis encore une autre et ainsi de suite sans voir passer le temps, le tout en essayant de maîtriser toujours plus de techniques.
14
Black n'est clairement pas le meilleur FPS qui existe et il a plusieurs lacunes. Toutefois, j'ai beaucoup apprécié l'expérience et c'est bien là l'essentiel. Bourrin, jouissif avec des décors destructibles, beau, le titre m'a convaincu sur les aspects auxquels je m'attendais. Il n'y a pas eu de véritables surprises, pas de déception, j'ai eu un jeu conforme à l'idée que je m'en faisais et m'offrant suffisamment de fun pour le faire plusieurs fois, juste pour le plaisir.
15
J'ai accroché à la série depuis le premier volet, mais celui qui reste à mes yeux le meilleur opus de la licence, c'est bien le 3. Plus bourrin que les deux premiers et moins que le Revenge, Takedown proposait pour moi le meilleur compromis pour dupliquer le fun que me procurait chaque partie. Avec ses divers bolides qui filent à toute allure, ses crashs spectaculaires et toutes les sensations qu'il offrait, Burnout 3 sera pour ma part difficile à oublier.
16
Bien que je m'étais fait le Conker's Bad Fur Day sur N64, je n'ai pas résisté à l'envie de goûter à la version améliorée sur Xbox. Et la magie était toujours là. Beau, fun, varié, Conker est une expérience que je n'oublierai pas de si tôt. Puis c'est un vrai bonheur de voir un écureil qui a tous les vices ou presque. C'est une véritable pépite à consommer sans modération, du moins si vous n'êtes pas réfractaire à l'humour noir.
17
Avant qu'Ubisoft ne change de visée en favorisant le public casual au détriment des autres, le studio proposait des jeux beaucoup plus exigeants. Rainbow Six 3 fait partie de ceux-là. Purement et simplement jouissif, il offrait un gameplay au petits oignons, de nombreuses possibilités et surtout un côté tactique prononcé qui apportait un véritable challenge, sans compter que le mode multijoueur était fichtrement bien foutu. J'avais adoré tout bonnement et j'aimerais vraiment qu'Ubi propose sur X360 un titre aussi riche et tactique, et ce même si j'ai apprécié la déclinaison Vegas qui est pour ma part trop portée sur l'action.
18
C'est sans doute l'un des FPS auquel j'ai le plus joué en écran splitté tant j'ai enchaîné de soirées dessus avec des amis. Qu'est-ce que c'était fun ! Quelques armes sympathiques, des modes accrocheurs, des cartes plutôt bien pensées pour l'époque, un design que j'aimais beaucoup, TS2 faisait assurément partie de mes FPS préférés. J'avais aussi apprécié mes parties en solo mais c'est vraiment en multijoueur qu'il gagnait en intérêt à mes yeux.
19
Malgré une petite déception par rapport au scénario, je ne peux pas nier que j'ai bien accroché à cet opus que je n'attendais pas spécialement, et ce bien que j'apprécie beaucoup la licence. Reste que l'univers m'a séduit et que j'ai progressé dans l'aventure en prenant plaisir à la parcourir. Malgré la surprise de sa scission en deux parties bien distinctes, il reste l'un des titres que je conserve précieusement dans ma ludothèque.
20
Bien qu'il ne soit pas dénué de défauts, Jade Empire est lui aussi une expérience qu'un joueur doit vivre au moins une fois. Envoûtant, mélangeant plutôt bien les aspects jeu de rôle, action et aventure, il offrait un véritable voyage rafraîchissant. Il fait pour ma part partie de ces jeux qui ont un charme inexplicable et qui arrivent à vous transporter dans un univers enchanteur dès les premières minutes de jeu.
Vincent Padron // FLOP Xbox
1
Quand on a goûté au premier Diver, qui était vraiment délicieux à mes yeux, on ne peut être que déçu de ce DRIV3R qui était relativement inintéressant à jouer. En tout cas, je n'ai pris aucun plaisir dessus et même si je me suis forcé à en voir le bout, j'en ai vraiment été dégoûté, que ce soit les phases à pied chiantes au possible ou encore des nombreux bugs qui plombaient l'expérience. Et encore s'il n'y avait eu que cela...
