Test - Outriders - Xbox Gamer - Toute l'actualité Xbox Series X|S et Xbox One

Se connecter  -  S'inscrire 
 
 



Editeur
Square Enix
Développeur
People Can Fly
Genre
Jeu de tir à la première personne
Statut
Disponible
Date de sortie
  31.03.2021
Nombre de joueurs
1
Prix de lancement
69,99 €
Acheter ce jeu sur
Eneba.com

Test - Outriders - Xbox Gamer - Toute l'actualité Xbox Series X|S et Xbox OneOutriders est disponible depuis quelques jours sur toutes les consoles (sauf sur Switch), et dans le Xbox Game Pass pour les consoles Xbox. Si vous vous souvenez avec un brin de nostalgie du grain de folie de Bullestorm, le titre de People Can Fly sorti durant l’ère Xbox 360/PS3, vous pouvez l’oublier. Le studio revient en effet à plus de classicisme avec Outriders. Reste à voir si l’ensemble est cohérent, bien réalisé, intéressant à jouer et si le titre tient sur la durée. Pour l’information, le jeu a été testé sur une Xbox One, en solo et en coopération.

Une histoire pas OUT du coup

La Terre est devenue par certaines actions de l’homme inapte à la vie de l’humanité. Une expédition via un vaisseau spatial appelé le Flores est prévue en direction d’une planète qui pourrait accueillir la vie, Enoch. Après une introduction bien amenée, le joueur se rend vite compte que la vie est plus compliquée que prévu sur cette planète. Devenu un Altéré, c’est-à-dire avec des capacités spéciales (qui varient en fonction de sa classe, nous en reparlerons), le joueur est amené à visiter de nombreux endroits afin de trouver un signal, dans un environnement dangereux. La planète Enoch n’est en effet pas vraiment accueillante puisqu’en plus du bestiaire de monstres varié et des ennemis humains en nombre, des tempêtes sont légion et une guerre a éclaté entre l’ECA (Enoch Colonization Authority, l’organisme qui a organisé ce voyage spatio-temporel) et les Insurgés, les laissés pour compte de la première expédition. En bref, le décor est planté. Le joueur va prendre part à la guerre entre les Insurgés et l’ECA. Et contrairement à ce que l’on pense, la vision du titre n’est pas forcément manichéenne, l’histoire se laissant clairement suivre. La palette de personnages est intéressante, mention spéciale pour Seth, Jakub ou encore August, et pour une fois, il est très plaisant d’avoir un personnage principal personnalisable – sexe, visage, corps - (le joueur) qui parle. C’est assez peu souvent le cas dans ce type de shooter looter. Bien sûr, certaines ficelles du scénario sont visibles, mais nous avions hâte de découvrir ce qu’il se passe sur la planète, d’autant que le titre reste suffisamment vague pour laisser la place à une suite, tout en apportant son lot de réponses. Certains dialogues sont parfois inintéressants mais globalement l’ensemble nous a plu.

Le premier mot qui vient à l’esprit quand on évoque l’ambiance d’Outriders, nous le soulevons dans l’introduction, c’est l’absence de ce grain de folie de People Can Fly, qui avait proposé un Bullestorm bourrin, nerveux et très fun à jouer. Fort heureusement, si Outriders est plus classique, un peu moins « foufou », l’ensemble est nerveux et fun à jouer. Le plaisir de jeu est plutôt immédiat. Le titre propose un très joli bestiaire avec des monstres de toutes tailles (mention spéciale au boss énorme de milieu de jeu que nous vous laissons le soin de découvrir) aux pouvoirs variés, crachant du poison, ou des humains un peu moins variés physiquement mais qui se diversifient avec des Capitaines surpuissants ayant aussi des pouvoirs, des boucliers. Certains combats de boss sont plaisants et même si, en niveau élevé, l’effet sac à PV est présent, on prend toujours plaisir à comprendre leur pattern, à éviter leurs attaques.

Du contenu, en veux-tu, en voilà !

