Il m'avait bien manqué et je le retrouve avec une vidéo assez... hilarante ! Mais oui on te croit Alex ca fait longtemps que t'as pas joué c'est pour ca t'es pas fort D'habitude t'es fort hein !
Je lance aujourd'hui un concours création de bannière.
Le but est simple, créer une bannière de longueur 800 et de largeur 200 pixels. La bannière gagnante sera mise sur mon blog de jeux vidéo et le gagnant empochera 50 PXG voir 100...
Thème: les jeux vidéo xbox 360 donc n'hésitez pas à faire apparaitre des personnages de jeux vidéo xbox 360.
Nom: Alva Games Il faudrait que cela apparaisse en assez gros sur la bannière. Vous avez jusqu'au dimanche 19h00 !
Le fond du blog est noir donc celui de la bannière devra l'être aussi !
Que le meilleur graphiste l'emporte !
PS:Envoyez moi vos bannières à l'adresse suivante: l.alvarez.wili@gmail.com ou bien en hébergant, comme vous voulez.
Seul les documents formats JPEG sont acceptés !
Après s'être penché sur Batman, Indiana Jones et même la musique avec Rock Band, la série LEGO s'attarde à présent sur l'univers magique de Harry Potter en revisitant les 4 premières années - L'école des Sorciers, La chambre des secrets, Le prisonner d'Azkaban & La coupe de feu-. On connait tous les jeux LEGO, adeptes de la parodie, celui-ci restera t-il fidèle à l'univers des LEGO ainsi que celui des Harry Potter et saura t-il convaincre les plus sceptiques ?
Abra Cadabra !
Vous y voila, vous controlez à présent le sorcier le plus célèbre de l'histoire de la magie ! Et il n'est autre que Harry Potter, mais bien sur il n'y a pas que lui puisqu'à vous pourrez débloquer et controler pas moins de 167 personnages - y compris les costumes différents - tous tirés des romans de l'écrivain Brittanique J.K Rowling. Comme l'indique le nom du jeu, LEGO Harry Potter regroupe les 4 premières années, et c'est la que l'on tombe sur la première qualités: les références aux films.
Les jeux LEGO ont le talent de reprendre les moments les plus cultes des filsm en question et de nous les faire revivre en parodiant le tout ! Lors des cinématiques, humour et donc rigolade sont au rendez-vous ! Eh bien avec LEGO Harry Potter cela ne change pas, j'aurais tendance à dire: au contraire. On ne se lasse pas de matter les cinématiques et on en redemande. Certains même s'imagineront ce qui se passera dans tel ou tel scène avant d'y être arrivé et ce qu'apporte vraiment l'univers LEGO.
Wingardium bouffe du Leviosa !
Niveau gameplay, on retrouve bien sur les bases des jeux LEGO, la coopération entre personnages pour résoudres des énigmes - si ont peut les qualifier d'énigmes -, les construction, les phases de jeu réservés à certains personnages, etc, etc... Rien ne change mise à part que l'on déplace les objets en lévitation avec le fameux sort Wingardium Leviosa !
Et la...c'est le drame ! Ou plutot, le truc chiant du jeu... on se retrouve à lancer des Wingardium Leviosa pendant les 3 quarts du jeu. Pour des choses que l'on pourrait largement faire sans recourir à ce sortilège, par exemple porter une torche.
Nouvelle apparition dans le gameplay de LEGO Harry Potter, on peut viser ! Oui vous savez bien lire, on peut viser. En exercant une pression constante sur le bouton qui sert à lancer les sorts, un petit - enfin, assez large - réticule apparait et vous permet de cibler les objets désirés. Désirés ? Ou pas ! Une nouveauté qui aurait pu être superbement utile - et qui l'est ! - mais qui a malheureusement un défaut. En effet, si vous avez le malheur de passer le viseur
sur un de vos copains magiciens, il sera automatiquement ciblé. Bon Dieu que c'est intelligent et utile de lancer un Petrificus Totalus sur un copain, ou de lui faire pousser des fleurs sur la tête... Certes, cela n'est pas vraiment embétant, peut être même à certains instants cela peut s'avérer plutôt marrant, mais arrivé un certain moment du jeu, ralentir à chaque visée parce que le copain est en train de faire la limace par terre, ça en devient carrément chiant.
