Quelques créations.
Publié le 02.12.2011 à 12:36 par Grenesis
Voila, le concours de création de vidéos à fait des émules. Et il faut dire que je me suis surpris à adorer ça.
Donc, je vous propose aujourd'hui, mes 3 première créations, respectivement sur les univers de
Fallout New Vegas,
Deus Ex: Human Revolution et pour finir,
Mirror's Edge.
En espérant que ceci vous plaira, vos critiques sont les bienvenues
Voici donc, pour commencer, ma toute première création, un petit Trailer explosif et rapide, sur
Fallout New Vegas :
Musique : Massive Attack - One Thougt at a Time
Logiciel : Windows Live Movie Maker
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Deuxièmement, voici la vidéo que je présente pour le moment au concours, sur Deus Ex.
Musique : Feint - United We Stand
Logiciel : Windows Live Movie Maker
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Et ma toute dernière création, petit trailer commémoratif de la somptueuse expérience que fut Mirror's Edge, tant l'impatience d'en voir un second sortir est grande. Une merveille.
Musique : Daft Punk - Solar Sailer (Pretty Lights Remix)
Logiciel : Windows Live Movie Maker
Un grand merci à cajp45 pour son article " initiation au montage vidéo " qui m'a été d'une grande aide.
Et à XG, pour avoir proposé ce concours très " participatif ".
Pour ceux que ça intéresse, ma chaîne Youtube, qui sera je pense, fréquemment fournie en vidéos du genre dans les temps qui vont suivre.
http://www.youtube.com/user/BittersweetBooya
Un voyage dans l'Ouest Américain, scène 3.
Publié le 16.11.2011 à 00:14 par Grenesis
Après une petite pause dans le récit des aventures de Silence au pays du revolver, du cinéma et de la pin up, je vous annonce officiellement que c'est reparti, notre camarade est reparti pour des aventures bien secouantes.
Pour rappel, nous nous étions arrêtés au pied du Grand Canyon, une merveille d'architecture naturelle qui pourrait en faire perdre la tête aux plus grands aventurier.
http://www.xbox-gamer.net/blogaff-22913-un-voyage-dans-l-ouest-americain--scene-2_14675.html
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Trêve de bavardage, il est quand même 6 heures ce matin, va falloir remuer son fion histoire d'être prêt dans l'heure qui suit, valises dans le bus, petit déj ingéré (Bordel d'un cactus, un bon bacon omelette le matin y'a qu'ça de vrai, avec un peu de ratatouille et des saucisses

).
Aujourd'hui Silence est, une fois de plus, surexcité, car c'est quand même en direction de la
Monument Valley que le bus magique se dirige !
Quoi ? Tu connais pas la monument valley ? Mais prends déjà un bon coup d'tatane sur l'fessier, mécréant. La Monument Valley, désert de sable rouge, des roches rouges que tous avez vu au moins une fois dans tout bon Western qui se respecte (Il faut dire, que la quasi totalité des westerns tournés à l'époque des John Wayne, Terrence Hill, Bud Spencer et autres Clint Eastwood, la monument Valley a servi de décors de fond).
Le parc est depuis 1958 (bein ouais, j'lâche ma petite dose d'histoire, pas là pour déconner les mecs, faut s'instruire un minimum merde!) une réserve Navajos, et à l'entière charge de ce peuple indien.
Arrivée sur place, un spectacle sidérant s'offre à Silence. Un désert, à perte de vue, d'un rouge tenant vers l'orangé, des immenses blocs rocheux se dressant ci et là, sortant du sol en donnant l'impression de vouloir s'y extirper littéralement et s'envoler vers on n'sais où, sur une autre planète, où leur place serait sans doute plus légitime. Car il faut l'avouer, s'il ne l'avait pas vu de ses propres yeux vus, Silence se serait cru sur Mars.
Le guide vient le voir : « Hey mec, prépare toi, les navajos viennent nous prendre en Jeep, on descend manger dans un petit coin du site »
Mais qu'est ce qu'il raconte comme connerie celui là ? Comment tu veux aller bouffer là dedans ?
