Tests membre Prey - Xbox 360

XBOX GAMER
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Prey



Editeur
2K Games
Développeur
Venom Games
Genre
FPS
Statut
Disponible
Date de sortie
  13.07.2006
  11.07.2006
  13.12.2006
Nombre de joueurs
1 à 8
Online
- Contenus
- Jeu en ligne
- Classements
Classification PEGI
Résolutions gérées
720p, 1080i
Son
5.1
Prix de lancement
65,00 €
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Eneba.com

VeNoM
Publié le 04/08/2007 à 19:50
12/20
   
Apres une discussion avec votre fiancé sur vos valeurs Indienne, d'un coup tout se coupe, tout tremble, oui en effet, les extra-terrestres attaquent, et c'est en arrachant le toit du bar où vous vous trouvez que votre fiancé, votre grand-père et vous même êtes enlevés par un halo de lumière...
Une fois a l'intérieur, vous êtes attaché, impossible de bouger, vous êtes comme condamné à être acheminé tel du bétail dans les long réseaux du vaisseau spatial qui vous a happé.
Par chance vous serez libéré e votre aventure aura pour but de vous "tiré de cet endroit" avec votre fiancé, en bon "bad-guy, héros malgré lui" que vous êtes !


L'histoire semble pas mal, et le jeu en lui même qu'en est-il ?
Les graphismes sont corrects mais pèchent par de petits défauts, comme le décalage entre les personnages et le décor. Autant le décor s'avère sublime, les personnages, eux, semblent tout juste passables !
Les effets de lumières et autres quant à eux sont correct mais rien d'exceptionnel à remarquer.

L'originalité sur laquelle veut reposer Prey est celle de sont environnement, ce vaisseau plus nique que mécanique, qui nous propose des choses jusqu'alors inédit dans le monde du jeu-vidéo.
Des passages dans des caisses qui vous emmène dans d'autre endroits, ou qui peuvent vous faire perdre la tête; ainsi que des murs qui cassent les règle de la gravité et vous permettent de marcher sur eux, la tête en bas ou même sur les coté. Quand plusieurs ennemis arrivent au sol et que vous êtes la tête en l'air, inutile de vous dire à quel point les fusillades peuvent devenir...vertigineuse!
Vient ensuite un armement exclusivement organique qui apporte son originalité, bien que son petit nombre et en somme leur faible capacité en munition frustre quelque peu le joueur bourrin.
Pour finir Prey s'adonne a des phases de gameplay dans un vaisseau spatial dont la maniabilité est tordue et le gameplay de ses phases, répétitive et lassante.

Dommage en effet que Prey devienne accrocheur lors de ces six derniers niveaux !
disak
Publié le 22/05/2007 à 21:27
15/20
   
Prey, c'est avant toute chose un démarrage en fanfare qui vous arrache à votre petite vie quotidienne, comme il le fait avec son héros, Tommy, indien cherokee, mécano de profession qui ne rêve que de quitter la réserve dans laquelle il vit en compagnie de son grand-père Enassi et de la fille de son coeur, Jen. En tout cas jusqu'à cette nuit d'horreur durant laquelle une bande d'extraterrestres impolis décident d'attaquer la Terre et d'aspirer par kilomètres des morceaux de ville qu'ils téléportent à bord de leur gigantesque vaisseau spatial (la Sphère). Parcelles d'humanité au nombre desquelles figure le bar où se trouvait cette petite compagnie et dont le juke-box n'aura même pas le temps de terminer le morceau "You Got Another Thing Coming" avant qu'il ne soit trop tard. A vous de retrouver et de sauver la jeune Jen et de comprendre dans quoi vous avez mis les pattes. Nous voici donc projetés dans un environnement étrange, horriblement malsain, fait de métal et de matière organique, un vaisseau plus ou moins vivant à bord duquel on trouve des armes qui paraissent respirer quand elles ne se mettent pas carrément à nous regarder en pointant vers nous un pédoncule terminé par un globe oculaire. Ce qui sera la moindre des surprises.

Tirer au plafond, c'est perturbant... à moins que ce ne soit le sol ça.Allez, dégrossissons le trait avec quelques mots : FPS, linéaire, sans cinématiques, combats, exploration et énigmes, originalité et idées déconcertantes. De quoi vous donner une idée de ce qui vous attend dans les prochaines lignes. La vraie grande force de Prey réside clairement dans son level design et son ambiance. Inutile de s'attarder trop longtemps sur les décors qui mélangent des parties métalliques aux relents industriels à des sortes d'organes vivants, donnant le sentiment que l'on évolue dans une sorte d'immense estomac cybernétique conçu pour avaler et digérer toutes sortes de... choses. La taille compte ici tant on va de surprise en surprise, étonné de voir ce que nos nouveaux copains aliens sont capables d'attirer dans leurs griffes. Ce simple fait suffit déjà à rendre l'exploration jubilatoire, du moins pour un temps, car l'effet de surprise, ça ne dure pas. Mais bien sûr, le level design de Prey a su se faire désirer pour deux autres raisons : sa gestion de la gravité et ses portails dimensionnels. Pas trop d'affolement ceci dit, malgré la présence de ces deux excellents artifices, le jeu est tout ce qu'il y a de plus linéaire, aimant d'ailleurs à nous faire stagner entre deux portes et autant de combats le temps que l'on résolve une énigme souvent stupide (parfois à tel point que l'on reste coincé pour rien).