En parlant de copain, ce nouveau LEGO dispose - enfin ? - d'un écran scindé ! Grande nouvelle, car dans les précdents opus, s'éloigner de son camarade pouvait entrainer une énorme frustation suivit d'un bug de réapparition qui nous faisait réapparaitre dans le vide... Vraiment un très bon point pour ce jeu, qui améliore de beaucoup la qualité de la coopération en local. C'est donc un vrai plaisir de jouer à 2 à Harry Potter et de pouvoir aller à l'opposé de son partenaire sans le faire réapparaitre dans le vide. On se demandait ce qu'ils attendaient avant d'ajouter ce fameux scindé, eh bien c'est fait ! Bravo TT Games...
Une nouveautée de plus, Poudlard ! Rappelez vous dans Indiana Jones le Barnett College, ou bien dans Batman la Batcave. Eh bien cette fois ci c'est une tout autre chose. Dans Poudlard se trouve des Briques Dorées, des personnages, etc, etc... Mais ce n'est pas Poudlard mais le Chaudron Baveur qui sert de transition entre le choix des niveaux, achat de personnages, de sorts... Poudlard est simplement une sorte de niveau bonus ou l'on apprend des sorts et ou se déroule certains niveau du jeu. C'est assez complexe d'expliquer ce qu'est vraiment Poudlard dans le jeu, mais c'est vraiment une bonne idée et c'est une sacrée nouveautée.
La plus belle, la plus grosse et la plus forte ! C'est ma baguette !
Comme tout les jeux LEGO, Harry Potter ne faillit pas à la règle des doublages. Aucune paroles, les personnages s'expriment par recour aux honomatoppés. On ne va pas refaire les jeux LEGO, le fait qu'il n'y ai pas de paroles est à la fois un manque mais peut être aussi un bon point. Personnalement j'ai du mal à m'imaginer la voix de Dumbledore en LEGO... Ensuite niveau bande son, c'est plutôt correct, à plusieurs moments du jeu on à l'occasion de retrouver LA musique des films Harry Potter - intitulée Hedwig's Theme - jouée par différents instruments ce qui n'est pas trop mal. Bien entendu, toute les musiques présentes dans le jeu sont tirées des films.
Que dire du scénario d'un jeu se basant sur l'un des meilleurs films jamais réalisés, qui est l'adaptation cinématographique de la série de livres qui c'est le plus vendu dans le monde ? Tout simplement que c'est énorme, c'est vrai que LEGO n'ajoute rien en plus mis à part les parodies qui sont, je vous l'assure, souvent hilarantes. Sinon, le jeu reprend bien les films mis a part peut-être certaines séquences. Je pense au Quidditch, il y a 2 niveau sur 24 avec du Quidditch mais ce n'est même pas notre rôle de jouer. On doit juste aider Harry, qui est en galère sur son balai ! C'est pour moi, ainsi que pour grands nombres de joueurs, une déception de ne pas pouvoir participer à des parties de Quidditch, même si le vol sur balai est quant à lui présent dans le jeu.
Harry Potter aime votre Statut.