En effet, un vent d'une autre galaxie (quand je vous dit qu'on est tellement dépaysé qu'on se croit partout sauf sur terre, c'est pas des conneries !) secoue le sol, et fait s'élever des bancs de sables fins, faisant danser des formes vertigineuses et aléatoires, dans ce décors somptueux.
Puis une petite femme, bien portante s'approche avec un sourire jusque derrière les oreilles, et vient annoncer le départ imminent. Elle déconne avec le guide, ils semblent êtres bon copains. Et repart, tout sourire. Se rapprochant, Silence demande qui peut bien être cette femme pleine de vitalité.
« C'est le patron, c'est elle qui a les jeeps et qui va nous faire descendre. Sacrée bonne femme, elle a perdu son mari malade l'année dernière (services médicaux américains, elle n'a pas pu faire soigner son mari, qui n'aurait eu besoin de que peu de soin pour s'en sortir …) et elle est toujours aussi joviale, malgré tous les soucis qui peuvent lui arriver … Une sacrée bonne femme mon gars. »
Allez, prends donc ça dans ta gueule mon petit, une leçon de vie pour la route, ça fait pas de mal.
Les Jeep sont prêtes. Bien sûr, tous avaient prévu le coups. Parkas, lunettes de soleil, bonnets et autres protection contre les attaques vicieuses qu'allait lancer l'alliance fourbe, de ce vent impressionnant, mêlé au sable aussi fin que le Pixel d'un écran Full HD.
Pas Silence. Non, Silence se présente aux Jeeps en T-shirt col V, short. 2-3 Navajos qui le regardent, hilares, et l'invitent à s'installer, dans le seul véhicule sans carrosserie. Il ne se doutait pas, le bougre.
Photo à l'appuie
Un voyage d'une dizaine de minutes, à encaisser les crevasses, les virages pris limite sur 2 roues (il était en plus de ça, tombé sur un chauffeur un peu casse cou sur les bords, la totale), sans compter le kilo de sable qui s'entassait à présent dans entre ses paupières, dans ses narines, et même dans son futale, plein à raz-bord.
Bien entendu, à l'arrivée sur place, c'est le convoi entier qui se paie la tête de notre bon ami, ressemblant à présent, plus à Casimir qu'à un touriste Français.
Mais il snobe très vite les autres pour s'émerveiller du lieu. Il se trouvait dans une sorte de grand creux de la forme d'un U gigantesque. Quelques tables en bois posées, des bancs, et c'est parti pour le pique-nique, dans ce cadre idyllique.
Et là les amis, c'est le repas du voyage. Une Fajitas Navajos. (se lit Faritass Navaro pour les incultes!).
Une galette sur laquelle est délicatement déposé une tonne de chili, de la salade, des tomates et quelques merveilles locales. Un moment de pur bonheur gastronomique. Fait maison par la chef navajos en personne (Silence apprends d'ailleurs que c'est son fils qui l'a malmené sur le chemin, en conduisant comme un Sébastien Loeb un engin sans ceintures qui aurait pu faire voler la moitié des vieux mal en points du voyage, heureusement qu'on avait des sacré numéro dans l'équipe, ça l'aurait foutu mal d'en perdre un en cours de route).
Bref, un délice assurément englouti, il est l'heure déjà, de s'en retourner au bus, le trajet retour est aussi dantesque que l'aller, toujours en T-shirt, le gros délire. Silence se marre comme une baleine tout en engloutissant au passage autant de sable qu'il n'en avait dans les poches. Je crois pouvoir affirmer qu'il a chié des galettes parsemées de pépites pendant quelques semaines après la fin du voyage (pour le coup, la production a préféré ne pas fournir de photos à l'appuie, même si certaines ont une valeur artistique assez abstraites, nous ne voulons pas avoir de nouveau avoir à faire à la justice, à votre bonne compréhension

).