Et des pouvoirs, vous allez avoir l’occasion d’en user et d’en abuser. Séparés en quatre classes distinctes, les Outriders proposent des compétences plutôt variées qu’il est possible de débloquer en gagnant de l’expérience. Quatre classes sont disponibles : Pyromage, Illusionniste, Technomage et Telluriste. Vous aurez l’occasion de développer vos compétences (automatiquement obtenues en atteignant un certain niveau, vous devez simplement choisir quelle compétence affecter à quelle gâchette), votre classe de personnage avec un arbre assez développé qui vous demandera de choisir les points que vous affectez, au fur et à mesure que vous tuerez des ennemis, que vous accomplirez des missions principales ou des missions secondaires. La partie RPG est plutôt développée puisque Outriders reprend les mécaniques RPG avec brio. Expérience, missions annexes, classes, compétences, points à attribuer pour les aptitudes, tout y est. Et justement, il faut reconnaître que côté contenu, le joueur est plutôt gâté. Le titre propose un contenu conséquent, avec environ 12 à 15h en ligne droite sans aucun à côté (mais aucun intérêt dans un shooter looter de rusher la quête principale dont l’objectif est avant tout de récupérer du loot puissant en réalisant un maximum de missions afin d’obtenir un niveau maximum), mais surtout, une bonne quarantaine d’heures pour voir le bout de l’ensemble de l’histoire et des quêtes annexes. Ces dernières sont plutôt variées dans le concept (missions de Chasse de gros monstres surpuissants, Primes sur des capitaines eux aussi très bien armés, missions de récupération d’objets de la Terre via la série de quêtes « Un peu d’Histoires » ou encore des informations sur « L’héritage des Outriders », ainsi que de nombreuses autres missions annexes un peu moins intéressantes). Dommage que le titre soit malgré tout plutôt répétitif dans les actions. Il convient toujours d’aller « dézinguer » des ennemis, qu’ils soient humains ou monstres, afin de récupérer une clé, permettant d’avancer dans le niveau. On aurait aimé un peu de variété dans les actions, avec des séquences en véhicule ou des séquences un peu originales qui sortent du lot, un peu comme le Brumak dans un autre TPS cover… Ou des séquences qui permettent de trancher avec les nombreuses vagues d’ennemis que l’on doit affronter. C’est sans doute le style de jeu qui veut ça mais il y a sans doute moyen pour un studio comme People Can Fly de diversifier l’action… Dommage.

Loot Loot Lootttt

C’est sans oublier les Expéditions, le contenu end-game du titre, ou encore les collectibles et les incursions à réaliser qui permettent de débloquer des récompenses. Les incursions sont des défis qu’il faut réaliser afin d’obtenir des récompenses. Elles demandent globalement de tuer un certain nombre d’ennemis en utilisant chaque capacité de chaque classe ou un type d’arme. De leurs côtés, les expéditions ne sont disponibles qu’une fois l’histoire terminée (d’où le principe du end-game) et elles relancent encore un peu plus l’intérêt du titre. Le concept est simple : vous affrontez plusieurs vagues d’ennemis ainsi qu’un boss final, plutôt bienvenu car rencontré lors de l’histoire dans certains cas. Un timer est déclenché au début de l’expédition et le résultat final, ce que vous aurez en récompense, dépend de ce dernier. La médaille d’or s’obtient en un temps vraiment court, tandis que les médailles d’argent et de bronze s’obtiennent plus facilement mais restent un challenge si vous n’avez pas le bon équipement. A l’issue du boss, la capsule s’ouvre et vous lootez un certain nombre d’objets. Une fois plusieurs expéditions menées, vous augmentez le niveau des expéditions (on a donc une troisième jauge après l’expérience et le niveau de monde) et vous pourrez enfin affronter un boss « final ». Les expéditions sont assez coriaces et si le joueur abandonne, l’expédition n’est plus disponible.