Au final, on retiendra de ce LEGO Harry Potter: Années 1 à 4 que c'est un jeu qui vaut son prix à la sortie - 50€ - et qui ravira les fans de la série Harry Potter, mais pas que ! Il s'adresse à tout les âges et nous fait revivre avec humour les passages les plus cultes de la licence. Quelques nouveautés dans le gameplay, mais pas suffisant, ils ont trouvé une bonne choses - wingardium leviosa - mais on voulu en montrer trop et ça en devient malheureusement lassant. Nouveautée aussi, l'écran scindé en coopération offline, qui améliore grandement la fluidité du jeu et enlève cette sensation de frustration qui nous habitait dans les précédents opus. Ou encore Poudlard, qui est une très bonne trouvaille et qui est très vaste, donc pas mal d'heures vous seront nécessaire pour trouver tous les secrets que renferme l'école.On regrettera les phases de Quidditch, qui sont, et c'est regrettable, absente. Plus d'une centaine de personnages différents jouables en mode Histoire et Jeu Libre. Pour finir le jeu à 100%, cela vous prendra un minimum de 20 heures, ce qui n'est pas négligeable pour un jeu ne possédant pas le mode online. Ce jeu est largement à la hauteur de l'attente des joueurs.
J'aime:
+ L'univers Harry Potter
+ La musique des films
+ Le prix
+ Les nouveautées
+ L'humour du jeu
J'aime moins:
- Wingardium, Wingardium et encore du Wingardium
- Pas de séquence de Quidditch
- Même défauts que les précédents LEGO
Il aura fallu 6 ans, 6 ans pour que la suite dite spirituelle de Red Dead Revolver se retrouve dans nos consoles. Le jeu qui devrait révolutionner le jeu à monde ouvert - les GTA-likes - est il enfin la ? Dévellopé par RockStar San Diego, ce fameux Red Dead Redemption aura fait parlé de lui déjà bien avant sa sortie: affiches publicitaires placardées dans les rues des plus grandes villes, publicitées TV et cinéma, etc, etc... Mais ce jeu-phénomène mérite t-il que l'on s'y attarde ?
" My name is Marston, John Marston..."
Vous voila lancé dans l'univers mythique de Red Dead Redemption, vous incarnez John Marston. Un ancien hors la loi qui veut à tous prix retrouver ces ex frères d'armes et leurs faire payer le prix fort. Mais ça ne va pas être si facile que ça et Marston devra faire face à des centaines de truands tous n'ayant qu'un seul objectif: Arréter par tous les moyens Marston !
D'emblais apparait le gros points fort du jeu, le héros lui même. Que dire de ce héros, ancien fugitif ? Eh bien tout simplement que John Marston est la classe incarnée ! C'est le héros idéal, il manie avec brio le couteau, les fusils, les revolvers, le lasso, la dynamite, et le sang froid...
Sang froid ? Egalement appelé Dead Eye - en anglais bien sur-, c'est la faculté spéciale de John Marston, le petit plus de ce héros qui nous fait sourire dès les premiers coups de joystick que l'on donne pour faire avancer ce Cow Boy ! Eh oui Marston peut ralentir le temps, cibler les parties du corps sur lesquels il veut tirer et BADABOUM ! Killing Spreeeeeeeee !
Certes, ont peut se demander ce que ce Sang Froid fait dans un jeu Western de la carrure de celui de Red Dead Redemption, qui pourrait baisser la difficultée - bien que celle-ci soit très peu élevée et que l'on meurt très peu de fois dans le mode Histoire- et gacher le plaisir de certains. Même si ce n'est bien sur pas une obligation d'utiliser le Sans Froid, vous n'aurez pas d'autres choix lors des défis...
Parce que un John Marston sans son revolver, c'est comme un jedi sans son sabre laser...
Si on devait décrire l'univers de Red Dead Redemption en un mot, cela serait tout simplement impossible. Mais en plusieurs, cela donnerait ceci: Unique, Gigantesque, Extraordinaire, Jamais vu ...
La map de Red Dead Redemption est tout simplement gigantesque, largement plus grande que celle de son frère GTA IV, ce qui rend le jeu unique en son genre et pas près d'être égalé.
Tout est étonnement bien réalisé, les personnages sont tous vétus différemment d'habits de l'époque et on peut même des fois être surpris de regarder l'IA faire, en se promenant dans la ville.