Petit détour par la boutique, où il s'achète un bracelet Navajos, en se rendant compte une fois dans le bus que le petit écriteau sur l'étiquette indique «
Made in Taïwan »
Le Bus repart, direction le Lac Powel, on s'arrête quelques minutes, histoire de prendre des photos, d'aller pisser son litre, et de se dégourdir les jambes, un car de touristes quoi.
C'est à Kanab que la dernière escale de la journée est faite. Petit détour par le jacuzzi (première séance d'un programme jacuzzien conséquent, pour le reste du voyage, à voir par la suite

).
Ce soir, c'est soirée Cow Boy. On bouffe à l'ancienne, dans des gamelles en fer, et une fois de plus, un régal monumental !
D'ailleurs, pour ajouter au folklore du dîner, le repas est servit par des cowboys, des vrais, d'environs deux mètres – même le fils de 17 ans – avec le ceinturon et le revolver autour de la taille – même le fils de 17 ans

– bref on s'y croirait.
Et je pense que s'en est assez pour ce périple, qu'il est grand temps d'aller roupiller, parce que demain on sera dans l'Utah à une fois de plus, se croire sur une autre planète avec l'ami Silence, dans le Bryce Canyon, et au parc Zion.
Sur ce, Silence refait un tour Jacuzzi, et va se jeter à bras le corps, dans une bataille avec son coussin et sa couverture.
To be continutated

Moi, Singularity et le prozac !
Publié le 24.10.2011 à 19:23 par Grenesis
Singularity
Un trailer Aguichant et fort n'est il pas ? Malheureusement, pas à l'image du jeu lui même.
Dès le départ, le joueur est plongé dans un univers fictio-historique. En pleine guerre froide, un commando américain est envoyé enquêter sur une île, au large de la Russie. (Américain gentils, Russie méchant, je pense que tout le monde aura fait le rapprochement).Arrivée en hélicoptère, explosion catastrophe, crash. D’emblée, on en vu plus original. Et malheureusement, c'est tout à l'image du jeu. Un univers assez intéressant sur le papier, mais qui en fin de compte ne comble pas les attentes des uns et des autres, comme l'avait fait à l'époque, Bioshock (duquel Singularity s'inspire quand même grandement).
Bref, l'univers est très sympa d'approche, mais l'histoire ne suit pas. Très pompeuse, très clichée, très déjà vu quoi. Un groupe de scientifique expatrié sur une île pour faire des recherches sur un élément incroyablement intense en énergie. On rajoute de la population en lui faisant miroiter un rayon de paradis ( A bein tiens …), installant école, hôpital, et organisant une petite agglomération, qui, vous l'aurez deviné, n'est en fait pas du tout situé dans l'Eden. En effet, très vite les choses vont dégénérer et la perte de contrôle va être rapide, fatale. Un mystérieux (qui n'est en fait pas si mystérieux que ça, vu qu'on prends conscience du problème dès le début) phénomène lié à ce matériau dit extraordinaire transforme les gens en genre de goules agressives ( Encore un petit coup d'originalité pour la 12 s'il vous plait). Bref, toi, le super soldat américain ( je ferais un petit coup de gueule sur le sujet plus bas, parce que bon ! Hein ! On est d'accord), tu viens pour régler la situation sur place, et te retrouve très vite tout seul. Puis, accompagné (c'est vite dit, on les vois juste de temps en temps, ils communiquent avec toi par on ne sait quel moyen) d'une femme qui … (d'où elle sort ? Je crois que même les développeurs ne le savent pas, c'est dire), et d'un scientifique qui est sur l'île depuis près de 50 ans, et qui a réussi à survivre dans sa tour (alors là niveau cliché, je crois qu'on atteint un sommet (sommet → tour, t'as compris l'jeu d'mot magueule ?

)), creusant même pendant sa période d'activité sur l'île, un genre de bunker fortifié (dis donc, costaud l'intéllo!).
Bref, à peine une heure de jeu et on se croit déjà dans un comédie show.