2
Comme tout le monde ou presque le sait, je suis fan de l'univers Batman. Imaginez donc quelle fut ma déception lorsque j'ai joué à Dark Tomorrow qui, en plus d'être un mauvais titre sur l'univers de Batman, était une daube infâme en tant que jeu. Vraiment, tout ou presque était à jeter, j'en ai longtemps voulu à Kemco pour cette adaptation tout bonnement merdique.
3
Bien qu'il ait été encensé par beaucoup, Halo 2 a été une grosse déception pour ma part, surtout après avoir goûté à un premier opus de qualité. Même si le mode multijoueur l'a sauvé du désastre, à l'époque je jouais principalement en solo. Or ce dernier mode était totalement inintéressant pour ma part, voire même clairement chiant à faire. C'est vraiment dommage puisque depuis cet opus, j'étais souvent sceptique avant d'acheter un Halo. C'est finalement le Reach qui m'a véritablement réconcilié avec la série.
4
Dans un sens j'admire les petits gars de Davilex. Avec chacun de leurs jeux, ils m'ont montré qu'ils faisaient partie des meilleurs en matière d'incompétence. Même si je n'attendais pas forcément grand-chose de l'adaptation de Miami Vice, je me disais qu'ils se seraient secoués les puces pour nous pondre un truc correct. Mais non, le résultat était vraiment pitoyable.
5
Même si le jeu Enter the Matrix n'était pas exceptionnel, loin de là même, je l'avais apprécié en sachant à quoi m'attendre. En revanche, avec Path of Neo, ça a été la douche froide. Je pensais que Shiny allait prendre en compte les remarques faites sur le premier pour améliorer la suite, mais ce ne fut pas le cas. Outre la réalisation qui était moche, même à l'époque, le titre se vautrait carrément sur le gameplay, et ce malgré certaines idées implantées. Du coup, l'expérience a relevé pour ma part plus du calvaire que d'autre chose.
Nicolas Tarier // TOP Xbox
1
Le meilleur jeu sur Xbox selon moi est Metal Gear Solid 2 : Substance. Certes ce n’est pas le titre exploitant au mieux la machine mais qu’importe, MGS2 est un véritable mythe. Le titre de Konami a marqué toute une génération de joueurs et s’impose comme l’un des titres majeurs de l’histoire du jeu vidéo, le genre de jeu que vous devez absolument faire une fois dans votre vie de joueur. Son scénario hors du commun, sa mise en scène hollywoodienne et ses personnages charismatiques font sa force. Cette édition Substance allonge de plus la durée de vie grâce à 200 missions VR. Si vous n’avez pas encore fait ce titre culte, il est encore temps de réparer votre erreur !
2
GTA III et Vice City sont deux jeux cultes de la dernière décennie qui ont fait les beaux jours de la PlayStation 2 et qui ont installé la série GTA comme l’une des plus populaires dans l’industrie du jeu vidéo. Le Double Pack est une compilation absolument indispensable pour tous les possesseurs de Xbox qui n’ auraient pas joué aux titres sur d’autres supports. Surtout que la réalisation graphique est un cran au dessus de la version PS2. Je ne compte plus les heures que j’ai passées à Liberty et Vice City, parfois à errer sans but précis. Un must- have !
3
Faut-il encore présenter Shenmue II. Titre mythique de la Dreamcast (au budget pharaonique pour l'époque), le second volet des aventures de Ryo Hazuki a également débarqué plus tardivement sur Xbox avec toutes les qualités qu'on lui connaît : une histoire prenante, un univers ouvert et immersif, des personnages au background très travaillé et une pléthore de scènes cultes. Seul hic, tout est en anglais et le moteur graphique est déjà vieillissant à cette époque. Un jeu culte quoiqu'il en soit, dont des millions de fans, moi le premier, espèrent toujours voir la suite.
4
Dois-je encore présenter Halo ? Jeu absolument culte, licence emblématique de la Xbox, Halo a marqué les esprits imposant un univers et un gameplay fabuleux et offrant des modes multijoueurs nombreux et funs portés par la suite online. Master Chief est devenu une star vidéoludique en un seul épisode. Un épisode qui marque une vie de joueur et dont les défauts sont quasi-inexistants. En un mot comme en cent : inoubliable !