Ce qui est bien dans Red Dead Redemption, c'est que l'on ne s'ennuie jamais. On peut aller chasser des grizzlys à Tall Trees, puis dans la même journée aller au Mexique jouer au Poker. Tout est bien pensé pour que le joueur, même une fois le jeu finit à 100%, ne s'ennuie pas et puisse continuer à prendre du plaisir à chasser les dizaines d'espèces différentes présentes dans le jeu, faire des défis, jouer au poker ou blackjack ou même encore au jeu du couteau, dresser des cheveaux, nettoyer des repaires de gangs... Les possibilités de jeu dans Red Dead Redemption sont énormes et magistralement mises en scènes. Mais bien sur vous finirez par vous ennuyer tôt ou tard, et le multijoueur sera donc la pour vous...
C'est toujours mieux à plusieurs, quoi que ...
Red Dead Redemption continue les bonnes impressions avec le Mode Exploration. Dans ce mode vous retrouvez toute la carte du Mode Histoire, entièrement naviguable et en ligne bien sur. A vous les parties de chasses, de poker, les quêtes entre amis ! Ah bien non... le mode exploration c'est seulement pour se tuer entre amis, tuer les prostituées du coin qui n'avaient absolument rien demandées ou bien mettre un bordel monstre dans les petites banlieues. Certes, ca suffit amplement mais on aurait aimés pouvoir dépecer nos victimes de chasse, jouer au poker entre amis, ou bien encore faire des missions en coop en ligne - même si l'extension "Outlaws To The end" propose gratuitement 6 missions en coop -, eh bien non, ceci n'est pas présent sur le jeu original.
Venons en ensuite aux parties publiques, carrément décevantes... Il n'y a que très peu de mode de parties et celle-ci auront vite fait de vous faire abandonner le mode "Parties Publiques" et retourner au Mode Exploration. Heureusement que l'exploration est la pour relever le niveau du multijoueur car sinon ca aurait était carrément catastrophique et bon nombre de joueurs auraient pestés.
Fermes les yeux, et laisse toi faire.
Passons à présent au gameplay, gameplay assez riche qui ne reprend que quelques phases de GTA IV, notamment le système de couverture. Le choix des armes est assez vaste -comme indiqué plus haut - et celles ci sont très fidèles aux modèles de l'époque, bien entendu, comme tout le jeu. Il dispose également de 3 modes de visée - facile, normal et Expert - qui vise plus ou moins automatiquement l'ennemi. A noter, petit détail, mais qui risque d'en éverver quelques un, il arrive de mettre un certain temps avant de passer une porte ou monter des escaliers. En effet le Marston ne sait pas, ou presque, tourner sur lui même et donc il doit faire des petits cercles, ce qui devient vite énervant.
Gameplay assez riche donc, ensuite au niveau de la diversitée des missions, c'est plus ou moins variés. On va passer d'une pure scène de shoot à une course de charette ou encore à ramener un troupeau de vache dans leurs enclos. Bon point donc, sauf que nous entamons toujours les niveaux d'escorte de vaches avec une peur au ventre, les bandits ne sont jamais loin et les vaches sont bêtes comme... des vaches !
Ah ce Marston, quel pitre !
En résumé, ce Red Dead Redemption à su reprendre les bases de son frère/cousin GTA IV sans trop copier et avec génie. Ce GTA style western est sans conteste LA référence du jeu à monde ouvert et sans doute le jeu de l'année 2010. Avec une durée de vie du scénario approchant les 20 heures mais une difficultée bien basse rendu plus facile avec le sang Froid et un mode multijoueur jamais vu, RDR révolutionne les jeux vidéo en tout genre. Ce jeu western s'offre par ailleurs une bande sonore carrément parfaite, les doublages sont très bien réalisés - bien que, comme les GTA il n'y ai pas de doublages francais -, la soundtrack qui donne envie de se mettre au Country, les bruitages etc, etc... Tout est extrèmement bien coordonnés et réalisés. Petite déceptions peut être au niveau des parties multijoueur, le mode exploration sert de compensation. Puis on pourra aussi remarquer des dizaines et des dizaines de "bugs" dans le jeu, bien que peu embètant - souvent hilarant - cela reste des "bugs". Ce jeu s'adresse à un public mature, ceux qui aiment l'univers western serons ravis de parcourir les vastes plaines des Etats Unis sur leurs Demi Sang Hongrois, tandis que ceux ne connaissant pas ou bien n'appréciant pas, seront enchantés de découvrir à travers Red Dead Redemption ce monde emblématique d'une époque qui n'est plus.