Les décors fais de métal et de matière organique offrent parfois un étrange spéctacle.Néanmoins difficile de ne pas apprécier la façon dont la progression dans le jeu est affectée par ces principes. Les rails anti-gravité qui nous font grimper aux murs et plafonds, ou les interrupteurs qui inversent la pesanteur (nous faisant tomber dans tous les sens) sont régulièrement mis à contribution afin de compliquer notre avancée tortueuse, chamboulant totalement nos vieux repères. Passer du haut au bas, du haut aux côtés a de quoi dérouter et le simple fait de faire feu sur des ennemis qui ont la tête en bas est suffisamment original pour être divertissant à souhait. Et il va de soi que l'on aura droit à de nombreux puzzles en rapport avec ces rampes et interrupteurs.

L'effet des portails est fort bien rendu.Quant aux portails, idem, en faire usage est tout ce qu'il y a de plus amusant. Il faut avouer que voir ces cercles ou ces portes qui ne donnent sur rien tant qu'on ne les regarde pas dans le bons sens est un pas dans la construction d'un univers SF interactif, et on ne se lasse pas d'en faire le tour et de jouer avec ces passages qui semblent n'aller nulle part. Seul défaut regrettable, on ne contrôle absolument rien ici, la progression étant linéaire en diable, ce qui, en termes de gameplay, relègue l'idée à une porte, une porte tout ce qu'il y a de plus classe certes, mais une porte quand même. N'empêche, l'idée permet de glisser des entrées et sorties dans les lieux les plus saugrenus, ce qui suffit à modifier les habitudes et à remuer un peu les codes du level design, tout en s'imposant comme un élément d'ambiance efficace et véritablement spectaculaire à observer puisque l'on voit à travers ces portails ce qui se passe de l'autre côté, tout en ne voyant que ce qu'il se passe "ici" si l'on porte les yeux sur le bord.

Une (trop) grosse partie du jeu réside dans des énigmes à base de gravité.La troisième touche "en plus" est votre capacité à projeter votre esprit hors de votre corps. L'usage premier de la chose étant de pouvoir passer à travers les champs de force bloquant fréquemment le passage, ou bien d'emprunter des passerelles spirituelles, enfin dans un cas comme dans l'autre, le but est de vous permettre d'atteindre un bouton quelconque grâce auquel vous pourrez débloquer votre corps de chair et poursuivre l'avancée. Prey comporte ainsi une grande quantité d'énigmes et de puzzles, malheureusement trop simplistes et tout juste du niveau de ce que l'on a vu dans Half-Life 2, dans un style différent bien sûr. Très peu variées, ces embûches souffrent clairement de leur redondance. L'autre apport de ce corps astral est une tentative d'innovation de Human Head, la possibilité de gagner le monde des esprits lorsque vous mourez. Armé de votre arc, vous aurez un temps limité dans une arène pour capturer des âmes valant autant de points de santé acquis lors de votre retour à la vie. De fait, on ne meurt jamais dans Prey, ce afin d'éviter la frustration du game over. L'idée est bonne, du moins l'intention, et parfois même salutaire pendant les combats contre de gros boss. Seulement voilà, des quicks saves infinies, une impossibilité totale de mourir et un mode hard accessible seulement après avoir fini le jeu (?!) la déduction est simple : Prey est facile, trop facile. Jamais on ne se soucie vraiment de mourir, puisque de toutes façons, on ne peut pas. Et fatalement, la durée de vie s'en ressent, car en sus d'être simple, Prey n'est pas particulièrement long n'excédant pas la dizaine d'heures de jeu, moins pour les joueurs les plus aguerris (ou les moins prompts à rester bloqués pour un détail idiot passé inaperçu).

Ah oui, quand même, y rigolent pas les aliens.Tout un chacun aura donc noté que nous sommes ici passés à l'énoncé des défauts du titre. Un chapitre dans lequel on regrettera que malgré sa grande qualité, le design du jeu souffre d'un sérieux manque de diversité, selon le sacro-saint principe de l'unité de lieu, on observe bien peu de changements esthétiques d'un bout à l'autre de la Sphère. Il en va de même pour les ennemis, peu nombreux, à la fois sur le plan du type d'adversaires que du nombre simultané d'ennemis affrontés dans une scène de combat. Ceci étant, certains nous opposent une résistance farouche, soit par une IA suffisante pour qu'ils soient capables de sa mettre à couvert ou de se replier, soit par une taille et une agressivité conséquentes. Enfin, il est assez dommage que l'intrigue s'étiole finalement très vite dans le jeu, au profit d'une action qui s'emballe crescendo vers la fin à travers quelques combats aux relents épiques.