5
Beyond Good & Evil et moi c’est une grande histoire d’amour. Un titre que j’ai hésité à acheter jusqu’au dernier moment, écoutant des critiques parfois mitigées de la presse. Et qu’aurais-je raté ! Dès les premières minutes BG&E sent le titre inoubliable avec son univers beau, drôle et ses personnages incroyablement humains. Rarement un jeu n’aura fait passer autant d’émotions. Une durée de vie assez courte constitue le seul défaut du jeu de Michel Ancel tout simplement bourré de qualités ludiques et esthétiques. Son scénario est également prenant et son gameplay mêlant exploration, action, infiltration à enchanter bien des joueurs. Quel dommage que le jeu n’ait pas connu le succès qu’il aurait mérité. Heureusement une suite devrait tout de même voir le jour, autant dire qu’ elle fait partie de mes Most Wanted.
6
Quelle claque ! J’ai personnellement fait Silent Hill 2 sur PlayStation 2 mais cette version Xbox est du même acabit avec un scénario supplémentaire intéressant. Silent Hill premier du nom valait clairement le détour mais ce second opus est un jeu tout simplement culte par tous les aspects. Tout d’abord l’ histoire, absolument phénoménale et qui tient en haleine du début à la fin. Ensuite l’ambiance oppressante, peut-être l’une des ambiances les plus travaillées et immersives jamais vue dans un jeu vidéo. Mais le design du bestiaire et la bande-son parfaite (oui j’insiste « parfaite ») y sont aussi pour beaucoup. Silent Hill 2 est toujours à l’heure actuelle le meilleur épisode de la série et une pièce maitresse dans le genre du survival-horror.
7
Longtemps connu sous le nom de Project-Ego, Fable a été pour de nombreux joueurs le jeu le plus attendu sur Xbox. Peter Molyneux nous avait tant promis que le projet était sans doute le plus ambitieux sur la console. Finalement, il n’a pas tenu toutes ses promesses mais cela ne l’a pas empêchée d’être un must-have. Fable est un très grand jeu de rôle avec une grande liberté d’action et de nombreux de choix offerts au joueur. Sa réalisation graphique chatoyante, son esthétique travaillée et sa BO superbe ont également contribué à son succès. Malgré une durée de vie ridicule (mais une forte rejouabilité), le titre de Lionhead demeure un jeu qui m’a marqué.
8
Amped est un gros de coup de cœur et je pense qu’il l’a été pour de nombreux joueurs. A une époque où SSX régnait en maître, il manquait cruellement un jeu de snowboard réaliste, une vraie simulation. Et Amped est venu combler ce manque de la plus incroyable des façons. Gameplay aux petits oignons, réalisation absolument prodigieuse pour l’époque, et animations elles aussi au top, le jeu de Microsoft Games et Indie Built a marqué les esprits. Quel bonheur de dévaler des pistes larges, vivantes et riches en obstacles. Un véritable killer-ap. Je ne peux que regretter que la série ait changé d’orientation avec le troisième opus puis qu’elle soit désormais tombée dans l’oubli.
9
Je n’ai pas joué aux premiers Prince of Persia de la fin des années 80 eu début des années 90 mais je n’ai pas raté le retour de la série. Et autant être franc : Les Sables du Temps est un jeu qui a marqué les esprits et qui pour bon nombre de joueurs fait parti des jeux marquants de la précédente génération de consoles (Dreamcast, Xbox, PlayStation 2, GameCube). Le gameplay et les animations du Prince ont notamment totalement redéfinis ce qu’on attend d’un jeu d’aventure et de plates-formes. Avec ses retours dans le temps, ses combats dynamiques et son level-design exceptionnel, ce PoP a frappé fort et remis la série au premier plan. Un jeu immanquable tout simplement.
10
Medal of Honor : En Première Ligne fait parti des FPS les plus marquants que j’ai fait dans ma vie de joueur (avec GoldenEye, BioShock, Call of Duty ou encore Halo). Il faut dire que je suis fan des FPS scriptés car ils sont immersifs et hollywoodiens, on a vraiment l’impression d’être au cœur de la guerre. En Première Ligne, avec sa formule rodée, sa réalisation léchée et ses missions variées est peut-être le Medal of Honor le plus abouti. Une sacré claque notamment grâce à sa mise en scène de haut vol.