Merci Rockstar pour ce chef d'oeuvre vidéoludique.
J'aime :
+ Le réalisme de l'univers Western
+ John Marston
+ La fin
+ Jeu bien varié
+ Mode exploration
+ Bande Son
+ La diversitée de l'environnement et de
la faune
J'aime moins :
- Durée de vie du scénario
- Parties multijoueur
- Un peu trop facile
Le studio finlandais Remedy (studio à l'origine du très fameux Max Payne), nous fait saliver depuis près de 5 ans avec Alan Wake en nous dévoilant les infos au compte-gouttes. Alan Wake se distinguerait des autres survival horror par son scénario poussé et inspiré d'un Twin Peaks à la sauce Stephen King. Ce thriller psychologique à la troisième personne est il à la hauteur de nos espérances ?
Shérif fais moi peur !
Une fois le jeu lancé, nous y voila...dans cette dite "ambiance psychologique" représenté pour l'instant par un phare des plus banal qu'il soit, entouré d'une épaisse brume qui laisse apercevoir au loin une ville, Bright Falls. Rappelons l'histoire, Alan Wake, écrivain à succès et victime de la maladie de la page blanche, part en vacances avec sa femme Alice dans une petite ville, calme du nom de Bright Falls. Mais dès leurs premières nuit, Alice va disparaitre et Alan partir à sa recherche tout en tentant de ce rappeler ce qu'il à fait la semaine suivant la disparition de sa femme. Car celui-ci à soudainement perdu la mémoire... C'est alors que nous allons découvrir que Bright Falls n'est pas si paisible que ça...
L'écrivain en série TV.
Le jeu est composéde six épisodes, avant chaque nouvel épisodes, le joueur a droit à un bref résumé des évènements précédents l'épisode. C'est alors que nous nous rendons compte que les doublages français sont d'une qualité remarquable ainsi que les soundtracks.
Remedy a fait un travail incroyable au niveau des jeux d'ombres et lumière, c'est impressionnant de voir à quel point c'est travaillé et que d'allumer des feux à mains rend bien et fais plaisir à voir.
Alan Wake, alias Rambo...Ou pas ?
Passons maintenant au gameplay !
Que dire, que dire sur le gameplay et la maniabilité d'un écrivain pressé de retrouver sa femme et de connaitre la raison de sa disparition ? Eh bien tout simplement que c'est plus que satisfaisant... Bien que certains diront le contraire, ce gameplay la suffit amplement. Comme indiqué plus haut, il s'agit d'un thriller psychologique. Le joueur va donc se sentir opresser rien qu'en se rendant à son objectif, même si il n'y a pas d'ennemis à l'écran ni aux alentours. Alors le joueur va vouloir se dépecher, il va se mettre à faire courir le petit Alan dans sa veste en tweed et la... 10 secondes de course et c'est l'essouflement général ! On devra attendre avant de pouvoir courir à nouveau que le sportif en herbe ai repris des forces.
Venons en maintenant au choix des armes, il y a en tout un peu moins d'une dizaine d'arme à porter incluant les grenades et feu à main. Certes c'est peu, mais rappelons qu'Alan Wake n'est pas censé faire la Guerre Mondiale mais ce battre contre des ombres... Donc ce choix d'armes est largement acceptables. Mais il vous arrivera d'utiliser, lors de courtes séquences, des gros projecteurs qui réduiront à néant un possédé en un rien de temps.