Le joueur passe ainsi les niveaux au fur et à mesure de sa progression et la montée en puissance est tout bonnement jouissive. Notre personnage gagne ainsi en efficacité, en puissance et de nouvelles compétences et points de classe sont à attribuer au fur et à mesure des niveaux (de 1 à 30). Dans le même ordre d’idées, une seconde jauge est disponible, elle précise cette fois-ci le niveau de monde, c’est-à-dire la difficulté dans lequel nous évoluons. Gros point fort du titre : il nous est possible de changer à volonté ce niveau de monde. Et force est de constater que dans les niveaux les plus importants, le challenge est vraiment présent. Si au niveau Monde 1 « Histoire », c’est une véritable balade, aux niveaux 9 ou 10, c’est une autre paire de manche. Imaginez la difficulté du Monde 15, monde maximum disponible actuellement. Surtout, c’est cette jauge qui permet de débloquer de nouveaux objets plus rares, plus puissants. Outriders est bien un shooter looter et la recherche de la meilleure Build est plutôt addictive. Armes principale, secondaire, de poing, et armures (casque, corps, gants…), autant d’objets à looter dans les coffres et sur les ennemis, avec un niveau de rareté de vert (commun) à bleu (rare), jusqu’à violet (épique) puis orange (Légendaire). Au même titre que The Division, Borderlands ou encore Destiny, Outriders est plutôt bien loti de ce côté. Ce qui est fait est relativement bien fait et même si le loot légendaire est rare (et tant mieux), il reste gratifiant d’obtenir de l’équipement puissant. Il est notamment possible d’en obtenir en suivant les différentes séries de quêtes évoquées un peu plus haut.

Aussi, le titre propose d’aller un peu plus loin en débloquant des modifications d’armes, en améliorant la rareté d’une arme (jusqu’à épique maximum), ou en modifiant les capacités des armes que vous avez, le tout grâce à une gestion des ressources récoltées dans le monde. Via le minerai, sur les ennemis, en démontant les armes ou en achetant les ressources, vous aurez en effet du Titane (la ressource la plus rare du jeu), du fer, du cuir afin d’améliorer votre arsenal. Arsenal plutôt varié puisqu’en plus des pistolets, vous aurez à disposition des fusils à canon scié, fusils à pompe, mitraillettes, pistolets mitrailleurs, fusils à verrou, fusils de précision, lance-roquettes et autres joyeusetés. Et il vous faudra bien l’ensemble des compétences et arsenal à disposition afin de venir à bout du bestiaire, parfois coriace. D’autant que les ennemis évoluent eux-aussi : des « altérés » avec des pouvoirs feront leur apparition, des monstres très gros et qui font mal viendront vous donner du fil à retordre, d’autres ennemis auront un bouclier à disposition ou seront capables de se régénérer par exemple.

Le gameplay est plutôt efficace, tout comme le feeling des armes (même si le sniper est plutôt original avec des tirs en rafale possibles pour certains). On ressent bien l’impact de nos armes et la puissance de notre personnage et des dégâts sur chaque ennemi (visible à l’impact). On apprécie aussi énormément de pouvoir jouer en coopération tant il est bien plus intéressant de jouer en coop qu’en solo. Il est bien entendu possible de se ranimer lorsqu’un équipier est à terre (chaque joueur a droit à une auto-résurrection par combat). L’objectif sur les ennemis puissants est de profiter de la complémentarité des pouvoirs et des effets sur les ennemis, avec un pyromage qui va brûler ses ennemis, une autre classe qui va positionner un bouclier et attaquer par derrière l’ennemi et ajouter d’autres altérations au boss. Même s’il reste possible de jouer en coop avec la même classe et d’être efficace, la complémentarité des classes vous permet de vous en sortir dans les niveaux élevés. Dommage que le HUD soit vraiment trop chargé, avec des informations de tous les côtés de l’écran, ce qui rend parfois l’action un peu confuse lorsqu’il y a beaucoup d’ennemis, des explosions et des icônes de tous les côtés.

I believe I cannot fly sometimes!