Nicolas Tarier // FLOP Xbox
1
N’y allons pas par quatre chemins : Shadow the Hedgehog est un navet. Alors que Sonic revient enfin à un niveau acceptable cette année, ce jeu centré sur Shadow marquait il y a cinq ans l’inexorable chute des hérissons de Sega dans les abysses du jeu vidéo. Shadow The Hedgehog est moche, chiant au bout de dix minutes et quasiment injouable du fait de ses caméras folles. A éviter !
2
Ah Davilex ! Un développeur qui aura sortie daube sur daube pendant des années avant d’enfin disparaitre pour la plus grande joie de tous. Le studio aura massacré complètement Miami Vice sur Xbox : réalisation insipide, IA moisie, jouabilité ridicule sont quelques uns des nombreux points faibles de Miami Vice.
3
Malice faisait parti des premiers jeux annoncés sur Xbox mais a été repoussé d’innombrable fois au point de ne sortir que durant l’été 2004. Du magnifique jeu de plate-forme initialement prévu il ne reste qu’un titre très banal n’ayant plus rien d’impressionnant techniquement parlant. Un bien bel échec.
4
Encore un bon représentant de la catégorie « répétitif, chiant, moche ». Bruce Lee : Quest of Dragons n’a vraiment pas grand-chose pour lui. Il n’y a aucune variété dans l’aventure et aucun challenge. Un titre à oublier.
5
DRIV3R n’est certainement pas le plus mauvais jeu sur Xbox mais quelle déception ! Avec ses phases à pieds pénibles et son IA ridicule, le jeu peine à convaincre et ne parvient jamais à faire oublier GTA dont il essaye clairement de reprendre le concept. Quelques bugs et une réalisation mi-figue mi-raisin complète le tableau.
Pascal Repond // TOP Xbox
1
Prince of Persia : Les Sables du Temps est certainement l’un des jeux qui m’ont le plus marqué dans mes jeunes années. Outre un gameplay simple mais riche et terriblement efficace dès les premières minutes, ce titre proposait un scénario original et palpitant et parvenait à trouver le parfait mélange entre les phases d’action, de plateformes et d’énigmes. Ajoutez à cela l’impressionnante démonstration graphique et technique dont nous avait gratifié Ubisoft, à coups de paysages, jeux de lumières et animations à couper le souffle, et vous obtenez un soft intemporel et une expérience de jeu inoubliable.
2
Jeunesse aidant et même si j’avais eu l’occasion d’essayer le tout premier épisode sur PS1, Gran Theft Auto s’est longtemps résumé pour moi au « jeu dans lequel on pouvait écraser des civils » et auquel je jouais chez des amis. Et puis, un jour, j’ai joué à San Andreas et je ne l’ai plus lâché. Malgré une prise en main approximative et un retard graphique indéniable, cet opus est certainement le plus riche de la série. Avec sa carte immense, sa liberté d’action et de personnalisation, son humour, ses missions annexes (Autodéfense) et sa pléthore de véhicules, il représente, pour moi, le souvenir de dizaines d’heures de fun dont je ne pouvais pas me lasser.
3
Ayant découvert l'épisode original sur Nintendo 64, ce fut un grand plaisir pour moi d’accompagner à nouveau Conker, le jeune écureuil alcoolique, dans ses rudes péripéties. Ce véritable petit cocktail d’humour déjanté, gore et mature à souhait contrastant avec un style graphique enfantin est signé Rareware et il est difficile de s’y tromper. Malgré des censures un peu trop présentes ainsi qu’un mode multijoueur estropié et nettement moins fun que sur la version Nintendo 64, ce soft reste l’un des mes coups de cœur sur Xbox.
4
Rayman a été mon tout premier héros vidéo-ludique notamment avec Rayman 1 sur PC mais également avec ses nombreuses versions éducatives et parascolaires. C’est pourquoi le petit blond au gros nez reste mon personnage favori dans le monde du jeu vidéo. Ce troisième opus, en tant que dernier véritable Rayman avant l’invasion des lapins crétins est forcément synonyme de nostalgie. Au fil des années, Ubisoft avait su tirer profit de la technologie en créant des univers toujours plus riches tout en approfondissant l’humour et la personnalité de sa licence et sans jamais laisser tomber le côté technique. Cette évolution atteint son paroxysme avec l’excellent Rayman 3. Chapeau, l’artiste…
5
Fasciné par la science-fiction, j’ai pu m’essayer à plusieurs jeux vidéo basés sur la franchise Star Wars mais KOTOR est sans conteste le plus réussi. Entre le savoir-faire de Bioware en ce qui concerne le jeu de rôle et l’immense richesse de l’univers de Georges Lucas, on pouvait s’attendre à quelque chose de magistral et ce fut bien le cas. La durée de vie et le nombre de possibilités offertes par le soft m’avaient littéralement halluciné. Non content d’être la meilleure adaptation de Star Wars jamais réalisée, KOTOR mérite clairement sa place au panthéon des RPG sur consoles.