Votre corps astral vous permet de franchir les champs de force.Et c'est avec le mode multijoueur que nous poursuivons, un mode bridé qui ne contient qu'un deathmatch et un team deathmatch, tous deux limités à 8 joueurs pour un total de 6 cartes. Même si les particularités du mode solo (anti-gravité, portails et esprit) sont présentes, il est clair qu'avec un multijoueur aussi étriqué, cette section du jeu fait long feu, en dépit de maps bien construites, une fois la surprise passée, on retombe vite sur nos pieds. Dommage. En vérité, on réalise vite que Prey est finalement un jeu ultra classique dans le fond, mais que Human Head a su lui donner une forme diablement originale, inhabituelle, qui fait sa véritable force et tout son intérêt. L'univers créé pour le jeu, la Sphère, est une source de surprises régulières, de drôles de choses s'y produisent, des choses parfois spectaculaires et qui font passer les autres FPS hollywoodiens pour des films à petits budgets et c'est plus par un capital séduction que Prey nous attire que par un gameplay totalement révolutionnaire.

Killing_Pete
Publié le 13/04/2007 à 13:10
13/20
   
Un FPS assez original, à l'ambiance particulière (un peu à la War of the Worlds) même si les graphismes ne sont pas merveilleux (il s'agit d'un jeu pas si récent que ça donc bon...) ils tiennent la route et sont suffisants pour se plonger dans le scénario et l'envie de sauver la jolie girlfriend en détresse :)
Le Gameplay est plus que correct, et les passages "AntiG" sur les rails prévus à cet effet apportent au jeu un côté innonvant pas déplaisant du tout.
Certes les décors sont vraiment répétitifs (on est sur un vaisseau et on s'en rappelle tout le long car on ne le quitte jamais, si ce n'est lors de visions nous permettant de communiquer avec GrandPa mais alors les textures des rochers sont vraiment pas jojo et on a hâte de revenir dans le monde réel...
Le côté "Monde Astral" dans lequel on se plonge pour pouvoir passer des obstacles du monde concret est plutôt sympa, et permet de renouveler un peu le gameplay qui serait tout de même un peu trop classique sans cela.
Au final un jeu qui ne laissera pas sa marque dans les Hall of Fame des meilleurs softs, mais qui se laisse jouer. A acheter d'occaz pour les inconditionnels des FPS fans de la guerre des mondes...
STM Don 7alcone
Publié le 14/03/2007 à 06:45
13/20
   
Un peu plus Prey des étoiles ? Ca aurait pu bien sonner comme résumé de test à ce jeu qui est arrivé entre mes mains, par hasard mais surtout sur un coup gagnant en affaires. Oui, je l'avoue, je l'ai acheté d'occasion mais neuf. Le gars le bradait et je me suis dit, les indiens et les Corses, ça a une longue histoire en commun, non ? Toujours est-il que je me suis demandé jusqu'à l'arrivée de la boite ce que j'allais bien pouvoir dans ce jeu et si, ce dernier allait pouvoir me donner entière satisfaction. Je réponds de suite non. Puisque la mauvaise nouvelle est tombée, commençons par le désagréable. 2K Games, à mon avis, ils ont dû rater un épisode sur comment développer un jeu en multijoueur online. En effectuant seulement deux parties, je me suis crû à un Show-up du Lag... Pour viser un adversaire, aurait-il fallu que ma grand-mère atteinte de Parkinson prenne les commandes que moi-même essayant tant bien que mal à tirer là ou ça fait mal... Vous l'aurez compris, je crois que Prey connaît quelques soucis de ce côté-là. Par contre, j'ai été conquis par la campagne mais surtout les effets visuels, l'univers présenté et celui que je vais vivre au cours des 44 épisodes, 22 en difficulté normal et Cherokee. Qui ne sera pas étonné de prendre les fameuses rampes d'accession à un niveau différent en se demandant si son repas ne va pas, lui aussi revenir, du même coup ? Qui ne va pas s'interroger en toute honnêteté sur le pour ou le contre de l'abbrevation des souffrrances de son prochain ? Qui ? Je vous le dis en mille, ce ne sera pas Bibi... En résumé, Prey est plus, de mon point de vue, un jeu fait pour la campagne que pour le multijoueur ce qui change finalement mais, peut-être en serez-vous autrement convaincu de votre côté... Du mien, j'irais arpenter les sombres allées d'un je ne sais quoi de vaisseau E.T venu s'amuser dans l'Oklahoma, Sweet home Oklahoma enfin, pas trop pour Tommy...
Spartan 117
Publié le 30/08/2006 à 18:57
17/20
   
Ce jeu est un F.P.S. très orginal qui est bourrins mais pas besoins de tirer longtemps sur les ennemies,arme destructrice et aussi impressionnantes.Le changement de graviter est très marrant et original.

Les points negatifs de ce jeu est qu'on ce perd un peu beaucoup,les producteur un peu forcés sur les changement de gravitation et aussi sur les sortit d'âmes.Les boss souvent difficiles car il faut être assez malin tripoter plein de boutons.

Maitenant les points positifs : le changement de gravitation est original mais les producteurs en ont abuser,quand on meurt,on est pas mort.Le jeu d'esprit qui sort et qui rentre est marrant mais la encore les producteur en abusé.beaucoup de truc peuvent être bouger.Les vehicules sont marrant.

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