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Une saison d'hiver à la montagne & test de la Go Pro
Publié le 25.03.2012 à 22:51 par vegeta$

Avant de reprendre mes articles de blogs sur mon tour d'europe, j'ai voulu poster quelques photos prisent durant les 3 mois que j'ai passé sur le domaine des "Sybelles" en Savoie

Les quelques 300 kilomètres de pistes n'on pas eu raison de moi et je me suis régalé sur ce domaine pas spécialement technique mais magnifique.
Ma saison en chiffre donne ceci:

pas loin de 25h sur les pistes
900 kilomètres parcouru en ski
une trentaine de sortie
une vitesse maximale à 133 km/h
(merci à l'appli "Sports tracker" pour toutes ces infos )

maintenant, place aux photos




Capture d'écran depuis une vidéo "Go Pro"


Capture d'écran depuis une vidéo "Go Pro"


Capture d'écran depuis une vidéo "Go Pro"








Photo prise avec la Go Pro


Photo prise avec la Go Pro



Comme je n'ai pas vraiment envie de m'étaler sur ma saison, je vous évites le gros pavé habituel

----------------------------------------------------

Test de la caméra "sportive"


la GO PRO héro II


commençons par le commencement, une photo de la bête



il ne paye pas de mine comme ça mais si on regarde les spécificités du bousin, on peut voir qu'il en a sous le capot:

- Grand angle de 170°
- résolutions HD
1080p: 1920×1080,
960p:1280×960,
720p: 1280×720,
WVGA: 848×480.
- Un mode 60 images / seconde en 720p
- Une fonction photo jusqu'à 11MP.
- Un mode 120 images / seconde en WVGA (848×480px)
- Un mode timelapse de 0,5 photo/secondes.
- Un angle de prise de vue non déformant à 90°.
- Un mode rafale 11 photos/seconde (11MP)

Sans oublier le "chauffage" intérieur qui tient la batterie à un degré optimal en cas de condition extérieur extrême (comme du -20°c...), l'étanchéité de la coque jusqu'à 60 mètres de fond et bien sûr, l'anti choc.

Je me demandais avant de l'acheter, si cette caméra me serais utile hors sport (genre photo familiale, paysage,...) et aujourd'hui je serais tenté de répondre par un oui, à condition de rajouter un écran LCD (100€) et un micro (25€ il me semble).
Bien sûr, pas question de faire des photos digne d'un canon D32334, à cause de l'absence de mode (paysage, portrait,...), pas moyen de choisir, un mode qui te prendra ta photo en 11MP (avec une très bonne qualité) avec un stabilisateur de fou furieux
Pour en rester sur les photos, le deuxième bémol c'est l'effet "fish eyes" de l'objectif (que vous pouvez voir sur les photos prisent par la go pro plus haut), cet effet est des plus pratique lors des vidéos de sport ou pour les photos de paysage mais quand tu veux faire une photo lors d'une soirée, c'est la cata... heureusement des logiciels existe pour éliminer cet effet (si par hasard, vous en connaissez un, faites le moi savoir )

Passons un peu aux points forts : les vidéos de sport (en l’occurrence, pour le ski)
Dans la boite tu trouveras des fixations adhésives pour accrocher ta caméra sur un casque (et croyez moi, ça ne bougera pas !) ou alors sur la tête à l'aide d'une sangle (plus de risque, la sangle risquant de glisser de ta tête, faut donc éviter les back flip...) voir même sur une canne (vendu séparément) pour te filmer avec un style « 3eme personne » très plaisant

La caméra fixé, on peut commencer à la manipuler et de ce côté-là, j'ai un peu galéré à cause du faible nombre de bouton.
Celui du dessus servant de déclencheur ou de sélectionneur dans le menu et celui sur la face avant servant à changer de mode en s'aidant du tout petit écran qui affiche en gros le mode choisi (pas glamour pour un sous)
Différent mode s'offre à nous :
- Vidéo
- Photo
- Rafale (11photo/seconde)
- Timelaps (prendre une photo toute les 0,5 ; 1 ;2
;5 ; 10 ; 30 ; 60 seconde)
- Retardateur
- Option (permettant de changer la qualité et l’angle des vidéos et photo, de changer l’intervalle du timelaps,…)

Le grand plus reste son grand angle en 1280x960 permettant par exemple de voir ses skis et le ciel en même temps, le truc impossible en 1920×1080 (dit comme ça, ça semble con mais c'est réellement pratique )


en prime, un petit montage de quelques bouts de vidéo réalisé grace à la Go Pro



youtube ne rend pas vraiment hommage à la qualité réel des vidéos (et a en plus désactivé la musique des bronzés font du ski que j'avais mis...) et moi, j'ai un peu du mal à faire du free style, donc on ne ce moque pas

Je pense avoir fais le tour de points important mais je vais tout de même finir par le prix:
le prix de base est de 349€ sans carte mémoire (à savoir qu'ils vous faudra une CM classe 10) et comme je le disais plus haut, divers accessoires peuvent être rajouté en fonction de l'utilisation que vous comptez en faire
je vous conseil ce site pour faire le tour de la boutique GO pro
http://www.studiosport.fr/gopro-cameras-gopro-hero2-c-29_111_309.html









European Beer Tour: Prague
Publié le 11.12.2011 à 14:21 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis.

articles précédents:

European Beer Tour: Florence
European Beer Tour: Rome
European Beer Tour:la Croatie
European Beer Tour: Budapest
European Beer Tour:Vienne




Lundi 10 octobre : Je profita de nos dernières instant à Vienne pour filer au magasin du coin histoire d’acheter mon souvenir (comprenez « ma bière locale »), puis on put se lancer en direction de la République Tchèque. A peine la frontière passé, qu’on pouvait se rendre compte de la différence économique entre L’Autriche et ce pays. Les routes qui ressemblent à un terrain de BMX et une vignette d’autoroute qui ne nous servira à rien jusqu’à Prague… et pour cause, y’a pas d’autoroute !! Mais grâce aux night-clubs qui jonchaient les bords de la route aux abords de la frontière, ont savaient que ce pays allait nous plaire.

En arrivant sur Prague, comme pour toutes les villes précédentes, on avait notre stratégie qui était maintenant bien rodé. Première étape : trouver l’hôtel grâce au GPS. Deuxième étape : celui qui ne conduisait pas et moi-même, on abordait la réception pour demander où était le parking « privé » de l’hôtel mentionné sur l’annonce (si bien sûr, un parking était dispo), pendant que le conducteur attendait en double file dehors. Troisième étape : L’adresse du parking « privé » (qui est souvent un parking payant surveillé à 10 bornes de l’hôtel) en poche, ont partaient ce garer. Ce parking-là (celui de Prague) nous fît nous sentir comme dans un film d’horreur… de la boue de partout, des voitures désossé à l’arrière, un temps sombre et humide et surtout un « gérant » sortie d’un film glauque des pays de l’est. Après avoir essayé de communiquer avec lui (il ne parlait bien sûr pas anglais), ont pu partir à la découverte de Prague.

Qu’est qu’on voulait voir à Prague ?? La réponse va vous semblez un peu hors du commun mais on voulait voir le « Hard Rock Café » de cette ville. Pourquoi ?? Déjà, ce n’était clairement pas le but du voyage, nous avons d’ailleurs raté ceux de Rome et Florence mais plus on y pensait et plus on se disait qu’on se devait d’en tester un. Tout le long de la marche à pied jusqu’au centre-ville (toujours sans regarder la carte, le feeling et la chance rendait l’aventure plus « aventureuse »), on imaginait comment serait notre premier Hard Rock Café, on le décrivait d’une telle façon qu’on savait qu’on allait être déçu en y arrivant (de plus, j’ai pu voir celui de Sydney qui est minuscule et qui m’avait sérieusement refroidit) mais bon, 3 « rockeurs loveurs » (surnom de merde auquel je viens de penser) qui vont voir leur « église » pour la première fois, peuvent bien rêver un peu.