6
Après un deuxième épisode plutôt en deçà, le prince de Perse était revenu en force pour conclure sa trilogie dans Les Deux Royaumes. Cet épilogue reprenait tous les ingrédients qui avaient fait le succès des précédents opus tout en y ajoutant une touche d’humour doublée d’une réalisation toujours aussi grandiose. Si les graphismes étaient très légèrement à la traîne pour l’époque, le soft est tout de même un digne représentant de la franchise Prince of Persia et, au même titre que Les Sables du Temps, reste et restera pour moi l’une des grandes références des jeux d’action-aventure.
7
En tant que fan de l’univers de Tolkien et des films de Peter Jackson, je ne pouvais décemment laisser de côté ce titre. Son design très réussi et sa diversité avaient fait de ce beat them all l’une des meilleures adaptations de la Terre du Milieu en jeu vidéo jamais réalisée. Reprenant la trame des films et respectant à la lettre leur univers, le jeu nous permettait d’incarner de nombreux personnages dans différentes campagnes ce qui lui conférait une durée de vie plus que correcte qui avait encore tendance à s’allonger considérablement lorsqu’on décidait de se lancer dans l’aventure avec un ami dans un mode coopération bien géré. Au final, on avait eu droit un beat them all très appréciable, qui plus est dans l’univers magique de Tolkien. Que demander de plus ?
8
Project Zero a été mon premier survival horror et, même si on ne peut nier qu’il est plutôt soft, il m’a tout de même procuré de nombreux frissons et autres sursauts d’effroi. L’ambiance était magnifiquement immersive et le sentiment d’ oppression propre à ce type de jeu ne manquait pas à l’appel ; d’autant plus que notre héroïne n’était armée que de son appareil photo. Le concept était original, l’histoire prenante et l’expérience de jeu n’avait selon moi rien à envier aux piliers du genre.
9
N’ayant jamais réellement été un féru de jeux de courses, je m’étais tout de même laissé tenter à ce Most Wanted qu’un ami m’avait conseillé. J’ai vraiment accroché à l’ambiance générale malgré quelques imperfections notamment au niveau de l’IA et je me suis pris au jeu des courses-poursuites folles avec la police et des autres défis que proposait le titre. Bien que, face à certains titres d’ aujourd’hui, Most Wanted fasse plutôt pâle figure, il n’en demeure pas moins l’un des jeux de course auxquels j’ai le plus joué.
10
Dans mon enfance de gamer, pas si lointaine, j’ai eu l’occasion de jouer à bien des jeux médiocres voire mauvais (plus d’ailleurs qu’à de gros blockbusters) mais l’un d’entre eux m’a particulièrement marqué. Sans doute tombé dans l’oubli peu après sa sortie, Croque Canards comportait pourtant plusieurs bonnes idées et avait tout pour séduire sur le papier. Un monde ouvert, des véhicules et un système de missions à la GTA ; tout cela dans un univers enfantin mais séduisant à l’ambiance réellement attachante. Malgré une jouabilité rigide et capricieuse, il m’a procuré une bonne dose de fun en son temps.


Conclusion
Même si certains ne l'ont pas connue ou très tard, la Xbox reste une console inoubliable qui a permis de démocratiser le jeu en ligne et d'imposer des licences incontournables. Chère à nos yeux, la grosse boîte noire a marqué chaque membre de l'équipe à sa façon, raison pour laquelle nous voulions lui rendre ce dernier hommage. Bien entendu, ce dossier ne retrace pas toute la vie de la console et n'offre au final qu'une vue relativement restreinte des titres de sa ludothèque. Toutefois, nous espérons que vous avez eu plaisir à consulter nos coups de cœurs et nos déceptions et que cela vous incitera à partager avec nous les vôtres sur le forum.
Consulter les commentaires Article publié le 30/12/2010 par Vincent P.


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