Pour ce qui est de la prise en main, c'est un FPS très basique, auquel des pouvoirs plutôt appréciables ont été ajoutés comme :
- créer une sphère qui bloque le temps dans son enceinte et par conséquent fige les ennemis (quel bonheur de se présenter devant un ennemi immobile, de lui lâcher une salve hérétique de balles dans le front ).
- Vieillir ou rajeunir un objet, pour lui redonner sa fonction, tout comme l'on peut réduire un adversaire en cendres en le vieillissant d'un coup (dommage que se sort se cantonne à reformer des caisses, des interrupteurs et des boites, plus poussé, ça aurait pu donner une ingéniosité intéressante au gameplay).
- Attirer ou projeter un objet quelconque (un baril de fuel dans les gencives d'un soldat par exemple) (encore une fois, des barils d'essences ou des bonbonnes de gaz disséminés un peu partout dans le jeu, logique).
Encore un point sombre, le fait que le jeu soit couloirisé. Pas un gros problème me direz vous, Métro 2033, bioshock et d'autres ont réussis dans ce domaine. Oui mais non, on ne lui demande pas d'être comme ses prédécesseurs, mais au contraire de s'en démarquer, et il n'y arrive pas.
Un monde ouvert lui aurait été grandement bénéfique, pas aussi élaboré qu'un Fallout, on demande pas non plus des exploits, mais vu la taille de l'île, il est fort dommage de ne pas pouvoir la visiter, fouiller de fond en comble. (Partie cité, partie scientifique, rivage, petite montagne etc, il y'a grand moyen de se faire plaisir avec ça, et c'est pas exploité).
Pour en revenir au coup de gueule sur le trailer (qui est très captivant), la déception est énorme. LE héros montré sur ce dernier semble un personnage dur, renfermé et torturé. Il semble avoir quelque chose à raconter, et peut apporter à l'histoire une tournure dramatique qui aurait pu lui valoir un plus grand intérêt. Et bien en fait, ce personnage est quasiment extérieur à la trame. C'est bien celui que l'on joue, celui qui fait absolument tout durant toute la partie (comme d'hab) mais il ne raconte pas l'histoire, il n'intervient jamais, on ne l'entends pas (ce qui aurait pu apporter un côté mystérieux au titre, mais qui en fin de compte ne permet que de se trouver face à un héros, absent).
Décidément, on va de déception en déception.
Heureusement qu'il est agréable à jouer, parce que sinon, on irait pas bien loin avant de poser le pad et de se remettre au démineur sur son PC.
Le problème étant qu'encore une fois, une franchise arrivant sur le marché, semble au départ sortir du lot et se démarquer, et qu'on tombe face à un rendu d'une banalité linéaire.
Le seul point fort du scénario est qu'il aurait pu défourailler de l'hamster, il aurait pu …
Voici donc, un jeu qui aurait gagné à une année ou deux de plus de développement, une année ou deux de plus de remue méninge de la part des scénaristes qui ne nous font pas voyager dans l'univers crée un seul instant, une année ou deux de plus à intégrer des possibilités de jeu plus approfondie que la simple phase : « J'avance, je shoot, j'avance, je shoot ».
Je ne spoilerais pas plus l'histoire, qui est raconté de façon très floue, avec une fin un peu énigmatique dans son approche et son dénouement.
Mais juste pour l'exemple : le scientifique, emmené là par l'armée, pendant une période de guerre, qui vient étudier sur des éléments jusqu'alors inconnus, et qui ne se rend compte qu'en toute fin ( début de l'histoire pour nous, vu qu'il étudiait là il y'a 50 ans) que ce qu'il étudie est dédié à la destruction et à l'armement du pays. A tuer. Au nom de la naïveté j'aimerais lâcher un slam.
« Pour tous ces scientificos qui étudient au labos,
pour tous ces idéos, jetés dans l'caniveau.
A cause d'un révolutionnaire, venu pour faire la guerre,
Singularity sans déconner, t'es pas joli joli ! »
ET BIM ! IN DA FACE ! BRRRRA ! BRAAAAA ! Big up nigga !
