Grenesis (Manuel-Ange)
- Origine : Non ça ne se prononce pas Génésis, il y a un R espèces d'illettrés ! Non je ne suis pas fan de Phil Collins, et non je ne loue pas la déesse de la vengeance. Le pseudo m'est venu comme ça, et depuis je l'ai gardé. On m 'appelle aussi Patrick, la 5ème branche, le décérébré, fifou le fou et autres fanfreluches humoristiques.
- A commencé à jouer à : Game Boy Color, 8 ans.
- Ses types de jeu : Grand Fan de FPS multijoueur, pour faire original, a eu une période Stratégie bien sympa, nul en jeux de courses (je me mets de côté pour laisser passer si besoin est) et joue à un peu tout ce qui traîne.
- Son jeu du moment : XCOM Enemy Unknown. Je le sentais pas au début, et en fin de compte, ça se révèle être une très bonne surprise. Sinon j'ai sur le feu Call of Duty 2 (mais non il n’est pas vieux), Max Payne 3, NBA 2K13 et évidemment, BF3.
- Son jeu du passé le plus marquant : Oulala. Hum, lilalilalou… Pokémon Jaune, premier jeu qui m'a marqué, je crois l'avoir fini je ne sais combien de fois, mais c'était une autre époque. Étrangement Timeshift m'a marqué, j'avais adoré le concept à l'époque même si le rendu final n'est pas exceptionnel. Sinon plus récemment, Read Dead Redemption, qui m'a bien retourné, et Limbo, l'originalité pure.
- Sa console préférée : La Xbox 360. Incontestablement. J'aime l'ergonomie de la manette, la plateforme est la plus intéressante hors PC pour jouer en groupe, et c'est celle qui m'a réellement fait basculer intensément dans le jeu vidéo.
- Anecdote de joueur : Mon premier jeu PS2 offert à noël avec la console ? Resident Evil sur PS1. Oui, à 8 ans on aurait pu m'offrir plus joyeux comme jeu…
- Anecdote personnelle : J’ai passé plus d'heures devant la console qu'en cours pendant mon année de terminale. Et le pire, c'est qu'ils m'ont récompensé en me filant le BAC...
- Sa description en quelques mots : Un mot suffira amplement, Dégénéré.
- Comment il a atterri sur XG : Simple. Je descends à l'épicerie me prendre un paquet de Pepito. V'la que Mousse, mon voisin, prend le dernier paquet devant mes yeux, avec un sourire jusqu'aux oreilles. Ni une ni deux, je lui envoie une pépite dans le front, quelque chose de bien violent. Pas le temps de comprendre d'où ça me vient qu'il réplique avec une tarte dans ma tronche. Mais la bonne tartine avec les ch'veux qui partent de côté, les dents de travers et tout. On finit par terre comme des chiffonniers. L'épicier arrive avec un jambonneau de la taille de la cuisse de Chabal et nous savate la tronche avec. Je me lève, je balance Mousse sur l'épicier en couverture, et je me barre vitesse Flash McQueen. Me rev'la dehors, comme un con, la tronche en vrac, et toujours pas de Pépito. Je descends la rue, et voilà que je tombe sur un chinois habillé en samouraï avec un sabre en carton. Je vais le voir, je lui fais : « HO Ping Pong, c'est pas l'carnaval ». Vous ne savez pas ce qu’il m'a répondu Jet Li ? « Bondou, de sui Madong de viens de tine, je reterte l'amoulette tacré du dragon vong ». Rien compris à son délire, bim, je lui lâche un crochet dans la mâchoire. Pas le temps de le toucher que le type m'envoie un Mawashi dans le nez qui me fait virevolter 5 mètres derrière. Bordel ce n'est pas ma journée. Je me relève 2 minutes plus tard, un groupe de gamines est en train de m'examiner avec leurs sacs Dora sur le dos. Je marche, histoire de m'aérer un peu l'esprit. Et là, et c'est difficile à croire je le sais, Adriana Lima, en bikini, devant le supermarché. Je me dis je vais aller lui demander son numéro. J'y vais, je m'approche doucement, à pas feutrés. Puis elle se retourne, me voit là, balafré de partout, se met à crier et bim, le garde du corps qui était caché derrière le platane se poste devant moi, matraque à la main, avec un gros sourire. 2 mètres le type, tu n’'as jamais vu ça. Une montagne quoi. Je commence à suer de la tempe, et d'une seule tempe, c'est là qu'on se dit qu' y a un souci. Je commence par lui dire : « Je voulais just... » Bim, sa matraque sur la tempe qui ne suait pas, fallait bien que l'une des deux prenne. Bon là, je me dis quand même qu’il faut faire quelque chose. Dehors ils ont l'air assez hostiles par cette belle matinée de printemps. Donc je rentre à la maison, allume l'ordi et me connecte sur XG spontanément, sans savoir pourquoi. Ha, sacrée histoire mon arrivée sur Xbox Gamer… Et c’est à peine exagéré.
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