Arrivé dans le centre, on se fichait de tous ces bâtiments multicolores qui s’offrait à nous et qui faisait ressembler Prague à une ville de poupée, on pensait plus à s’abriter sous notre parapluie (oui, parce que la pluie nous avait suivie…) et à cherche « l’église » (puis on crevait la dalle aussi !). Après avoir fouiné de partout, nous sommes enfin arrivés sur ce qui semblait être la place centrale, avec sa magnifique tour et tous ses touristes et surtout, le Hard Rock qui ne devait pas être bien loin de là. Un petit tour et nous tombâmes dessus !! Un bâtiment avec une décoration typique du pays (bâtiment qui semblait dater de quelques années, voir siècles) arborait fièrement le signe tellement connu du Hard Rock Café.


La façade du Hard Rock, le genre de bâtiment typique du coin


Rien que là, ça trouait le cul mais l’intérieur nous acheva !! Une magnifique Harley et une basse dédicacée par tous les membres des Red Hot Chili Pepers (notre groupe préféré) en plus de divers autres instruments aussi mythique nous accueillirent. J’aurais dû prendre une photo de nos tronches à ce moment, on aurait surement 3 gamins qui venaient de voir le père Noel. On passa ce magnifique hall pour arriver dans la salle où de nombreux autres objets décoraient les murs, avant qu’une jolie minette nous accueillit très gentiment : « hey guys, what’s up ! », au moins elle sait briser la glace celle-là. Elle nous a laissé le choix de manger avec le groupe de notre choix qui avait une place de libre, en gros on pouvait manger à côté de « l’objet » collector placardé au mur de notre choix.

quelque un des instruments qui m'ont le plus marqué


La basse dédicacé par tout les membres des Red Hot Chili Peppers, le top du top pour nous



suivit de d'une guitare dédicacé cette fois par les Seether



et une guitare qui nous arrive du groupe Kiss


Ce n’est seulement que lorsqu’on fût installé, qu’on découvrit comment cet endroit était immense. 4 étages de restaurant, une scène avec une batterie d’installé, un bar rempli d’alcool aux différentes couleurs et la guitare géant qui pendant entre les étages rendait cette endroit magique, nous on souriait juste comme des cons en admirant tout ça. On a beau avoir imaginé des centaines de truc à propos de ce restaurant, cela dépassait de loin nos espérances et le repas allait aussi nous laisser sur le cul. Après l’apéro à base de bière local pas chère (2€ la pinte) et surtout très bonne, ont reçu nos burgers. Et là messieurs, mesdames, c’était des burgers de haut niveau !! 280g de viande et de légume frais, je peux vous assurer que quand tu le fini, tu n’as plus fin !! Le top du top (mais on a pu voir ça dans toute la ville, ça ne venait pas du restaurant), c’est qu’avant de finir ta bière, tu peux en commander une autre qui te sera servi quand la tienne sera vide, pas de temps mort. En même temps, les nombreux serveurs présents ne m’avaient pas l’air trop occupé, la main d’œuvre doit être de bon marché là-bas.


quand t'as fini de l'engloutir celui là, ben t'as plus faim )



l'immense guitare centrale vu d'en bas



et d'en haut



le bar qui donne juste envie de boire



et la batterie placé sur la scène


Le ventre plein, on passa par la case « Hard rock's shop » obligatoire pour des touristes comme nous qui sont tombé amoureux cet endroit. Le shop, tout aussi magnifique que le restaurant, avait un large choix de T-shirt, vestes, pins, verre et autres conneries avec la ville de Prague inscrite sur chacun d’eux. En somme, le souvenir parfait à ramener pour nous.
Le temps ne c’était pas vraiment amélioré depuis notre arrivée mais on prit notre courage à deux mains et sommes allée faire un tour (c’était surtout histoire de digérer le burger). La nuit était tombée et le froid était encore plus froid… on préféra rester dans le Hard Rock Café pour boire quelques pintes tout en écoutant du bon rock à l’ancienne (mais aussi du Britney speas, black eyed peas et autres conneries commerciales qu’on aurait jamais pensé entendre ici…).

Finalement, on prit notre courage à deux mains et sommes de nouveaux sortit prendre l’air (histoire de décuver un peu, il n’était même pas 19h et les effets de la bière faisait déjà bien mal). Un petit tour par ci, un par là et boom, perdu !! Dans l’état où ont étaient, ce n’était pas la meilleurs des choses qui pouvait nous arriver mais après quelques bars nous nous sommes retrouvé dans un endroit connu, le Hard Rock Café...
Durant ce déambulement dans les rue de Prague, nous avons pu tester un bar typique du coin qui était fort sympathique. Une bonne ambiance à l’intérieur, où toutes les piches de la région devaient être ici pour boire une bonne bière maison, encore moins chère qu’au Hard Rock. Le deuxième bar était beaucoup moins anodin, il se trouvait dans une cave (alors pourquoi on est rentré dedans sans avoir eu peur de se faire violer ? je me le demande encore) et il était presque vide. Le barman semblait défoncé complet mais put tout de même nous servir nos bières qu’on s’est empressé d’emmener au fond de cette « cave » histoire d’éviter les mauvaises rencontres. Même s’il se trouvait en sous-sol, cet endroit avait un certain charme avec ses graffitis sur les murs et sa carcasse de voiture incrusté dans une façade à côté de nous (!).

quelques photos prise durant notre sortie nocturne







le bar en "sous sol", avec une déco des plus sympathique



Cette petite tournée des bars fait, nous sommes rentré au QG, pour manger un morceau et boire (encore) quelques bières avant de rentrer sans trop savoir comment à l’hôtel, en passant par « on ne sait quelle route » et puis de toute manière c’était s’en importance car on ne s’en rappela plus le lendemain.

Mal de crane oblige, le lendemain on préféra visiter la ville plutôt que les bars et puis la pluie s’en était allé. Nous sommes donc retournés au centre-ville (en bus cette fois) histoire de tourner un peu en rond et de s’imprégner de cette ville (ouai ok, on c’est encore perdu). On recherchait tout de même quelque chose, une brasserie du nom de « U Medvidku » que ma tante ma recommandée. Dur à trouver sans adresse et la faim commençait à nous tenailler, nous sommes donc arrêtés à la première brasserie qui nous est tombé sur le bras. Après avoir mangé et bu comme des princes pour presque rien (10€ par personne), direction la vieille ville qui se trouvait après un pont. Un jolie parc fort tranquille ce trouva sur notre route et nous permit de digérer un peu avant la grimpette jusqu’au sommet de cette vieille ville fortifié, qui fût rude mais nous finissons enfin par arriver là-haut et la vue en valait le coup. Après la visite d’une autre église, on pouvait redescendre pour visiter… un centre commercial !! Je me demande encore ce qu’on est allé foutre la dedans ?? ok il était énorme mais quand même.






on peut voir la vieille ville au loin



le parc mentionné si dessus



petite vue sur Prague depuis ses hauteurs



no comment



l'entrée de la vieille ville surveillé par 2 gardes qui n'ont même pas le droit de péter



Prague est réellement jolie mais le temps grisâtre (et la gueule de bois) ne nous donnait pas vraiment envie de s’empresser de visiter chaque parcelles de cette ville. On se baladait donc s’en réel but à part celui de trouver cette brasserie (qui servait de la bonne bière maison, selon ma tante). But qu’on réussit à attendre je ne sais plus trop comment ??!! On se trouva devant cette énorme brasserie qui nous tendait les bras à l’heure du diner. L’intérieur était très sympa mais terriblement petit, impossible de trouver une place jusqu’au moment où on vit ce passage à l’arrière qui nous amena dans une arrière salle immense !! Des grandes tables, presque toutes remplies nous attendaient pour prendre l’apéro à base de bières maison et d’un repas vraiment délicieux et toujours aussi bon marché. Avant de sortir, on fît un tour à l’arrière de la boutique pour voir les cuves à bière (qui était surement là pour décoration, elles nous semblaient assez petite et ne fonctionnait pas) et j’ai été obligé de ramener un souvenir de cet endroit, une bière. La petite vieille me vendit la bouteille 2€ tout en collant l’étiquette sur la bouteille, au moins je suis sûr qu’elle est maison celle-là.


les fûts à bières de la brasserie


Retour à l’hôtel et dodo pour reprendre des forces avant la prochaine étape qui risque d’être éprouvante pour nos foies : Munich !