En conclusion, on peut dire que ce singularity est un jeu sympa, à jouer pour ceux qui sont en manque de FPS, mais qu'il a très grandement été bâclé, fini trop vite et que le travail qu'il a nécessité est bien en dessous de celui qu'il aurait mérité.
Pas élogieux l'article hein ?
C'était Grenesis, en direct de son slip. En attendant les cailloux dans la tronche, je vous tire, ma révérence.
Que la vérité fasse face (bien tourné je trouve)
Publié le 24.08.2011 à 12:44 par Grenesis
Non Monsieur ! Non ! Nous ne nous laisserons plus faire ! Nous hausserons le ton ! Tout à fait monsieur ! Il y'a des choses à ne pas dire et ne pas faire ! Non Monsieur !
Bon aller, calme toi bilou, respire profondément, pète un coup, prise sur soi.
Voila, je viens rectifier une infamie à mon sujet. Un certain spartan27 a tenu sur son blog des propos et des images compromettantes de mes soit disant performances.
Je tiens à rectifier la donne en vous faisant par de ceci :
vu la qualité de la photo, je vous fait par de l'exactitude des faits :
votre serviteur, Grenesis, Versus Lyvia, spartan 27, Nightween, Mamzelle Yuna, Jessy, Jejay.
Les scores :
Grenesis : kills 50 / Morts 10
Lyvia : kills 5 / morts 13
Spartan : Kills 2 / morts 12
Nightween : Kills 1 / Morts 3
Mlle Yuna : Kills 1 / Morts 7
Jessy : Kills 1 / Morts 9
Jejay : Kills 0 / Morts 9
Vainqueur, Grenesis Par KO !
__________________________________________
Là déjà ça me semble plus proche de la vérité qu'une vulgaire photo prise avant la fin de partie n'est il pas ?
Mais je vois encore un ou deux sceptiques au fond là, vous croyez pas tonton gren ? C'est des bobards ? Que neni, seconde preuve de ma toute puissance :
Match opposant :
Spartan / Grenesis VS
Eclipse / Cyberneo / Nightween
Descriptif de l'image :
Grenesis 29 / 9
Spartan 9 / 9
Eclipse : 17 / 12
Nightween : 5 / 12
cyberneo : 4 / 14
Et encore, la photo a été prise à une manche de la fin, j'ai fini à 31, mais restons dans la logique de l'image.
Ce que vous voyez là les enfants, n'est que la plus pure des vérités. Je ne me laisserais pas faire par de jeunes insolents qui portent même pas de vestes de costumes ! NA !
Dis spartan, tu le vois mon gros D.Eagle là ?

Massive Attack, un son, un univers, un tout.
Publié le 21.08.2011 à 21:47 par Grenesis
Massive Attack
Je partage beaucoup sur les topics de film et musique du site, mais là, oui là les enfants, je me dois de faire un aparté artistique sur mon blog. Ce que vous allez découvrir (ou pas pour certains) ci dessous, est le fruit d'un talent immensément grand, une promesse musicale d'une tendresse immense et d'un envoûtement immédiat?
Tout d'abord, qu'est ce que
Massive Attack
M. A. est un groupe de 3 DJs originaires de Bristol, repérés à la fin des années 80. Composé de Robert Del Naja (3D), Grant Marshall (Daddy G) et Andrew Vowles (Mushroom), le groupe sort sont premier album en 1991,
Blue Lines.
Le succès est tel que l'on considère alors qu'ils apportent un nouveau style, le Trip Pop. Par la suite, pas moins d'une dizaine d'albums verront le jour ( 5 albums ainsi que quelques volumes remix )
Discographie :
1991 :
Blue Lines
1994 :
Protection
1995 :
No Protection
1998 :
Mezzanine
1998 :
The singles collection 90/98
2003 :
100th Window
2005 :
Danny The Dog (soundtrack film)
2006 :
Collected
2009 :
Splitting the Atom
2010 :
Heligoland
En 1998, après la sortie de l'album Mezzanine, Mushroom décide de quitter l'équipe, ses goûts musicaux devenant trop éloignés de ceux vers lesquels se dirigent le groupe.