Malheureusement, tout n’est pas rose pour Outriders. Au rayon des autres problèmes rencontrés, il est évident qu’on ne peut pas passer à côté des nombreux problèmes de finition du titre. Sur Xbox One, le titre plante/freeze régulièrement. Les serveurs sont très instables, nous avons été régulièrement déconnectés/sortis du jeu. On observe aussi du lag en coopération, des ralentissements en nombre, des bugs lors des quêtes, avec le HUD ou avec les ennemis, des bugs de collisions, des scripts qui ne s’enclenchent pas (il faut donc recommencer au dernier checkpoint). La recherche en matchmaking est assez compliquée et vous aurez finalement souvent des problèmes afin de rejoindre une partie alors qu’il y a du monde connecté et que le titre est crossplay. On note aussi des problèmes dans les cinématiques avec des bugs qui empêchent réellement d’être pris dans l’histoire dans certains cas. Nous avons par exemple eu un personnage différent de celui que nous avions personnalisé (un rouquin, avec une grosse cicatrice et de la barbe, sans boucle d’oreilles) dans les cinématiques à plusieurs reprises. Le moteur physique est par ailleurs un peu capricieux : nous sommes parfois restés bloqués dans un coin par des petits ennemis, impossible d’en sortir, ce qui a causé notre mort. La présence de murs invisibles pour définir les zones est aussi plutôt incompréhensible en 2021. La présence d’une connexion obligatoire pour un jeu coopératif est compréhensible, mais dans le cadre d’un jeu aussi jouable intégralement en solo, reste un mystère. Surtout que le retour au menu est fréquent et que le premier temps de chargement notamment (menu principal) est une horreur.

On note aussi un système de couverture pas forcément optimal puisqu’il est impossible de tirer par-dessus la protection, seulement sur les côtés. Dans le même ordre d’idées, lorsque la tête d’un ennemi dépasse, il n’est parfois pas possible de le toucher car l’ennemi est considéré comme « à couvert »… Dommage. Globalement le système de cover fonctionne plutôt bien, permet de reprendre son souffle avant de continuer à tuer les ennemis et à récupérer des PV en tuant des ennemis (selon votre classe, la technique peut être différente). Autre choix difficilement compréhensible : le système de suivi des quêtes est peu lisible. Quant à la téléportation, c’est une horreur : il faut se téléporter une première fois dans le camp, puis une seconde fois dans la zone concernée. Peu pratique, d’autant que les temps de chargement sont très longs et plutôt fréquents malheureusement puisque le monde est semi-ouvert : le joueur accède à des zones, et certaines quêtes sont à activer dans des zones particulières. Le « raccourci » pour démonter ou vendre les objets est aussi un vrai calvaire, il faut en effet cliquer sur le joystick afin de marquer chaque objet puis faire Y afin de vendre les objets sélectionnés. On doit parfois s’y reprendre à plusieurs fois avant de pouvoir « marquer » un objet. Pas pratique et plutôt agaçant quand on souhaite vendre des dizaines d’armes ou objets. La bande-son est quant à elle plutôt en retrait, tant les musiques ne nous ont pas marqués. A l’inverse, il est agréable d’avoir un doublage en français ou une version sous-titrée. Les bruitages font le boulot mais c’est plutôt anecdotique.

Un titre plutôt complet

Graphiquement, le titre tient clairement la route avec des décors variés qui ne sont pas sans rappeler Avatar par exemple, et qui vont du désert à la forêt, en passant par certaines villes ou des grottes et cavernes. L’Unreal Engine 4 d’Epic Games fait honneur au travail de People Can Fly. Les effets d’explosions, les pouvoirs et compétences sont très bien retranscrits, que ce soit le feu ou la glace, on sent que notre console puise dans ses ressources. On peut clairement parler d’une direction artistique réussie. Le level design est un peu moins inspiré cependant avec des zones assez classiques qui se suivent, pour lesquelles il faut souvent détruire une barrière ou des décombres afin d’avancer. On aurait aimé un peu plus d’imagination sur le level design des niveaux mais l’ensemble est cohérent et propose toujours des couvertures adaptées pour le joueur, et des ennemis bien dispatchés sur la map avec des zones en hauteur ou à distance.