European Beer Tour: Vienne
Publié le 26.11.2011 à 18:03 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis.

articles précédents:

European Beer Tour: Florence
European Beer Tour: Rome
European Beer Tour:la Croatie
European Beer Tour: Budapest



Le temps filait et nous devions encore visiter Vienne avant la tombée de la nuit, nous reprenons donc la route, la musique à fond et les jambes en feu. Achat de vignette pour l’autoroute obligatoire en Autriche, heureusement qu’il est BEAUCOUP plus simple de la trouver, à peine passé la « frontière » (les guillemets sont là pour représenter la facilité avec laquelle nous avons passé les frontières européens dénuer de douaniers et cela continuera jusqu’à la Hollande) qu’un panneau nous indiquait la possibilité d’acheter notre vignette à la première station-service sur notre route. Pour 7€ nous étions parés pour 10 jours d’autoroute même si 2 jours nous auraient suffi. Arrivé à Vienne, le GPS nous amena directement à notre auberge de jeunesse où la conduite se faisait aisément et sans stress contrairement aux autres villes précédemment faite. « L’hôtel » le plus chère des pays de l’est que l’on avait réservé ce trouvait être aussi le moins agréable au vu du prix et il fallait en plus payer le wifi (6€/h), chose qui rend l’hôtel encore moins attrayant pour ces 3 geeks en vacances.

Bref, les bagages posés dans la chambre, nous partions à l’assaut de Vienne avec un magnifique temps merdique à souhait, froid et pluvieux (temps qui perdurera presque tout le reste de notre séjour en Autriche) mais avec le métro à côté, cela ne nous dérangeait pour l’instant pas trop. A propos de ce métro Autrichien, nous l’avons trouvé très bien foutu, propre et pas trop chère, un gros changement par rapport à Budapest qui semblait bien plus vieux et donc moins bien entretenu. Ce dirigeant vers le centre sans vraiment savoir où s’arrêter, on descendit à un arrêt qui nous semblais être un bon point de départ et on ne c’était pas trompé, une magnifique rue piétonne s’offrit à nous avec des magasins qu’on osaient à peine regarder de peur de devoir payer (Louis vitton, Dolce Gabanna,…) et la rue nous emmena devant une sorte de magnifique palais (ne demander pas le nom, on a pas pris le temps de se renseigner sur la plupart des monuments et bâtiments visité) avec dans sa cour, les préparatif pour un évènement sportif qui selon les affiches, sera du genre « marathon de nuit ». Les pauvres coureurs risquent de prendre froid…
Cela ne commencerait pas avant quelques heures, on avait le temps de voir les 2-3 bricoles qui dépassait du dessus des arbres, comme ce musée aux immenses colonnes et à la magnifique fontaine surmonté de statues qui faisait face à la route ; ou cette immense cathédrale (enfin, sans vraiment vérifier s’il s’agissait bien de ça) qui la nuit venu, éclatait de beauté. On finit par se rendre compte que ce n’était pas les églises et surtout pas les musées qui manquaient dans cette ville mais comme le marathon allait commencer (à la vue du nombre improbable de sportif en short-t-shirt par 5°c qui se dirigeaient vers le palais précédemment vue), on préféra repartir sur nos pas. La place qui encore quelques heures plus tôt n’était occupé que par quelques techniciens, grouillait maintenant de coureurs, spectateurs, vendeurs et caméras de télévision !! On était surement arrivé à Vienne le jour qu’il fallait pour avoir un peu d’animation et ce fût surtout notre premier marathon. Après un speatch de personnes surement importantes, le départ fût lancé et c’est par vague que les coureurs se lancèrent. Le truc chiant avec les marathons, c’est que quand les coureurs sont partit, ben tu te fais chier !! Le froid n’aidant pas du tout, nous avons préféré rentrer à l’hôtel histoire de passer une bonne nuit tout en espèrent que le temps serait plus clément le lendemain.


le premier et impressionnant bâtiment qu'on vit en sortant du métro



les coureurs du marathon de Vienne qui s'élancent



oui oui, c'est un musée (enfin il me semble )



Dimanche 9 octobre : Après un petit déjeuner complètement horrible « offert » par l’hôtel, nous repartions pour le centre-ville avec l’aide de nos parapluies pour faire un peu le « tour du propriétaire ». Ne voulant pas nous faire chier avec un planning organisé à l’avance comme on avait l’habitude de le faire pour les villes précédentes, on préféra se balader sans vraiment savoir où nos pas allait nous mener. On est donc repassé devant les monuments vu la veille mais avec la lumière du jour cette fois mais surtout… on s’est perdu. La faute à la marche aveugle qu’on utilisait. Heureusement qu’avec l’aide du métro, il était super facile de se retrouver et d’aller où bon nous semblais.


l'entrée d'un immeuble, classe non ??



un... parc



elle ne vaut pas les fontaines de Rome mais elle reste très jolie


A part une rue piétonne très sympathique et une énorme église très glauque du style gothique il me semble, Vienne ne me plus pas tant que ça. Peu de chose à raconter sur une ville qui semble pourtant être très intéressante pour les amateurs de musée, ce qui n’est visiblement pas notre cas… et puis le froid et la pluie nous cassa le moral et on avait même pas la force (les moyens ?) d’oublier ce temps maussade au bar du coin mais comme on avait un ticket pour avoir les transports publiques gratuit
dans toute la ville on préféra avant de rentrer à l’hôtel, ce foutre au chaud dans un tram pour visiter la ville sans se fatiguer (pas con comme idée !!).




La rue piétonne qu'on faillit rater





L'église au style gothique, parfait décor pour un concert de Marylin Manson





En arrivant au bout de la ligne et qu’est qu’on ne vit pas au loin ?? Une sorte de big manège qu’on trouve dans les fêtes foraine. Hop, on avait trouvé une occupation qui nous réchaufferait ! Direction le manège (qui ne se trouvait tout de même pas à coté), qui ce trouvait bien dans un parc d’attraction presque désert mais heureusement, quelques attractions étaient encore ouverte. Grâce à cette « tour » avec des fauteuils, ont pu grimper à une centaine de mètres (et ce geler les coui**es par la même occasion… on mais quelle idée qu'on a eu là xD) pour avoir une très belle vue de la ville au soleil couchant. 2-3 attractions plus tard, ont pu rentrer un peu plus content qu’avant de trouver ce parc (mais quelle bande de gamin, j’te jure )et avons passé notre dernière nuit à Vienne


La tour qui nous guida jusqu'au parc (et qu'on a bien sûr utilisé)



pourquoi utiliser des chevaux en bois quand on peut en utiliser des vrais ?




Après un article sur une Vienne qui ne m'a pas vraiment fait succombé, je vous donne rendez vous à Prague


European Beer Tour: Budapest
Publié le 16.11.2011 à 17:41 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis.

articles précédents:

European Beer Tour: Florence
European Beer Tour: Rome
European Beer Tour:la Croatie




Jeudi 6 octobre : Après cette petite semaine de repos et de beau temps, il était temps de repartir à l’aventure, direction Budapest où allait commencer le vrai trip (l’Italie et la Croatie on connaissait déjà plus ou moins). Après 7h de route, la douane Hongroise s’offrait à nous et comme c’était la porte d’entrée de l’Europe, on ne s’imaginait pas la passer en leur promettant seulement qu’on avait rien d’illégal avec nous (à part quelques bouteilles d’alcool, on avait franchement rien à déclarer)mais c'est belle est bien ce qui c'est passé... 3 jeunes arrivant de Croatie qui ne déclarent que quelques bouteilles et qui rentre en Europe comme ci de rien n'était, c'est bien la première fois que ça m'arrive (l'effet barbe qui nous rendait plus vieux surement ). Nous voici donc sur l’autoroute Hongroise qui bien sûr, nécessite une vignette pour avoir le droit de rouler dessus et notre expérience d’un précédent voyage en Slovénie où nous sommes pris une belle amende car on ignorait totalement qu’il venait de mettre en place ce système nous restait en travers de la gorge. On commença donc à rouler « illégalement » en recherchant un endroit pour se procurer cette vignette mais impossible de mettre la main dessus ! De peur de se prendre une amende, on préféra sortir de là pour se retrouver perdu dans la campagne. Ne sachant pas trop où trouver cette fichu vignette, on s’arrêta à la première station-service que l’on vit pour prendre quelques renseignements en demandant à la proprio ce qu’il en était. Dommage qu’elle ne parlait pas un mot d’anglais mais le langage des signes nous permit d’obtenir notre vignette ici même pour seulement… 1650 forint !! Ne connaissant vraiment pas cette monnaie, j’ai été surpris du prix et ai eu peur d’une erreur de la dame mais après vérification, cela ne faisait que 5€ (ça va faire nous bizarre de payer nos bières quelques centaines de Forint !).