Passant par le Hip Hop, le groove, la saoul, et pour finir s'orientant fin 90 vers l'electro, Massive Attack n'est ni plus ni moins que le précurseur du genre Trip Pop.
Un style unique, des sonorités à couper le souffle, c'est tout naturellement que l'on constate la liste effarante de collaborations.
Niveau musical
-
Damon Albarn, Leader du groupe
Gorillaz, rien que ça, mais aussi de
Blur.
-
Liz Fraser, chanteuse des
Cocteau Twins
-
Tracey Thorn, chanteuse d'
Everything But The Girl
Et j'en passe.
Mais ils ne s'arrêtent pas là, et en écoutant leurs oeuvres, on comprend aisément pourquoi.
Côté Cinéma
Et là c'est tout bonnement sidérant. Le groupe a une liste de collaborations avec le cinéma aussi longue que la bretelle de Guy Carlier.
¤ En 1993, La bande originale du film
Sliver inclut le morceau
Unfinished Sympathy.
¤ En 1996, La bande originale du film
Mission impossible inclut le morceau
Spying glass.
¤ En 1996, le titre
Hymn of the Big Wheel est utilisé dans
Le Fan réalisé par Tony Scott
¤ En 1997, la bande originale du film
187 code meurtre inclut le morceau
Spying glass.
¤ En 1997, la bande originale du film
Ouvre les yeux inclut le morceau
Risingson.
¤ En 1998, la bande originale du film
Le Chacal avec Bruce Willis et Richard Gere inclut le morceau
Dissolved Girl.
¤ En 1998, la bande originale du film
Pi de Darren Aronofsky inclut le morceau
Angel.
¤ En 1998, la bande originale du film
Ceux qui m'aiment prendront le train de Patrice Chéreau inclut le morceau
Better Things.
¤ En 1999, la bande originale du film
Matrix, inclut le morceau
Dissolved Girl.
¤ En 2000, la bande originale du film
Révélations de Michael Mann, inclut le morceau remixé de
Safe From Harm.
¤ En 2000, la bande originale du film
Snatch de Guy Ritchie, inclut le morceau
Angel.
¤ En 2001, le titre Angel est utilisé dans le film américain Antitrust.
¤ En 2004, le titre Angel est utilisé dans le film américain Le Vol du Phœnix.
¤ En 2004, la bande originale du film
Resident Evil: Apocalypse de Alexander Witt, inclut le morceau
Future Proof.
¤ En 2005, le groupe compose la bande originale de
Danny the Dog.
¤ En 2005, le titre
Angel est utilisé dans le film
américain Stay.
¤ Fin 2007, 3D compose avec son fidèle producteur Neil Davidge la bande originale du film
Battle in Seattle, ainsi que le film
In prison my whole life.
¤ En 2007,
Angel est de nouveau utilisé dans le film québécois
Ma fille, mon ange.
¤ En 2008, le réalisateur franco-irakien Abbas Fahdel utilise le morceau
Hymn of the big wheel dans la BO de son film
L'Aube du monde.
¤ En 2008, leur titre
Herculaneum apparaît au générique de fin du film
Gomorra du réalisateur Matteo Garrone.
¤ En 2010, leur titre
Paradise circus apparait dans l'épisode 3 de la saison 3 de
True Blood.
¤ En 2010, leur titre
Paradise circus apparait à la fin de l'episode 21 de la saison 3 de
Gossip Girl.
¤ En 2010, leur titre
Paradise circus sert de générique d'ouverture à la série
Luther.
¤ En 2010, leur titre
Paradise circus apparait au début de l'episode 2 de la saison 7 de :
Les Experts : Manhattan.
¤ En 2010, leur titre
Paradise circus apparait à la fin de l'épisode 4 de la saison 2 de
Misfits.
¤ En 2010, leur titre
Spliting the atom apparait dans la Tracklist du jeu
Fifa 11.