L’IA fait d’ailleurs souvent mouche avec une agressivité plutôt importante. Les ennemis sont capables de nous suivre si nous fuyons, de nous contourner, certains ennemis font très mal (notamment les snipers bien cachés ou les capitaines ou cibles des missions Prime). Elle est précise et coriace en difficulté de monde élevé. Evidemment, en monde 1, le challenge est absent mais il n’y a pas énormément d’intérêt de jouer avec cette difficulté, tant le loot est commun. Enfin, et même si ça nous écorche un peu de le souligner tant cela devrait être « normal », nous saluons l’effort de People Can Fly et Square Enix de proposer un titre qui n’est pas un GaaS et est dénué de microtransactions à l’heure où nous écrivons ces lignes.

L’avis perso de Patrick // Gros plaisir coupable !

En un mot comme en cent, j’ai beaucoup apprécié le titre malgré les défauts importants. J’ai du mal à comprendre comment il est encore possible de sortir un titre avec une finition qui laisse à désirer, surtout avec le cas d’école Cyberpunk 2077 (mais nous sommes très loin de la finition de ce dernier, entendons-nous bien). L’ensemble est légèrement gâché par certains choix discutables, par la finition globale (bugs, freeze, lags, scripts, etc.) mais en coop, on prend beaucoup de plaisir et le challenge est au rendez-vous ! Je recommande sincèrement, surtout que le titre est dans le Xbox Game Pass sans surcoût pour les abonnés !


Point complet
Pour être franc, nous n’attendions pas énormément Outriders. Les premières vidéos montraient un titre plutôt générique et classique. Si le jeu s’avère en effet très classique, le tout est plutôt bien exécuté, l’ensemble est réussi graphiquement (moins techniquement), le contenu est bien présent, l’action est nerveuse, le bestiaire varié, quelques personnages sortent du lot et la coop fonctionne plutôt bien. Il y a aussi un bon challenge avec certains capitaines bien corsés et des situations compliquées à gérer avec de grosses vagues d’ennemis. L’IA est plutôt agressive et intelligente, il y a de jolis décors et une palette de personnages finalement intéressante. Dommage que le tout soit encore rempli de bugs, que la technique ne suive pas, que le crossplay soit opérationnel une fois sur deux, que le matchmaking fasse des siennes, que le scénario soit finalement assez convenu et qu’on n’ait finalement aucune prise de risque pour ce titre de People Can Fly. Le cahier des charges semble plutôt respecté… Un peu trop ? Mais est-ce si mal ? Finalement, peut-être pas puisqu'on s'amuse !

On a adoré :
Un arsenal complet
Durée de vie solide
Contenu end-game agréable
Gameplay nerveux et efficace
L’histoire se laisse suivre
Eléments RPG maîtrisés
Quelques persos intéressants
La coop fonctionne très bien
La variété des décors
Du challenge en monde élevé
Pas (trop) de quêtes Fedex !
IA plus que correcte
Bestiaire varié
Dans le Xbox Game Pass Day 1
Certains combats de boss
Ni GaaS, ni microtransactions
On n'a pas aimé :
La finition globale
La gestion des quêtes
Plutôt répétitif
Nombreux problèmes techniques
La connexion obligatoire !
La fin plutôt convenue
Scénario parfois un peu série B
Action parfois confuse
Level design peu inspiré
L’effet un peu trop sac à PV des ennemis puissants
Le système de quêtes
La téléportation


Consulter les commentaires Article publié le 15/04/2021 par Patrick C.


Actuellement, les membres connectés sont :
Flux RSS | A propos | La rédaction, nous contacter
Xbox Gamer est un magazine online de jeux vidéo informant sur les consoles Xbox Series X|S, Xbox One, Xbox 360 et Xbox de Microsoft. Copyright XGN © 2002-2024