Arrivé à Budapest, nous nous sommes retrouvé perdu en voiture dans cette capitale, où le GPS nous indiquait de prendre des sens interdit pour nous amener à l’hôtel (sens interdit que nous avons fini par prendre... je sais, c'est pas bien). Nous avons finalement réussi à le trouver et même si ce n’était pas spécialement un hôtel proprement dit, cette chambre d’hôte nous parut suffisante pour les 2 nuits à 60€ qu’on avait réservé. A peine le temps de décharger les bagages qu’on partait à l’aventure de cette première ville de l’Est (sans réellement savoir ce qu’on allait y trouver). Gauche ?? Droite ?? Peu importe, il se faisait déjà tard et les visites préparées à l’avance ne semblait pas être notre truc, on voulait juste ce rapprocher du centre pour prendre la « température » de la ville le soir venu. On prit donc un pont fort jolie, qui nous mena devant une colline où gisait à son sommet un château (qu’on c’était planifier de visiter le lendemain en prenant la voiture, la flemmardise étant bien mieux que la grimpette) et une magnifique statue surplombant une cascade qu’il était possible d’atteindre en prenant un escalier (ce pont nous mena aussi à l'opposé total du centre ville, mais bon...).


la fameuse statue et sa cascade (photo d'une qualité médiocre...)


Arriver devant la statue qui était beaucoup moins impressionnante de près, on vit un deuxième escalier pour grimper un peu plus haut. Le temps ne nous manquant pas spécialement, on le monta histoire d’avoir une vue sur la ville mais arriver en haut, un autre escalier nous attendait et tout naturellement on grimpa… jusqu’à un autre escalier… et ainsi de suite jusqu’au sommet de la colline avec le château que nous étions sensé visite le lendemain en prenant la voiture. Nous voici donc là-haut, entouré de touristes (venu en bus, les branlots) avec une vue de nuit sur Budapest et pas un nuage dans le ciel, le rêve total. L’avantage avec ce genre de panorama, c’est que tu peux te rendre compte que tes réellement dans la merde pour visiter tout ça en 1 jours !! Mais chaque chose arrive en son temps, nous penserons à ça demain, pour l'instant il fallait manger.


Le pont traversé juste précédemment



la vue panoramique sur Budapest


Nous sommes donc redescendu par cette même colline en passant par des bois très peu rassurant car très peu éclairé… mais comme nous sommes actuellement encore en vie, vous pouvez deviner qu’il n’y avait pas grand-chose à craindre, en même temps les pays de l’est contrairement à ce que je pensais, respire la tranquillité et la gentillesse ce qui n’est pas vraiment le cas de certaines parties de la France. Donc, après une longue marche à pied au bord du Danube nous arrivons sur un autre magnifique pont (il y en a 3 ou 4 me semble t'il et 2 mérite vraiment d’être traversé) avant d’arriver sur ce que nous pensions être le centre de la ville. Après le retrait de 10000 Forint chacun (en un seul billet qui équivaut à environ 30€)


le fameux billet qui te fait sentir riche


nous avons trouvé une brasserie sur ce qui semblait être la place principale du coin où nous avons testé le goulasch local (sorte de pot au feu avec viande et légume) qui était vraiment pas mauvais mais on a surtout pu admirer quelque chose de vraiment pas banal (du moins chez nous), un trompettiste qui jouait sur la place depuis que nous étions arrivé , c’est trouvé accompagné au chant par un homme en costard cravate qui sortait surement du boulot et qui durant son temps libre, devait être ténor à l’opéra du coin. Le duo à embelli la place avec une improvisation totale le temps d’une musique, avant que le chanteur ne reparte avec ces collègues qui l’attendait. Peut-être était-il bourré, peut-être pas mais en tout cas, voir ça nous donna un avant-gout fort agréable de l’ambiance du pays. Nous avons fini la soirée en errant dans les rues en buvant quelques bières et en évitant les jolies minettes qui te proposent de rentrer dans leurs strip club (le genre de truc à éviter dans ce genre de pays selon Redempteur ).



Vendredi 7 octobre : Le mauvais temps devait bien finir par nous rattraper, froid et pluie était au programme pour cette grosse journée qui nous attendait. Pas de guide local pour nous aider cette fois-ci mais on savait ce qu’on voulait faire: tester les thermes si célèbre de ce pays ! Direction le métro où en jouant les touristes totalement perdu, une jeune femme est venu à nous pour nous proposer son aide (comme je le disais, les gens d’ici son réellement accueillant). Sans réel difficulté, nous sommes arrivé à ce parc pas vraiment intéressant à visiter sous la pluie mais où était censé ce trouver les thermes que nous recherchions, sauf qu’à part un énorme et magnifique bâtiment (le genre de truc que tu prends en photo en passant à côté), il n’y avait rien… Il nous a fallu quelques minutes de réflexion et un tour du parc pour nous rendre compte que ce « château » était en fait les thermes que nous cherchions.


photo très mal cadré, représentant ces thermes


L’intérieur ressemblait plus à une clinique pour personne âgé et fortuné qu’à une piscine publique mais vu qu’on était là, autant tester le bousin. 10€ par personnes et 20 min plus tard (ben ouai, on s’est littéralement paumé dans ce dédale de couloir et de vestiaire), nous arrivons enfin dans une salle qui contenant quelques jacuzzis datant de l’ère préhistorique et qui puait l’œuf pourri et le vieux !! normal la salle en était remplit… Je demande quand même à quelqu’un où sont les grands bains, « dehors » qu’elle me répond. Non mais il fait -10000°c dehors, j’suis pas prêt d’y mettre les pieds, surtout en maillot de bain !! Mais comme c’était l’unique solution, on se pointa dans cette magnifique cour qui comprenait 3 bains et on sauta dans la première venu (de toute manière elle ne pouvait pas être plus froide que l’extérieur) !! Quelle surprise de baigner dans de l’eau qui selon le panneau était à 28°c alors que tu pensais avoir oublié la combinaison pour te baigner dans ce pays. C’est d’ailleurs pour cela que les piscines extérieures étaient toutes blindées mais 28°c n’étant pas suffisant pour nous, nous sommes donc sortie de l’eau tel un John Rambo sortant de son piège pour bondir sur son ennemi et avons atteint l’autre bain avant de ne plus sentir nos membres. Ce nouveau bain nous brula plus qu’autre chose à cause de la différence de température avec l’extérieur mais après quelques secondes, les 38°c de l’eau nous relaxant à tel point qu’on ne partit pas avant que la pluie ne revienne en fin d’après-midi, même si les saunas et hammam nous occupèrent quelques temps.

Complètement remis de nos dizaines heures de voiture, on pouvait ce trouver un endroit où ce poser pour boire quelques bières et manger un morceau. La brasserie à côté de notre hôtel fît parfaitement l'affaire pour boire, la bouffe c'était autre chose, en même temps, j'suis limite con de manger une truite à Budapest moi... Pas grave, la bière faisant oublier ce problème de poisson, nous nous sommes trouver un autre bar, en sous-sol cette fois (le truc très courant là-bas) où un groupe de jazz s’apprêtait à jouer. Ne connaissant pas réellement le jazz, on fût impressionné par ce groupe qui réussissait de meilleurs solo que certains très bons groupes de Metal ou Rock et l’ambiance de cette petite salle rendait le tout presque magique.




Il était temps pour nous d’aller nous coucher avec de la musique plein les oreilles et de la bière plein le foie.