La bête noire d'Alan.
Ne perdons pas de temps, venons en directement aux points faibles du jeu, les défaults. Car oui Mesdames et Messieurs qui attendez Alan Wake comme le renouveau des jeux sur consoles HD, eh bien oui, il y a quelques défaults. Tout d'abord le jeu est très très linéaires. Certes certains me diront: "Tout les jeux sont plus ou moins linéaires" C'est vrai, mais plus particulièrement pour Alan Wake car 75% du temps, Alan fais le fou en forêt, revient 5 minutes en ville puis repart en randonnée dans les bois. Après il n'y a pas que ça non plus, il y a quelques petites scènes de plateformes qui font carrément plaisir, aussi courtes soient elles.
Concernant la linéarité, le jeu dispose d'un bestiaire très restreint et cripté au plus haut point...
En effet il n'existe que quelques espèces différentes de possédés. Donc en ajoutant tout cela on pourraient sentir un effet de répétition qui nous ferais peut être mettre le jeu de côté pour passer sur un autre. Venons en donc à la durée de vie...
Sacrément coriace le Wake ?
Ne nous voilons pas la face, la durée de vie réel du jeu n'est pas celle à laquelle Matias Myllyrinne, le managing directeur d'Alan Wake avait fait référence. En effet, il aurait avancé qu'il fallait 3 fois plus de temps pour finir Alan Wake, qu'il en fallait pour terminer Max Payne 2, qui ne dépassait pas les 10 heures. On approcherait donc les 30 heures... Mais non, loin de la, en jouant calmement, en prenant notre temps pour profiter pleinement du jeu, ramasser les collectibles, j'ai pour ma part mis près de 10 heures. Je ne remet bien sur pas en cause les talents de gamer de Myllyrinne, mais c'est à se poser des questions...
Honnêtement, on aurait pu s'attendre à mieux en 5 ans de dévellopement niveau durée de vie. Le jeu puisera donc ces qualités autres part...
Mystère et boule de gomme...
Gros point fort du jeu, les personnages. Allant de Alan, le héro, aux papies Rock, en passant par la serveuse hystérique ou encore par le gérant de la radio amateur de Bright Falls, chaque personnage est unique en son genre et on sent qu'il se cache quelque chose derrière leurs histoires, à tous.
Concernant Alan, c'est un personnage qui a énormément de charisme, on s'attache à lui et on demande à en savoir plus sur cet écrivain désespéré par ce qu'il doit vivre et qui va lutter pour retrouver l'amour de sa vie...
"Alan, réveille toi !"
En résumé, Remedy ne nous a pas déçu avec ce jeu tout simplement unique en son genre et réussit, même si on se serait attendu à mieux étant donné que le jeu était en dévellopement pendant 5 ans et qu'il a dut subir à maintes reprises des reports. Comparé à cela, les graphismes sont tout simplement sublime, mis à part les animations faciales complètement gachées, seul Alan est réussit facialement parlant. Les effets de lumières, d'ombres sont extrèmement bien réussies. Petit bémol peut être au niveau de la durée de vie, même si une fois le jeu finit la première fois on débloque un nouveau mode de difficulté qui pourra en satisfaire quelques un bien qu'elle ne sois pas très élevée.
Alan Wake se distingue par son scénario très poussé et bien ficellé. Bien que celui-ci ne soit pas le jeu de l'année 2010, il reste bien entendu un jeu que tout bon gamer se doit de posséder.
J'aime:
+ Le scénario
+ Les effets spéciaux
+ Paysages sublimes
+ Mystère des personnages
secondaires
+ Unique en son genre
+ Ambiance réussit...
J'aime moins:
-...malgrè la linéarité du jeu
- Animations faciales loupées
- Durée de vie