¤ Le morceau
Teardrop issu de leur album Mezzanine est samplé et modifié afin d'être utilisé comme générique d'ouverture pour la série américaine ¤
Dr. House, également dans de nombreuses autres séries dont l'épisode 20 de la saison 1 de
Prison Break.
¤ La musique du groupe a également porté la bande annonce du jeu vidéo
Assassin's Creed.
Le titre
Angel, que l'on retrouve dans pas moins de 4 films ( et pas des moindre !)
Le morceau
Paradise Circus utilisé dans 5 séries différentes.
Danny the Dog, Matrix, Snatch, Assassin's Creed, Misfits. Tout ces titres vous disent quelque chose, et bien ils y ont participés.
Ce groupe est décidément partout. Sans le savoir vous le connaissez surement déjà.
Angel
Teardrop
Paradise Circus
Man Next Door
Black Milk
Un BWAAAAAAAAA vaut mieux que 2 tu l'auras !
Publié le 12.08.2011 à 15:52 par Grenesis
Oui, oui, oui. Effectivement, c'est moi qui ai gagné au concours Lapin crétin ma figurine de 30 cm. Je lis déjà sur le visages des uns et des autres une jalousie profonde. Une certaine envers ma personne, ainsi qu'une certaine envie, une certaine dévotion. Oui, vous attendiez avec intérêt et bave aux coins des lèvres la série de photo qui va illustrer cet article. Et bien.
Mesdammes, Mesdemoiselles, Messieurs, et les autres, laissez moi vous présenter : La collection GrenBWAAAAA !
En ouvrant le super paquet :
Bein ouais les copains, je sais que j'ai gagné, mais merci de me tenir au courant
Tu rejoins la famille, Mon fils * larmichette *
Y'a pas à redire, ça envoi du lourd
Ne m'remerciez pas ! Ne m"remerciez pas ! C'est tout naturel de vous vendre du rêve, du bonheur à l'état pur. J'suis comme ça moi, j'partage.
Allez bande de gueux. J'vous fais un bisou sur la partie de votre convenance, et j'm'arrache jouer avec mes nouveaux invités permanents.
Kiss Peace Love Tchuss Mousse Prout Pouet Flex !
Un voyage dans l'Ouest Américain, Scène 2
Publié le 31.07.2011 à 21:35 par Grenesis
Dur le réveil pour
Silence. 237 miles à parcourir en ce 3ème jour, soit 371 kilomètres environs. En bus, et dans un désert qui s'étend à perte de vue. Tout le monde est sur le pied de guerre dès 6 heures du matin. La nuit a été courte, direction le petit déjeuner. 7 heure et quart, on rempli le bus avec les valises, ce soir on dort à
Laughlin.
Donc, au programme pour cette journée.
Palm Springs, station thermale fréquenté par les stars, déjeuner sur place, puis en route pour
Calico, la ville fantôme, restauré en 1950, cette petite bourgade est en fait une ville western touristique, où tout est d'époque. Un Saloon, une petite école, une église, une mine, l'immersion est parfaite.
Après avoir très rapidement fait le tour de
Palm Springs,
Silence dévore un copieux repas (comme pour tout le voyage – ou presque - , dans un restaurant au système similaire à un flunch), et se dirige vers le bus,
Calico est tout proche.
La traversée du désert est impressionnante. L'impression de se retrouver au milieu de nul part n'est pas un mirage. On est bel et bien au milieu de nul part.
Enfin, le guide prend le micro, il nous explique que Calico est a porté de vue, juché sur une toute petite colline perdue entre les plaines immenses, on aperçoit en effet un petit village au loin. Enfin, un panneau nous indique notre destination.
Welcome to Calico COWBOYS !
Silence ne perd pas son temps, il monte tout en haut de la longue rue en regardant autour de lui, on ne lui avait pas menti. Il se trouvait en plein milieu d'un décors de Western.