Samedi 8 octobre : Viennes nous attendait mais comme le beau temps était de retour, on voulut tout de même voir un maximum de lieu qu’on avait raté le jour d’avant. Comme cette cité médiéval qu’on avait pu voir depuis le panorama qu’on avait 2 jours plus tôt. Après une bonne grimpette en utilisant les escaliers gratuits plutôt que le funiculaire payant, nous voici dans cette cité bien touristique et pas réellement intéressante, à part la vue sur la ville depuis les remparts et cette magnifique église au toit multicolore, le reste laissait à désirer. Nous avons tout de même repéré depuis la haut, un bâtiment massif et surtout magnifique qui nous fît penser à une basilique extra large, qui se trouvait de l’autre côté du Danube.


les remparts de cette cité





et la fameuse église au toit multicolore









le gros bâtiment qui envoi le pâté sans qu'on sache ce que c'est (et oui, je sais aussi faire de belles photos )



Après une autre bonne demi-heure de marche à pied et un nouveau pont traversé, on arriva devant se « titan » qui nous faisais de plus en plus penser à une église ou un autre bâtiment religieux, sauf que les gardes et les barrières qui l’entouraient, nous empêchant de rentrer dans l’enceinte nous firent douter sur les connotations religieuses de l’endroit. Nous nous trouvions en fait devant un bâtiment parlementaire ou une connerie du genre… ça restera tout de même un des plus beaux édifices de Budapest (avis perso).



voilà, Budapest c'est fini, rendez vous à Viennes


European Beer Tour: La Croatie
Publié le 09.11.2011 à 18:24 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis.

articles précédents:

European Beer Tour: Florence
European Beer Tour: Rome





Samedi 1er octobre : Donc après une petite nuit à rêver des milliers de façon possible de mourir durant le trajet, nous arrivâmes à Split et comme on n’était pas vraiment pressé de prendre la voiture, on préféra laisser les autres passagers faire la queue pour descendre dans la soute, pendant qu’on finissait notre nuit dans un coin du bateau. Bien sûr, notre voiture ne pouvant être bougé sans nous, on a réussi à bloquer une partie du « parking » et un petit applaudissement ce fît entendre lorsque l’on s’est pointé. La douane passé (plutôt facilement pour une fois, le bordel du coffre ayant surement découragé le douanier) nous voilà en Croatie où 6 jours de vacance chez ma tante et mon oncle nous attendaient.
Rien de particulier à raconter sur ce passage du trip, nous étions plutôt là-bas pour se la couler douce en buvant de la bière très bon marché. Le petit tour avec le bateau de mon oncle sur les îles en face de Split étant un passage obligé à chaque fois que je viens (pour mon plus grand bonheur), nous avons pu tranquillement nous baigner dans cette eau turquoise loin des touristes (même si en cette période, les touristes se faisaient beaucoup plus rares).


Une bonne régate dès le premier jour pour bien commencer les vacances !



J'ai rarement vu en Europe une eau plus turquoise qu'en Croatie



La classe, non ??



Le genre de village que tu peux trouver sûr les îles Croate



Nous sommes aussi allés faire un petit tour du côté de Trogir, une petite ville fortifiée en bord de mer pas réellement pour nous intéressante mais très reposante.




La très reposante ville de Trogir


Autre ville aussi visité « Murter », petite ville (ou grand village) d’enfance de mon oncle, toujours en bord de mer mais sur une presque île. Pas vraiment le coin le plus touristique de Croatie mais surement l’un des plus beau !! Les Kornat (parc naturel marin composé d’une centaine d’îles, allant du petit îlot jusqu'à l’île habitable) sont visible au loin avec comme seul mur naturel, cette eau turquoise. La ville était beaucoup plus calme, tranquille que lors de mon dernier passage en Aout quelques années plus tôt et paraissait plus naturelle. Nous nous sommes retrouvé à manger dans l’un des dernier restaurant ouvert du coin (basse saison oblige) où nous avons eu droit à une viande cuite au four à bois ! Une première pour nous et ce fût franchement pas mauvais, le « dessert » fût un verre de gnole maison offerte qui nous suffit à faire digérer ce repas.




Murter, tu ne trouvera pas plus beau et typique en Croatie



Le retour en voiture me permis grâce à mon oncle d’apprendre certaines atrocités qui se sont passé durant la guerre aux abords de Šibenik, la ville juste à côté. Comme la statue de ce jeune homme au bord de la route qui représente l’étudiant qui c’était placé devant les chars ennemis sur cette même route en espèrent faire arrêter cette guerre (geste qui lui couta la vie) ou alors ce pont qui fût défendu à l’aide de mitraillette lourde par le cousin et le frère de mon oncle (entre autre) avant qu’il ne le fasse exploser pour ralentir l’ennemi. Le genre de truc qui te fais te rappeler que quelques années plus tôt, ce magnifique pays était à feu et à sang.

Comme je le disais plus haut, nous n'avons pas vraiment visité Split, ni même la Croatie toute entière, on voulait juste ce reposer avant de reprendre le volant pour les quelques milliers de kilomètres qu'ils nous restait à parcourir.


et la délicieuse Ozujsko (qui est surtout pas chère du tout )


Prochain épisode: Budapest

European Beer Tour: Rome
Publié le 05.11.2011 à 13:54 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis .




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European Beer Tour: Florence

Mercredi 28 septembre, 19h : Après 3h d’autoroute italienne toujours aussi horrible, nous arrivions dans les bouchons Romains et ses ruelles étroites. Première chose qui nous sauta aux yeux, la façon dont les Romains ce garent… des voitures parquer de partout, aussi bien sur les trottoirs qu’en double file... à tel point qu’au début, on attendait qu'une file de voiture avance lorsque le feu passa au vert (normale quoi !) avant de se rendre compte que ces voitures étaient tout simplement garé avec personne à l’intérieur. Après ces quelques « problèmes » local, on arrivait devant le logement de Carolina et un coup de fil plus tard, elle était en bas et ce fût partit pour de grandes retrouvailles. Même pas le temps de s’installer, qu’on s’attaquait déjà aux cadeaux qu’on lui avait ramené, Ricard, Beck’s et Rhum arrangé, tout y passait !! Sans rentrer dans les détails, elle nous a ensuite ramené à la pizzeria du coin où elle semblait connaitre tout le monde et nous avons mangé les meilleures pizzas de notre vie (pizza d’ailleurs vendu au kilo), rien que ça mais aussi les plus étranges, le fond de certaines n’étant pas à la tomate mais à la courge.
Certain serait certainement directement allé visiter le centre de Rome qui doit être magnifique de nuit mais pas nous, Carolina préféra nous amener dans son bar où les habituer et le patron nous ont gentiment accueillit comme si nous venions ici depuis des siècles. En sortant de la, on ne savait plus trop où on était et suivions Carolina qui voulait absolument qu’on aille boire un autre(s) coup dans le centre. Je vais éviter de raconter n’importe quoi car les souvenirs ne sont pas nombreux pour cette fin de soirée mais je me rappel tout de même d’être passé en bus à côté d’un énorme monument appelé « le colisée » sauf que le lendemain, je ne m’en rappelais à peine…

Jeudi 29 septembre : Le réveil fût dur mais on devait partir à la découverte des vestiges de l’ancienne Rome avec Carolina qui voulut absolument nous accompagner pour nous servir de guide. Un coup de métro et nous voilà devant une sympathique place avec notre premier obélisque (premier d’une longue liste) et nos premières églises qui ont la particularité d’être des églises jumelles (Santa Maria Dei Miracoli et Santa Maria In Montesanto). Sans réellement prendre le temps de s’arrêter (comme durant tout le reste de la journée) mais en en voyant assez tout de même, on repartait pour un autre lieu en suivant notre guide pour arriver sur les immenses escaliers de de la place d'Espagne avec une très jolie fontaine en bas (à l’eau potable, comme presque toute les fontaines de Rome) et une église (sans oublier un obélisque) à son sommet. En esquivant les touristes qui se reposaient sur les marches et les vendeurs à la sauvette qui vendaient tous les même merdes, nous arrivâmes en haut pour admirer la vue sur Rome. « Voilà donc tous ce que nous avons à voir aujourd’hui, on n’est pas dans la merde», pensais-je en voyant le Vatican au loin et différent monuments qui dépassaient des autres bâtiments plus commun.


Les escaliers en question


Après une cuite comme celle de la soirée précédente, la faim arriva à grand pas le lendemain, nous avons donc trouvé un petit restaurant bien touristique histoire de tester la nourriture de Rome. Les pâtes étaient de rigueur et même si le prix n’était pas spécialement élevé, nous n’avons pas trouvé cela extraordinaire et Carolina n’a carrément pas aimé son assiette… Après cette déception, nous repartions gaiement en direction du Vatican, en voyant sur le chemin de nombreuses autres obélisques et fontaines, sans parler des églises (qui commençaient à nous sortir par les yeux) pour finalement nous retrouver devant cette ENORME Basilique (Basilique n’étant pas un mot assez fort pour décrire le monument qui se dressait devant nous), j’ai nommé l’église parmi les églises, le point central du Christianisme ou bien même l’un des sites touristiques le plus vue de Rome : Le Vatican !! Première impression, c’est très grand ! Deuxième impression, c’est bourré de boutiques, vendeurs de souvenir, restaurants ou autre locaux te proposant une visite… D’après Carolina, la chance nous poursuivait car la place était vide comparé à d’habitude (vraiment !!??) et nous sommes donc entré dans le Vatican(une première pour notre Italienne qui avait essayé de rentrer là-dedans à mainte reprise sans succès), direction le dôme en montant les 500 marches sans l’aide de l’ascenseur qui demandait un surplus de 2€ (et qui ne t’amenait finalement qu’à la moitié du parcours). La vue arrivé en haut était bien sûr magnifique, la place St Pierre juste en dessous de nous et les différents monuments au loin y était pour beaucoup.


Le Vatican visible au loin



La magnifique vue depuis le dôme du Vatican sur la place St Pierre



Une partie des colonnes qui bordent tout la place St Pierre



et l'intérieur de ce Vatican (la photo ne rend absolument rien, désolé)


C’est en redescendant tout ce bordel qu’on commençait sérieusement à ressentir les méfaits de l’alcool et des 35°c qui ont accompagné notre journée, la marche ce faisait maintenant beaucoup plus silencieuse pour économiser nos forces (sans dec’, la chaleur et la course effrénée qu’on ce tapait depuis le début nous cassait en 2), heureusement que la prochaine étape nous amenait sur une place très animée avec ses 3 fontaines mais surtout, elle était rempli de glacier, parfait pour reprendre des forces. Ne sachant absolument pas lequel choisir, nous avons un peu prit au hasard un petit glacier perdu entre 2 gros restaurants-glaciers, pensant avoir de meilleurs glace chez un petit commerçant… dommage, elle était immonde et pour la première fois de ma vie, je n’ai pu finir et ai dû jeter mon pot (surement l’effet Vivoli de Florence, comment remanger des glaces « normales » après celle-là ??).






Photos de 2 fontaines visible sur cette magnifique place et de son église



Le ventre toujours aussi vide mais les jambes un peu reposé, la Fontaine de Trevi nous attendait. Connu pour être la plus belle fontaine de Rome, j’attendais avec impatience de la voir et mon attente fût comblée, comme l’attente des centaines de personnes présente dans cette petite place… Cette magnifique fontaine collée à un autre monument (pas vraiment fait gaffe à ce que c’était, une sorte de gros bâtiment) avec une énorme statue (de Poséidon il me semble) en son centre avec ces 2 chevaux sur le côté est juste magnifique. Petite histoire que ma raconté Carolina, le jour de la victoire de l’Italie pour la coupe du monde de football en 2006, les gens étaient tellement heureux qu’ils se sont mis à danser dans cette fontaine sans que les policiers ne puissent rien faire (ils auraient pu essayer de mettre des coups de boule, ça fonctionne bien !). Bref, comme la coutume le veut, j’ai dû faire le jeté de pièce en faisant un vœu, si j’arrive à publier ce texte en rentrant vivant c’est qu’il a fonctionné.


La plus belle fontaine de Rome et surement la plus visitée


Sans perdre une minute, nous partions pour le Panthéon qui ne se trouvait pas loin de là et nous tombions encore une fois sur une place bondée. Un tour vite fait à l’intérieur (gratuit qui plus est) pour nous rentre compte de la grandeur du truc, même si ça restait moins clinquant que les autres églises où tombeaux. La particularité de ce bâtiment reste son énorme trou à son sommet qui même lorsqu’il pleut, le sol ce trouvant en dessous ne se retrouve pas mouillé (véridique selon Carolina).


La façade avant du Panthéon (je fût d'ailleurs surpris de le voir aussi bien modélisé dans AC)



et le fameux "orifice" qui empêche la pluie de rentrer


Tout ceci était vraiment impressionnant mais la fatigue était toujours là et nous nous retrouvions beaucoup moins impressionnés par tout ça, comme le forum romain (pas vraiment intéressant en même temps) ou cet autre énorme palais dont j’ai oublié le nom.


Ce palais là... ouai, il est pas mal


Seul le Colisée déjà aperçu la veille sans pour autant vraiment s’en rappeler, nous a réveillés lorsqu’en prenant la route nous y menant il grossissait au fur et à mesure devant nous. Bon ok, c’était le coin touristique de base, des shops en veux-tu en voilà, des gladiateurs qui posent avec toi si tu sors les biftons ou encore les guides à la recherche de clients voulant découvrir l’histoire de ce lieu mais bon Dieu, que c’était beau !! Le couché de soleil éclairant le Colisée d’une magnifique façon, le rendant presque orange était grandiose, on en oublierait presque L'Arc de Constantin trônant juste à côté.


ça en jette, non ??


La journée fût longue, nous préférons donc revenir faire la visite le lendemain matin avant de reprendre la route et rentrons nous reposer au bar de la veille pour manger de vrai pâte Italienne comme Carolina désirait nous faire découvrir. L’apéro accompagné de toasts aux différentes garnitures fait, nous nous lancions sur nos assiettes de pâtes et même si je ne m’attendais pas à grand-chose (un bar reste un bar), je fus agréablement surpris par ces pâtes sauce vodka. Le petit limoncello offert par le patron bu, nous pouvions rentrer dormir (sans oublier de faire la bise à ce même patron. Ils sont quand même sympa ces ritales mine de rien).

Vendredi 30 septembre: La soirée fût courte et le sommeil réparateur, nous pouvions repartir voir ce Colisée pour enfin voir l’intérieur. Premier constat en arrivant sur place, il y avait beaucoup plus de monde que la veille en fin d’après-midi ! Nous commencions à faire la queue qui n’était spécialement grande, du moins c’est ce que l’on croyait jusqu’à ce que l’on voie la file de touriste continuer à l’intérieur… heureusement que les Italiens sont « intelligent », moyennant 5€ de plus, tu pouvais passer par un autre passage avec bien sûr beaucoup moins de monde (inutile de préciser qu’ils pouvaient toujours rêver avant de nous voir payer pour ce traitement de faveur). Sinon au niveau des tarifs : 12€ tarifs normal et 8€ si tu es résident européen de moins de 24 ans (notre cas). Nous rentrâmes enfin à l’intérieur et passons directement à l’étage pour tomber sur un petit musée qui raconte l’histoire de Rome et de ce Colisée. Carolina me raconta comment Néron un ancien empereur Romain qui a fait construire nombreuse écoles et bien publique c’est fait trahir et inculpé des incendies criminelle qui ravageaient Rome à ce moment-là. Neron n’étant plus, le nouvel empereur fit détruire tout ce que son prédécesseur avait fait construire. Voilà pour la page histoire, maintenant retour au présent pour découvrir (enfin !!) l’arène. Me voici devant « la scène » où des centaines de personnes sont mort pour en divertir d’autres, ça fait froid dans le dos. Tout est très bien conservé et les pierres ne sont pas taguées comme celle d’autres monuments vus les jours précédents mais le nombre impressionnant de touristes commençais à me prendre le chou… Le tour fait, il était temps pour nous de partir vers Ancona pour prendre notre ferry.