Calico écrit sur la colline pour les avions
Personnellement je trouve que le type qui a prit cette photo a violemment géré son coup
L'entrée de la mine
Calico vu d'en haut
L'école et l'église
La décapotable du shérif
Table de Poker dans le Saloon
Portrait de Billy The Kid dans le Saloon
Se dirigeant vers le Saloon,
Silence est un peu fébrile, tremblotant, il hésite. Et puis il se dit après tout, c'est pas tout les jours qu'on entre dans un Saloon avec les portes battantes, j'me lance.
Se dirigeant donc vers l'entrée, il pousse énergiquement les portes tout en gueulant d'une voix roque et virile un énergique "
HEY COW BOY !"
Une entrée fracassante digne des plus spectaculaires scènes dans les films du genre.
Malheureusement, l'endroit n'était pas vide, et les rires fusèrent à son encontre. C'est la tête basse qu'il inspecta les lieux. Bientôt la honte disparu et laissa place à un sentiment d'extase. Il s'imaginait dans l'un de ces films avec
Terrence Hill et Bud Spencer. A faire des concours d'alcool au contoir. À distribuer des claques qui déterreraient un platane à tous les malotrus sur son passage.
Une armoire vitrée contenant des armes réelles, Colt, carabines, cartouchière. Table de poker. Portrait des plus grand bandits sur les murs (ci dessus
Billy the Kid). Le lieu est mystique !
Des membres du groupe entrent, et tous décident de se commander une pinte au contoir.
C'est pas du 33 Cl qui leur a été servi mais de véritables doses à l'ancienne, dans des chopes de barbares, on était vraiment dans les années 1800. ( Par mesure de sécurité, nous ne montrerons aucune photo des dites bières, pour ne pas exciter un membre spécifique du site).
Une fois la visite du fabuleux village, il est temps de repartir dans le bus pour aller à Laughlin, poser les affaires, diner et dormir. Demain est un grand jour. Oui, demain les enfants, demain c'est le
Grand Canyon !
On passera les détails du matin, petit déj, bus, route, descente de bus, déjeuner. Ah bein non en faite, on les a faits.
Ca y'est, on y arrive.
Silence est à présent au parking d'une des stations touristique pour observer le grand Canyon. La tension est à son comble, derrière ces bâtiments nordiques ( Pour faire les toits ils retournaient les coques des bateaux et les posaient sur des fondations, très beau comme structures, ça vient des « vikings » du nord de l'Europe, ou d'un truc du genre, Silence ne sait plus bien (c'est pratique de foutre la faute sur les autres

).
Bref,
Silence s'avance, et la découverte est mille fois au delà de ses plus grandes attentes. Subjugué. Envoûté. Il ne sait plus que penser, que faire. Il sait juste qu'il est là, et qu'il observe l'un des phénomène naturel les plus impressionnant au monde.
Puis, un petit individu vient troubler son songe.
Là, entre lui et le Canyon somptueux. Vient se poster un écureuil. Prenant même la pose pour la photo, le petit rongeur ne se défonce pas et quémande de ses petites pattes griffues de la nourriture – qui est bien entendu interdit de leur fournir. Ayant été avertit qu'ils étaient agressifs et qu'ils n'hésitaient pas à mordre – vous n'imaginez pas ce que peut provoquer la morsure d'une de ces bêtes – Silence décide de poursuivre sa route et d'avancer sur ce petit chemin qui borde le Canyon, afin d'arriver au point d'observation le plus proche, à environ 40 minutes de marche.
Voici ce qu'a pu lui offrir ce petit trajet.
Petite rencontre sympathique
Et croyez le, les photos sont à 1/1000ème de l'impression que fait la réalité.
Le vent, la profondeur (de l'environnement que l'on voit et de l'image métaphorique que ça englobe), la nature qui s'exprime librement (aigles, serpents, écureuils) et l'étendue du lieu sont d'un attrait magique.
Silence fut chamboulé par cette journée, il s'en est incontestablement sorti changé. Évidemment, l'on peut conclure, qu'elle restera gravée en lui à jamais. L'une des plus belles surprises de ce voyage, pour ne pas dire LA plus époustouflante.