L'Arc de Constantin vue depuis le Colisée


Remerciement à Carolina qui nous a sauvé notre séjour (et offert une belle gueule de bois) avant de lui dire à dans 2 semaines car on allait la revoir à Zurich. Embarquement sur le ferry en direction de Split sur lequel on pensait faire la fête en picolant sur le pont, « pensait » car le bateau est partit à 21h et le bar fermait à 22h ou 23h…


et une dernière photo avec la fontaine ce trouvant devant les escaliers de la place d'Espagne (oui oui, je bois aussi de l'eau )




Prochain épisode: la Croatie

ps: remerciement à malaka47 pour ses conseils sur Rome


European Beer Tour: Florence
Publié le 02.11.2011 à 14:43 par vegeta$

Récit d’un périple qui mena 3 jeunes aventuriers idolâtrant la bière dans certaines des plus belles capitales d’Europe. Du nord au sud et de l’est à l’ouest, ils traversèrent plusieurs Pays en commençant par l’Italie et en finissant par l’Angleterre tout en passant par plusieurs contrées de l’Est et par le Benelux. Rémi (Vegeta$) vous raconte cette épopée réalisé avec deux de ses amis .




Dire que tout a commencé sur un coup de tête n’est pas tout à fait faux car c’est durant une pause au boulot que j’ai proposé à un des futur aventurier de partir à l’aventure après cette saison d’été sans vraiment savoir où cela allait nous mener et de fils en aiguille nous nous sommes retrouvé à nous organiser une virée dans l’Europe entière !! (Enfin c’est surtout qu’on voulait absolument voir du pays sans savoir lequel choisir… on a donc tous pris, c’était le choix le plus simple). Le dernier membre du trio c’est rajouté à l’aventure et l’équipe fût au complet, il ne nous restait plus qu’à finir notre contrat avant de se lancer là-dedans.

Mardi 27 septembre 2011 : Le grand départ arriva… à 5h du mat’ !! Pas facile de se lever aussi tôt lors que tu as passé tes derniers mois à te lever aux alentours de 10h mais après quelques cafés, le problème était résolu et Florence nous attentait les bras grand ouvert. Les 7 heures de routes ne nous faisait pas peur mais les Italiens si… qu’elle bande de bargeots ces ritals !! V’la que je double à droite, que je te colle au cul à 130 km/h ou que je double sans clignotant… impossible de baisser sa vigilance sur la route ce qui deviens très fatigant même si on finit par s’en habituer. Après quelques frayeurs, nous arrivâmes à Florence où la conduite était juste impossible et dangereuse à cause des nombreux véhicules roulant comme bon leurs semble et des nombreux scooters te doublant de tous les côtés. Le seul moyen de s’en sortir en vie est de rouler à leur façon ; tu veux tourner à droite, force le passage ; tu veux rentrer dans un rond-point, force aussi le passage… après avoir un peu tourné dans ce bordel italien, nous avons fini par trouver l’hôtel avec son parking « privé » dont nous rêvions (sinon c’est juste impossible de se garer). Par parking privé, l’hôtel voulait surement dire « parking hors de prix gérer par une autre entreprise » car c’était un parking en intérieur où tu devais assez faire confiance au gérant pour laisser les clefs de ta voiture sur le contact histoire qu’il puisse la bouger pour faire rentrer d’autres voitures (le mec était surement le champion du monde des créneaux pour faire rentrer autant de voiture dans un si petit local). Pour donc 20€ les 24h nous avions un parking sécuriser, ce qui n’était pas du luxe ici.

16h: Nous pouvions enfin commencer à visiter Florence, le tout en traçant un max car le lendemain à la même heure, nous étions attendus à Rome. Le plan entre nos mains et le parcours prêt, nous nous lancions dans la visite de cette magnifique ville qui est sensé ce visité en 3 ou 4 jours selon les guides. La basilique « Di Santa Maria Novella » étant juste à côté, nous avons commencé par là et avons été totalement conquis par cette première basilique (qui reste très quelconque par rapport aux autres merveilles de cette ville) et avons même décidé de rentrer dedans pour s’en prendre plein les yeux… sauf que c’était bien sûr payant et que payer pour rentrer dans une église c’est franchement pas notre kiff, nous avons donc laisser cette « attraction » aux personnes plus intéressé et avons continué notre chemin qui nous mena à une autre Basilique, celle de San Lorenzo où ce trouve les tombeaux des Medicis, orné de plusieurs œuvres de Michel Ange. Tout aussi payant nous avons donc pris une décision : Toutes les visites payantes seront faites le lendemain, pour l’heure on se contentera de visiter la ville et de se repérer dans ce déluge de ruelles et de carrefours.
La pièce maîtresse de cette cité étant la Cathédrale « Santa Maria del Fiore » avec son immense dôme, nous n’avions qu’une hâte c’était de la voir !! Chose impossible à rater au vu de cet édifice dépassant tous les autres bâtiments, son dôme nous indiquant la route à suivre mais ce n’est quand arrivant à son pied qu’on se rend compte de la bête qui se dresse devant nous. La façade incrustée de statues et de fresques nous rappels combien nous sommes petit et cette énorme porte principale nous acheva pour de bon. Selon le guide, l’entrée était gratuite mais la montée sur le Dôme payante. Au vu de la queue (de Japonais !) nous avons renoncé à cette visite gratuite et l’avons repoussé au lendemain matin.

la Cathédrale Santa Maria del Fiore dans toute sa splendeur



Le tour de cette basilique faite, je ne voulais qu’une chose : tester un glacier qui selon les rumeurs, est le meilleurs glacier du monde (ou du pays ce qui reviens au même) j’ai nommé « Vivoli » merci au passage à cyberneo67 qui m'a fais connaitre ce glacier et m'a donné l'adresse car il ne fallait pas espérer le chercher en plein milieu d’une place archi fréquenté, pour pouvoir gouter de ses glaces il faut se faufiler dans les ruelles de florence et compter sur la chance. Cette chance nous l’avons eu et sommes tomber sur cette petite glacerie typiquement Italienne au coin d’une petite église où tous les vieux du quartier viennent manger leurs glaces durement mérité. Mes compagnons n’étaient pas spécialement emballés par cette boutique, ne croyant pas que les meilleurs glaces du monde pouvait se trouver parmi ce petit choix de glace (nous étions plus habitués aux innombrables choix des glaceries française qui te proposent des gouts de toutes sortent en commençant par « chocolat » et en finissant par « schtroumf » tout en passant par le gout « Mars » !!) mais ayant enfin trouvé ce lieux durement recommandé, nous ne pouvions essayer d’en prendre une. Pas de cornet à disposition juste des pots d’une taille en fonction du prix (assez élevé), mon choix me menant tout de même à une glace fraise-banane qui ne put attendre mes amis pour ce faire déguster. Les autres n’étant toujours pas servis, ils ont tout de même put admirer mon visage ce changer quand la cuillère fut rentré dans ma bouche !! Un éclat de saveur s’empara de mon palais et me fis m’échapper de cet endroit quelques secondes, j’avais réellement l’impression de manger des fruits et non pas des produits chimiques venu du fin fond de la Russie !! Je me fis rejoindre par les 2 autres Français mangeurs de glace quelques instants après et nous n’arrivions pas à réaliser comment de telles glaces pouvaient avoir été créé par l’homme (j’exagère à peine… ). Ses glaces suprêmes furent mangées sur une autre magnifique place bordée par une autre superbe église… qui ne nous interpella à peine, notre attention étant pleinement fixée sur nos ice cream (nous avons tout de même raté une église pleine de surprises selon le guide).


Le kiff suprême


La suite des évènements nous amena sur la place « Della Signoria », une superbe place remplie de statues toutes plus belle les unes que les autres, sculptés par les plus grand artistes de l’époque de la renaissance. Juste à côté ce trouve le « Ponte Vecchio », ce drôle de pont qui de l’extérieure fait très rustique et ancien mais une fois dedans, les boutiques de luxes transforme son charme et laisse un gout amère en bouche…


Quelques photos de statues provenant de cette magnifique place



et le Ponte Vecchio


Les heures de marche ne nous ayant pas totalement tué, nous nous sommes lancé dans l’ascension d’une petite colline histoire d’avoir une vue sur cette magnifique cité. Une fois le souffle coupé et les jambes en sang, nous avons pu admirer avec l’aide d’autres touristes venu en voiture (tsss, les petits joueurs !!) un magnifique et réel tableau de Florence. Toutes les églises que nous avons vues durant la journée surplombaient les maisons et autres petits immeubles, un vrai régal avec ce coucher de soleil.



L’heure de casser la croute était arrivée et nous avions une fringale de géant après cette longue journée pleine d’émotion. Nous espérions trouver un petit restaurant un peu à l’écart des lieux hautement touristique de florence car selon notre expérience de cuistot, c’est réellement dans ce genre de restaurant que tu manges le mieux mais la faim nous tenaillant, nous nous sommes finalement retrouvé dans cette magnifique place remplit de statues et de pizzéria !! Ça tombait bien, on voulait manger pizza ce soir-là et ils ne nous restait plus qu’à faire un choix parmi les nombreuses présente. En excluant les restaurants aux cartes traduites approximativement en français (« pour comancer »….) et ceux qui passaient le match de foot du jour avec les buveurs de bière locale qui s’exclamaient à leur façon à la moindre occasion (2 facteurs qui n’incitent pas à venir manger ici), nous nous sommes retrouvé dans une pizzeria relativement quelconque mais avec une magnifique vue sur la place. Après avoir pris la commande et gouté un de leur vin sucré local en apéro, nous nous sommes retrouvé avec de drôles de pizzas, sans sauce tomate et à la garniture non cuite (saumon, tomate, roquette) qui peut sembler bizarre sur le coup mais diantre, que c’était bon !! Dommage que le tiramisu ne nous plus pas autant. Le total pour ce repas n’était vraiment pas excessif au vue de l’emplacement magique où nous avions mangé, vraiment surpris et ravis. Cette journée nous ayant vraiment ratatiné, nous nous rentrâmes à l’hôtel pour se reposer mais le pub anglais du coin nous « appela » histoire de boire notre Guinness d’avant dodo.

Mercredi 28 septembre : Après une bonne nuit de sommeil réparatrice, nous repartions à Florence pour visiter les quelques monuments payants qui nous avais plus la veille. Nous avions bien sûr commencé par le Dôme de la « « Santa Maria del Fiore ». 8€ et de très très nombreuses marches plus tard, nous nous retrouvions à l’intérieur du Dôme et avons pu admirer la magnifique fresque qui le recouvrait, un tableau géant peint il y a des centaines d’années, juste magnifique. Les quelques autres marches qui nous séparaient de haut de Dôme et de sa superbe vue sur toute la ville ce sont faite dans la douleur mais en arrivant à l’extérieur, tous fût oublié. Nous avions la meilleurs vu sur la ville que l’on pouvait rêver, c’était magique et le beau temps (chose très rare lorsque je pars en voyage) embellissait encore un peu plus la toile. Les nombreux tags présent sur la plupart des pierres à l’intérieur et à l’extérieur nous empêchèrent toute de même de retourner au temps des Médicis durant nos quelques minutes de rêveries et nous rappela surtout de l’époque « sans gêne » où nous vivions.


L'intérieur du dôme est impressionnant



tout comme la vue arrivé en haut



et que dire de cette immense porte principale ?


La descente faite, nous nous somme rendu à la Basilique « San Lorenzo » pour y admirer l’intérieur qui est selon les guides, magnifique au contraire de l’extérieur qui reste vraiment sobre. A 6€ l’entrée, je pensais au moins pouvoir prendre des photos…mais non, c’est interdit dans ce lieux de culte, il nous faudra ce souvenir de tous ces magnifiques tableaux et sculptures tout seul. C’est dans ce genre d’endroit remplit de richesse qu’on se rend compte combien l’église était (est ??) puissante et riche ; de l’or, de l’argent et du marbre de partout !! Tu n’oses même pas péter de peur d’abimer un lieu pareil… La matinée passé, il nous fallait rentrer récupérer la voiture et partir pour Rome, une ville que j’avais hâte d’atteindre, autant pour ses monuments que pour mon amie rencontré en Australie que je n’avais pas revu depuis un certain temps.

Prochain épisode: Rome





comment j'ai survécu à l'apocalypse
Publié le 24.08.2011 à 23:29 par vegeta$

C'est sûr ce titre à la fois très mystérieux mais tellement palpitant que me je décide à vous racontez cette soirée qui ne fût pas comme les autres...

Comme certains qui suivent mon blog le savent, j'ai essuyé une inondation en Australie (pas un souvenir très agréable...) mais voilà que ce soir, j'ai subit la pire tempête qu'il m'a été donné de voir


Voilà 1 mois que le temps est plus que radieux à Annecy, les 2 dernières semaines ont même été caniculaires (35-40°c). Nous autres les cuistôts, nous n'attendions qu'un peu de pluie pour que les températures redescende un peu en cuisine et nous n'avons pas été déçu...

Mercredi 24 août, 17H: La chaleur est toujours présente, je transpire comme une étoile de mer dénudé qui fait bronzette en plein soleil, la raie du cu* me servant de gouttière pour évacuer toute cet eau. Ne rêvant que d'une chose, une bonne pluie (et OSEF les touristes qui bronzent au lac !!) mais voilà, il n'est pas sensé pleuvoir avant vendredi (pour mon jour de congé, naturellement --') alors je garde mon mal en patience et envoie quelques plats pour les quelques clients qui trouvent normal de manger des tartiflettes à 17h avec ces chaleurs... scrutant le ciel de temps à autre, je crois distinguer quelques nuages sombres ce dirigeant dans ma direction, c'était comme les ténèbres qui envahissait le ciel, flippant !!

18h: Le ciel est sombre comme une nuit sans étoile, pas d'autres solution possible, la pluie arrive ! et ce qui devait arriver arriva, la pluie commença à tomber et la température baissa rapidement, je pouvais enfin bosser dans des conditions normale... jusqu'à ce que, 10 min plus tard, la grêle fît son apparition !! et pas une grêle qui ressemble à une petit neige d'hiver, non non, c'était la belle grêle grosse comme des oeufs de caille et qui tombe à ne plus s'arrêter. Certain pourrait me dire: "Oui mais moi aussi j'ai déjà vu de la grêle"
Tout a fait d'accord, la grêle n'a rien d’apocalyptique mais laisse moi donc finir mon histoire, crévindju !



Le début de la tempête, ont étaient pas encore trop inquiet à ce moment là...

18h30: Il n'aura pas fallu 5 min pour que la cour derrière le restaurant soit complètement inondé, la faute à la grêle qui à bouché les bouches d'égouts. Le niveau d'eau monta donc rapidement jusqu'à atteindre le niveau de la cuisine... La porte était fermé mais l'eau ne ce gêna pas pour rentré et commença à ce répandre de partout. On racla le plus rapidement possible mais la bouche d'égout de la cuisine n'arrivait pas à avaler l'eau assez rapidement et cette fichu flotte commença à arriver en salle où les clients avaient trouvé refuge. Tant bien que mal, ont ce démenaient pour racler le sol mais lorsque la porte qui à cause de la force de l'eau s'ouvrir, ce fît un véritable ras de marée dans la cuisine et la salle !! Tout le monde pataugeaient dans l'eau froide et mon chef eu la bonne idée de tout disjoncter le courant pour éviter un véritable massacre...


quand je vous disais que c'était inondé... et encore, la photo ne rend rien

19H: Ils nous fallait plus "d’ustensile" pour virer toute cette eau et bien sûr, tout était resté dehors... mais votre beau serviteur prit son courage à deux main et ce jeta à l'eau (littéralement) ! Je devais bien sûr sortir par une autre porte, celle de la cuisine devant rester fermé pour empêcher un deuxième tsunami. Sans réfléchir je me suis mis à marcher dans cette eau glacé rempli de glaçons (on aurait dit un verre à pastis géant !!) avec un niveau qui atteignait la moitié de mes cuisses, pour ramener balai, raclette et tous autres objets utiles.

20H: La pluie s'arrêta, tout comme la grêle. Nous avons pu constater le résultat de cette tempête et la vision des 10cm de glace sur le parking en plein mois d'août me fis tout drôle... la fin du monde arrive, moi je vous le dit !!


plein mois d'août et 10cm de glace dans la cour...


(article de blog écrit sans l'aide de smiley, un exploit pour moi )


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